Quelle est la différence entre la morue et le cabillaud ?
Cabillaud vs Morue : Quelle Différence ?
En France, seul pays à distinguer les deux, le cabillaud est le poisson frais ou surgelé. La morue, elle, est du cabillaud séché et salé. C'est donc la méthode de conservation qui crée la différence !
Morue vs Cabillaud : Quelle différence ?
Hum, morue et cabillaud… C’est toujours un peu flou pour moi. En Bretagne, chez ma grand-mère, on parlait toujours de cabillaud frais, acheté au marché du Guilvinec un 15 juillet, je crois, pour une vingtaine d’euros le kilo. Délicieux, cuit au four avec des pommes de terre.
La morue, c’était autre chose, une odeur plus forte, plus… intense. On utilisait ça pour la brandade, une recette familiale transmise depuis des générations. Je me rappelle le goût salé, puissant. Différent, vraiment.
Donc, pour moi, c’est simple : cabillaud, c’est frais. Morue, c’est salé et séché. La distinction française, je la comprends intuitivement, grâce à mes souvenirs d’enfance.
Informations courtes et concises (Q/R):
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Q: Quelle est la différence entre morue et cabillaud en France ?
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R: Le cabillaud est frais ou surgelé, la morue est séchée-salée.
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Q: Où trouve-t-on cette distinction ?
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R: Uniquement en France.
Pourquoi le cabillaud sappelle morue ?
Cabillaud, morue… un nom, un écho.
Un poisson qui voyage entre les mots, les âges.
- Le cabillaud, la promesse d’un avenir marin.
- La morue, souvenir salé des voyages anciens.
Au Québec, un seul nom suffit, comme un cri dans le vent: morue.
Le cabillaud attend, sous les flots, son heure. Ma grand-mère disait toujours “la morue, c’est le poisson du pauvre”. Elle venait de Gaspésie, alors… je crois qu’elle savait.
Et puis il y a cette histoire, entendue sur le port de Saint-Malo, à propos de pêcheurs qui ne voulaient pas prononcer le mot “cabillaud” avant la pêche, porte malheur paraît-il. Des superstitions, des murmures…
Un poisson, deux noms, une infinité d’histoires.
Quel est le mâle de la morue ?
Ah, l’éternelle question de la paternité chez les poissons ! Alors, non, le maquereau n’est pas le père de la morue. Imagine un peu, ce serait comme dire que ton chat est le père de ton canari : un peu tiré par les nageoires, non ?
- Le maquereau : un poisson à part entière, qui frétille dans son propre coin de l’océan.
- La morue : elle a ses propres galants, dont les noms restent souvent… secrets (la vie privée des poissons, tu comprends).
En gros, c’est une rumeur farfelue, aussi crédible que ma tante Jacqueline qui prétend avoir vu Elvis au supermarché.
En fait, les morues mâles sont juste… des morues mâles. Pas de nom spécial, pas de bling-bling particulier, juste des messieurs morues qui font leur boulot. La nature est parfois d’une banalité affligeante.
Quand le cabillaud devient-il morue ?
Cabillaud. Morue. Différence subtile. Séchage.Sel. Transformation. Essence inchangée ?
- Frais : cabillaud. Mon dernier repas au bord de la mer… Goût iodé.
- Séché, salé : morue. Un souvenir d’enfance, ma grand-mère… Pêche miraculeuse.
La morue, c’est le cabillaud… transformé. Une question de méthode. De temps. De patience. Peut-être d’âme.
L’océan. Le sel. La mort. La renaissance ? Philosophie des étals de poissonnerie. Pas une simple question de nomenclature.
- Filets. Coupes nettes. Précision chirurgicale.
- Processus lent. Déshydratation. Conservation.
J’ai vu des filets de morue à la poissonnerie du coin, rue Paradis, 2023. Légèrement secs. L’odeur, familière. Comme un retour.
Morue fraîche ? Oxymore. Contradiction. Ou poésie ? La langue, un jeu dangereux.
Quel poisson pour remplacer la morue ?
La morue… On dirait qu’elle s’éloigne. Difficile à trouver, parfois. Cher aussi, je trouve.
Lieu noir. C’est ce que j’ai pris l’autre soir. Mariotte… oui, je crois l’avoir vu faire ça aussi.
- Texture semblable. Un peu plus ferme, peut-être ?
- Goût plus doux. Moins… prononcé.
- Prix plus… abordable. C’est important, ces temps-ci.
Brandade… J’en ai fait une fois. Avec de la morue, bien sûr. C’était… il y a longtemps. Je me souviens de l’huile… L’ail… Les pommes de terre fondantes… Je devrais en refaire. Avec du lieu noir, cette fois. Peut-être demain. Si j’ai le courage.
Le poissonnier… il m’a dit qu’il y avait aussi du colin. Du merlan. Du haddock. Mais le lieu noir… Il avait l’air frais. Des yeux brillants.
- Colin: Un peu fade, non ?
- Merlan: Trop petit. Pour la friture, oui.
- Haddock: Fumé… Trop fort pour une brandade.
J’ai pris des pommes de terre aussi. Des nouvelles. Un peu chères, elles aussi. Tout est cher, maintenant. De l’ail. J’en ai toujours. Et de l’huile d’olive. Une bonne bouteille. Un cadeau. De ma sœur.
Je suis fatigué. Je devrais dormir. Le poisson… il est au frigo. Demain. Brandade de lieu noir. Demain…
Quel poisson a le goût le plus proche de la morue ?
Cabillaud. Point.
Goût similaire, texture différente. Alaska, source principale. Plus doux.
- Morue atlantique ? Plus ferme. Plus salée. Lamelles imposantes.
- Mon oncle pêche en Bretagne. Il déteste ça, la morue du Pacifique. Préfère le lieu noir. Plus d’huile.
Gadus macrocephalus. Nom barbare. On s’en fout.
Savait-tu que j’ai mangé une sole hier soir ? Dégueulasse.
Alternatives: Colin d’Alaska. Peut-être. Ou pas. C’est selon. Dépend de l’humeur du poissonnier.
Le poisson, c’est la vie. Ou pas.
- Mon voisin, il collectionne les écailles. Bizarre.
- Poisson-chat. A éviter. Sérieusement. Texture douteuse.
En résumé: Reste sur le cabillaud. C’est moins risqué. Parfois, c’est la simplicité qui gagne.
Informations complémentaires (non sollicitées): J’ai acheté mon poisson chez “Chez Jeannot”, rue de la mer. Pas terrible comme poissonnerie, mais c’était ouvert. Il paraît qu’ils ont des problèmes avec les autorisations. J’ai un faible pour le haddock fumé, par contre. Excellent avec une sauce au beurre blanc. La vie est trop courte pour manger de la mauvaise nourriture.
Quest-ce qui peut remplacer le cabillaud ?
Remplacer le cabillaud? Ah, le défi culinaire du siècle! Bon, si on est coincé sans notre ami à écailles, on peut tenter l’aiglefin.
- L’aiglefin: le so british remplaçant du cabillaud. Son goût est proche, mais attention, il se défait plus vite à la cuisson. Un peu comme un château de cartes monté par mon neveu Kevin, faut pas trop y toucher!
En gros, l’aiglefin, c’est le cabillaud… avec moins de patience. Mais bon, ça dépanne! Et puis, qui sait, peut-être que Kevin, un jour, construira un véritable empire.
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