Comment identifier la salicorne ?

Quand et comment cueillir la salicorne ?

Fin mai, bordel, j’étais à Saint-Michel-en-l’Herm, Vendée. Soleil de plomb, odeur de sel, un truc de fou. J’avais repéré un coin, près de la route, pas loin des marais salants. C’était magnifique, vraiment.

Salicorne, partout. Vert tendre, un peu craquant sous les doigts. J’ai commencé à couper, genre, à 5 cm comme Renée Michon, j’ai vu ça sur une vidéo YouTube. Ciseaux, c’est plus propre que d’arracher. J’en avais plein le panier en osier, ma grand-mère me l’avait filé. J’en ai pris un max, au-delà de 500g je pense. Oups.

Septembre, j’y suis retourné. Moins beau. Déjà sèches. Graines partout. J’ai pris quelques tiges quand même, pour voir. Plus dures. Le goût était différent. Moins intense. J’ai testé une recette avec des palourdes pêchées le matin même. Un délice.

• Cueillette: fin mai – mi-septembre
• Outil: ciseaux
• Quantité: pas plus de 500g/jour (pour les particuliers)
• Hauteur de coupe: 5 cm environ
• Lieu: marais salants Vendée (Saint-Michel-en-l’Herm)

J’ai oublié mon permis de pêche, j’espère qu’on va pas me faire chier. Je les ai mangées le soir même. Trop bon. Avec du beurre, un peu de sel…

Punaise, j’ai presque tout oublié. La marée haute, les goélands… J’ai failli me faire piquer mon panier! Putain, c’était le bordel mais super!

Comment nettoyer la salicorne ?

Salicorne : Nettoyage Minimaliste.

• Ébouillantage bref, deux minutes.

• L’iode marine persiste.

• Hypertension : Consommation interdite. Sel omniprésent.

D’autres informations essentielles à savoir sur la salicorne :

• Origine : Marais salants, littoral.
• Goût : Iodé, salé.
• Saison : Printemps, été.
• Préparation : Crue, cuite. Vapeur idéale.
• Attention : Allergies possibles.
• Usage culinaire : Accompagnement de poissons, salades.

Précautions : La quantité de sel est importante.

Est-ce que la salicorne est salée ?

Salée ? La salicorne ? Voyons… Disons qu’elle ne gagnera pas un concours de dessert. On dirait qu’elle a pris un bain de mer, s’est roulée dans le sel et a dit : « Tiens, pourquoi pas un petit extra ? ».

• Oui, la salicorne est bel et bien salée. Genre, vraiment.
• C’est un peu comme croquer dans l’océan… sans les algues (enfin, la plupart du temps).
• Imaginez une chips nature, mais version nature extrême. Avec le sel intégré. Le nec plus ultra du bio, quoi.

Mon voisin, Jean-Pierre (oui, celui avec le chapeau melon), en a planté dans son jardin. Il parait que c’est excellent avec du poisson… Perso, je préfère les chips au vinaigre, question de goût. Jean-Pierre, lui, il trouve ça exotique. Moi, je trouve surtout qu’il a le palais d’une otarie.

• Elle pousse dans des coins salés. Genre marais salants, estuaires… Bref, là où même les mouettes toussent. Forcément, ça laisse des traces.
• Riche en minéraux, paraît-il. Donc si vous manquez de sodium, sautez sur l’occasion. Mais attention à l’hypertension après !
• On peut la manger crue, cuite, en pickles… Les possibilités sont aussi vastes que l’océan… ou presque.

J’ai goûté une fois. Une seule. J’ai eu soif pendant trois jours. C’est dire.

Quels sont les bienfaits de la salicorne ?

Salicorne. Bienfaits précis : minéraux, vitamines.

• Magnésium.
• Calcium.
• Potassium.
• Bêta-carotène (précurseur vitamine A). Renforce système immunitaire.

Intérêt : Riche en iode, oligo-élément essentiel. Faible en calories. Saveur iodée, substitut sel. Cuisson : vapeur, poêlée, crue. Consommation : fraîche, en conserve, pickles. Récolte : juin à septembre. Côtes françaises. Appelée haricot de mer.