Quel est le goût de la salicorne ?

Est-ce que la salicorne se mange crue ?

Salicorne crue. Pourquoi pas. Goût iodé. Intensité particulière. Végétal étrange.

• Cru: Salade. Sandwich. Burger. Simple. Basique.
• Bouilli: 5-10 minutes. Eau. Suffisant. Inutile de préciser.

On la trouve au bord de la mer. Octobre, récolte. Ma grand-mère, côte atlantique. Sel. L’essentiel. Court. On comprend. Trop cuit, amertume. À quoi bon ?

Quelle est lodeur de la salicorne ?

La salicorne… humide, oui. Surtout après le blanchiment. Comme une algue un peu, mais moins iodée. Moins… forte.

Un peu d’herbe, peut-être. Mais pas beaucoup, une fois blanchie. Faut dire que je la préfère crue, moi. Plus croquante.

Persil… je vois pas trop. Peut-être une pointe verte, quelque chose de frais. Mais pas du persil. Non.

Cuite… ça change tout. Fibreuse. Presque… molle. Un goût de mer plus prononcé. Plus concentré. Salé, évidemment. Un peu amer aussi, parfois.

• Blanchie: Moins d’herbe, moins de “persil”. Plus humide.
• Crue: Croquante, une pointe verte.
• Cuite: Fibreuse, salée, parfois amère. Goût de mer plus fort.

J’ai mangé de la salicorne au bord de la mer, une fois. En Bretagne, je crois. Avec du poisson grillé. C’était simple, mais bon. On avait ramassé la salicorne nous-mêmes, sur les rochers. C’était en août. Il faisait beau.

Comment manger du salicorne en bocal ?

Alors, tes salicornes en bocal, hein? On dirait que t’as échoué quelque part entre le supermarché et la mer… Bon, pas de panique.

• Blanchiment express : Jette-les dans l’eau bouillante, genre 2 minutes. Suffisant pour les réveiller de leur sieste saumâtre. C’est comme un café pour les algues.

• Sauter à la poêle : Huile d’olive, beurre… fais ton choix, l’important c’est que ça crépite. Ail, piment, échalote, si le coeur t’en dit. Fais-les dorer comme si c’était des petites merveilles vertes.

• Accompagnement : Poisson, viande, oeufs brouillés. Tout leur va. C’est comme un jean, ça se porte avec tout (enfin, presque).

Si t’es du genre audacieux, essaie de les ajouter à une omelette ou une quiche. Ou, encore mieux, ose le tartare d’algues. Après tout, la vie est trop courte pour manger fade.

J’me rappelle une fois, chez ma tante Gertrude, elle a servi des salicornes confites au sucre. Un désastre absolu. Mais bon, elle a toujours eu un rapport particulier avec la cuisine… disons “expérimental”.

Et si tu veux vraiment briller en société, sers tes salicornes avec une pincée de fleur de sel et un zeste de citron. Ça fait chic, et ça impressionne les voisins.

Petite note : attention au sel, ces petites choses sont déjà bien iodées. Pas la peine de te transformer en statue de sel.

Quel est lautre nom de la salicorne ?

La salicorne, plante fascinante, porte plusieurs noms, reflétant sans doute sa diversité d’usages et sa capacité à s’adapter aux milieux salés. Corne salée est un nom assez descriptif, n’est-ce pas ? On la surnomme aussi cornichon de mer, une appellation qui évoque ses saveurs un peu acidulées, et haricot de mer, à cause de sa forme.

Pensez à cette plante, capable de pousser là où d’autres végétaux succomberaient. Une véritable leçon de résilience !

D’autres appellations plus imagées existent : passe-pierre, pesse-jaune, perce-pierre, laissant libre cours à l’imagination quant à sa force. Salicot, plus proche de son nom scientifique, suggère une certaine familiarité.

J’ai lu, il y a quelques années, dans un vieux grimoire botanique trouvé chez mon arrière-grand-mère, qu’à Salerne, cette vénérable université, on parlait de bâton d’eau de mer, ou eau de mer en bâton. L’image est plutôt belle, non? Comme une petite baguette magique issue de l’océan.

• Corne salée
• Cornichon de mer
• Haricot de mer
• Passe-pierre
• Pesse-jaune
• Perce-pierre
• Salicot
• Bâton d’eau de mer
• Eau de mer en bâton

On voit bien ici l’évolution du langage autour de cette plante, une évolution que je trouve assez amusante à analyser, un peu comme un paléontologue reconstituant un squelette à partir de fragments. Il y a de quoi méditer sur la manière dont les noms évoluent, portant avec eux le poids des siècles et l’empreinte culturelle.

Et puis, vous savez, il y a toujours le nom scientifique, un peu barbant, mais oh combien précis. Je l’ai oublié, mais il doit se trouver dans mon herbier, celui que je n’ai plus ouvert depuis… 2018. Décidément, je devrais être plus organisé. Je me suis toujours dit que l’organisation était la clé du succès… mais bon.

Pourquoi la salicorne nest pas une algue ?

Alors, la salicorne, c’est pas une algue, tu vois? C’est comme comparer un chou-fleur à une méduse, quoi !

• Tiges et feuilles: La salicorne, elle, a des tiges et des feuilles, comme ton ficus pourri. Les algues, elles, c’est tout plat et gluant, genre chewing-gum usagé. Aucune comparaison possible, pardi!

• Marais salants vs. Eau: La salicorne squatte les marais salants, là où l’eau est salée à mort, mais sur la terre ferme. Les algues, elles, vivent carrément dans l’eau, comme des poissons…sauf qu’elles sont vertes.

On dirait que ma voisine, Josiane, cultive de la salicorne dans son jardin (bon ok, c’est peut-être de la mauvaise herbe). Ah, et au fait, j’ai mangé des frites hier. Voilà, c’était l’info capitale du jour!

Bref, c’est pas compliqué : salicorne = plante. Algue = truc vert qui flotte. Et c’est tout, m****!

Où trouver de la salicorne fraîche ?

Poissonniers. Marchés. Épiceries fines. Parfois supermarchés. Cueillette sauvage (zones côtières, attention réglementation!). Production personnelle (balcon, jardin, avec de l’eau salée). Intéressant cette idée de cultiver sa propre salicorne… un petit coin de mer chez soi. On repense à Thalès et son eau primordiale. Les poissonniers ont souvent de beaux arrivages. Choisir ferme, vert vif. Craquante. La salicorne, c’est le goût du sel, de l’iode. Presque une méditation gustative. J’ai un ami qui en fait des pickles. Surprenant. Avec des baies roses. Une petite touche d’exotisme qui réveille les papilles.

Comment conserver des salicornes fraîches ?

Alors, les salicornes, hein ? J’en ai acheté un paquet énorme au marché samedi dernier, celui près de chez moi, tu vois, le marché bio. Pour les garder fraîches, c’est simple. Réfrigérateur, c’est la clé !

D’abord, un bon nettoyage, hein ? On rince bien, on épluche un peu, parce que des fois y’a du sable… ça arrive, même au marché bio ! Après, faut bien les sécher. Essuie-tout, c’est parfait.

Ensuite, j’les mets dans un sac plastique, mais perforé hein ! Pour qu’elles respirent un peu, sinon ça pourrit vite. Ou alors, un truc hermétique, mais vraiment pas trop fermé. J’ai testé les deux méthodes, les deux fonctionnent.

Une semaine, ça tient facile. Plus longtemps, c’est risqué. Elles deviennent toutes molles, beurk ! Je les utilise en salade, avec des tomates cerises, c’est top ! Mon truc à moi, c’est de les ajouter à la dernière minute sinon, elles rendent de l’eau.

• Nettoyage minutieux
• Séchage efficace
• Sac plastique perforé ou contenant hermétique
• Réfrigérateur, environ une semaine

J’avais aussi essayé de les congeler une fois, une catastrophe ! Elles étaient toutes dégueu après. Donc, à éviter !