Comment s'appelle le jeune cabillaud ?
Le jeune cabillaud porte plusieurs noms : morue, moruette, et parfois doguette. Ces termes désignent les individus juvéniles, tandis que le terme "cabillaud" est réservé aux adultes.
Quel est le nom du jeune cabillaud ? Appellation et caractéristiques ?
Alors, le jeune cabillaud… C’est un peu flou, mais si je me souviens bien de mes cours de biologie marine en 2018 à Brest, on disait “morue” pour les petits. On parlait aussi de “doguette” ou “moruette”, ça dépendait du prof, en fait.
Un peu bizarre cette histoire de noms, non ? J’ai acheté du cabillaud frais au marché de Camaret-sur-Mer en juillet 2022, environ 15€/kg, et le poissonnier n’a jamais employé ces termes.
En gros, cabillaud, c’est le grand, morue, c’est le petit. Simple comme bonjour, quoique… les nuances sont subtiles ! Difficile d’être précis sans devenir trop technique.
Comment sappelle le cabillaud fumé ?
Le cabillaud fumé… on appelle ça haddock. Mais c’est l’aiglefin fumé en fait. La nuit porte conseil, pas vrai ? Tout se mélange.
Gadidae… le nom de la famille. Ça sonne bizarre, presque oublié déjà.
- Haddock: aiglefin fumé. C’est simple, finalement.
- Aiglefin: le poisson, avant la fumée. Avant tout.
- Cabillaud: dans le Nord. Loin d’ici. Froid, sûrement.
Londres… fish and chips. L’aiglefin, ils préfèrent ça. Ici aussi. On mange ça le vendredi soir parfois. Avec beaucoup de vinaigre. Trop, peut-être. Mais c’est une habitude. Comme ces pensées, la nuit.
J’ai mangé du haddock une fois, chez ma grand-mère. Elle le préparait avec des pommes de terre, beaucoup de crème. Elle n’est plus là. C’était il y a longtemps. L’odeur me revient parfois. Surtout la nuit.
Qui est le mâle de la morue ?
Le mâle de la morue ? Ah, la biologie et ses petites subtilités… Disons simplement qu’il n’existe pas de “morue mâle” comme une espèce distincte.
- La morue, scientifiquement Gadus morhua, est un poisson.
- Comme chez beaucoup d’espèces, il y a des mâles et des femelles.
- Le mâle, eh bien, c’est une morue mâle, tout simplement. Pas de nom exotique ou différent.
C’est comme demander quel est le mâle de la lionne : c’est un lion ! On reste dans le concret.
Réflexion philosophique (légère) : Parfois, on cherche la complexité là où la simplicité règne. C’est un peu comme la vie, non ? On complique souvent les choses alors que la réponse est juste sous notre nez.
Informations complémentaires (juste pour le plaisir) :
- La reproduction de la morue est assez spectaculaire. Les femelles pondent des millions d’œufs, et les mâles les fécondent. Un vrai feu d’artifice sous-marin !
- La morue est un poisson très important pour la pêche commerciale, mais elle est aussi sensible à la surpêche. Il faut faire attention à nos océans.
- J’ai mangé une excellente morue à la portugaise à Lisbonne l’année dernière. Un délice ! Bon, ça n’a rien à voir, mais ça m’a fait penser à ça.
Quelle est lorigine du mot cabillaud ?
Cabillaud… drôle de mot. Ça vient de loin, tu sais. Genre, le XIIIe siècle, si on chipote pas trop.
- Origine : Flamande, apparemment. Ça me fait penser à ma grand-mère, elle adorait le poisson pané.
- Ancien nom : Cabbeliau. C’est plus rigolo, je trouve.
C’est marrant comme un simple mot peut voyager comme ça à travers les âges.
- Kabeljauw : Le nom actuel en néerlandais.
- Baculus : Le latin, encore plus loin. Un bâton. Pourquoi un bâton ? Je me pose la question.
Ça me rappelle mes cours de latin au collège. Mme. Dubois… une autre époque. Plus simple, peut-être. J’ai pas vraiment aimé ça à ce moment-là.
- 1250 : Date de son apparition.
Je me demande si les gens qui mangeaient du cabillaud à l’époque se posaient les mêmes questions que moi.
Quelle est la différence entre léglefin et le cabillaud ?
L’aiglefin, cousin méconnu du cabillaud, partage une chair délicate, presque plus tendre. Imaginez substituer l’un à l’autre dans vos plats favoris. L’effet “waouh” est garanti.
- Goût: Aiglefin, plus subtil. Cabillaud, goût prononcé.
- Texture: Aiglefin, tendre. Cabillaud, ferme.
- Origine: Les deux sont pêchés dans l’Atlantique Nord, mais l’aiglefin gagne à être découvert localement.
Personnellement, j’ai une préférence pour l’aiglefin en fish and chips. Une expérience gustative qui surpasse de loin l’ordinaire. Ma tante, elle, jure que le cabillaud se marie mieux avec une sauce au beurre citronnée. Question de palais, je suppose.
Et puis, on pourrait philosopher sur le choix… Est-ce la quête de la nouveauté, ou la fidélité à une valeur sûre ? Un peu des deux, peut-être.
Pourquoi le colin est-il moins cher que le cabillaud ?
Le colin, moins cher que le cabillaud? Mystère! Ou pas. On dirait que le cabillaud fait un peu sa diva, hein? Trop populaire, la star des étals, ça gonfle les prix. Un peu comme les places de concert pour Beyoncé, quoi.
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Saisonnalité: Le colin, lui, joue la carte de la discrétion. Plus humble, il profite de sa saison sans trop de chichis. C’est un peu le mec qui se faufile devant vous dans la file d’attente du boulanger le dimanche matin. Pas méchant, juste… efficace.
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Demande: Le cabillaud? Un classique! Tout le monde le veut, résultat : boom, prix en flèche! On dirait que son nom même, prestigieux et un peu snob, justifie cette inflation. Comme un sac à main de luxe, quoi.
Mon voisin, un pêcheur qui ressemble étrangement à un vieux viking (et qui sent aussi un peu le poisson), m’a confié, en riant, qu’il y a plus de colin dans la mer que de grains de sable sur la plage de Deauville (je n’ai pas vérifié, hein, je suis pas scientifique).
Alors voilà, c’est une question d’offre et de demande, mais avec un côté théâtral plutôt amusant. Le cabillaud, c’est le théâtre, le colin, c’est le cinéma indépendant, moins connu, mais tout aussi bon.
Enfin, j’ai aussi entendu dire que le colin est moins cher à cause de la surpêche du cabillaud. Mais chuuut, on n’en parle pas, c’est un secret entre nous. Sinon, le prix du cabillaud va encore grimper…
Quel poisson appelle-t-on haddock lorsquil est fumé ?
Haddock ? Ah, le haddock… Ce nom sonne tellement plus… distingué, non ? Comme un Lord anglais un peu trop porté sur le whisky. En réalité, c’est un simple aiglefin qui a décidé de se la jouer sophistiqué en passant par la case “fumoir”.
Imaginez la scène : un aiglefin, 30 à 50 centimètres de long, un peu pataud, avec sa ligne noire sur le dos – le look “grunge” des poissons, quoi. Puis, pouf un petit tour dans la fumée, et hop ! Il se rebaptise “haddock” et se prend pour un chef étoilé. Un peu comme moi qui me prend pour un écrivain brillant après trois cafés.
- Le haddock, c’est de l’aiglefin fumé. C’est tout. Pas besoin de plus de cérémonies.
- La taille ? Entre 30 et 50 cm. Comme mon ex-colocataire après une soirée pizza.
- La ligne noire ? Ouais, il l’a gardée. Un tatouage de mauvais goût, mais bon…
J’ai acheté du haddock hier, d’ailleurs. Au marché, près de chez moi, à côté de la boucherie qui vend une entrecôte à prix d’or. Je suis sûr que le boucher me regarde de travers quand j’achète mon haddock, je ressemble tellement à un pingouin affamé devant une sardine.
Bref, aiglefin fumé = haddock. On a tout dit. Passez une bonne journée, et faites attention aux sardines qui pourraient vous juger.
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