Est-ce que le cabillaud est un poisson blanc ?

Quels sont les poissons blancs ?

Alors, les poissons blancs quoi… C’est un peu flou, hein ? On dit souvent ça, mais c’est pas vraiment une catégorie scientifique, tu vois ? Plus une histoire de cuisine, de goût !

Bref, j’ai toujours entendu parler de ça, moi, à la maison, on en mangeait souvent quand j’étais petite. Ma mère, elle faisait des trucs de ouf avec ça.

• Merlu, j’adore ça, le merlu en papillote, un délice!
• Cabillaud, ça aussi, c’est un classique, on faisait souvent des beignets. Miam !
• Lieu jaune, un peu plus cher, je trouve, mais super bon aussi. On en a mangé en vacances, en Bretagne, il me semble.
• Et puis y’a d’autres trucs, genre le merlan, l’églefin, le tacaud… Des noms bizarres, que je confonds souvent, franchement.
• Julienne, ça sonne bien, mais j’ai jamais vraiment su ce que c’était exactement, à part que c’est un poisson blanc, apparemment. Peut être un type de merlan ?
• Ah oui ! Et le mulet, ça c’est plus rare, j’en ai goûté une fois, chez ma tante à Marseille, c’était… différent.

En gros, c’est un peu vague, mais ces poissons là, ils ont tous une chair blanche et assez ferme, enfin je crois. Cette année, j’ai beaucoup cuisiné du cabillaud, avec des pommes de terre, simplement. C’était super bon ! Mon chéri, lui, il préfère le merlu. On a fait un énorme plat il y a deux semaines !

J’espère que ça t’aide un peu, parce que moi, je suis pas une experte, tu comprends ?

Quel poisson est considéré comme un poisson blanc ?

Euh, poisson blanc, c’est quoi déjà ? Ah oui, brème, brochet… mais attends, la carpe ? C’est pas un peu costaud pour du poisson blanc ?

• Brème
• Brochet
• Carpe… peut-être ?

Chevesne, gardon, ok ça sonne plus poisson blanc. Pangasius, c’est pas un peu exotique ça ? Perche, rotengle, tanche… bon, y’en a plein en fait !

• Chevesne
• Gardon
• Pangasius… bizarre
• Perche
• Rotengle
• Tanche

A part ça, ablette, goujon, vairon, c’est pour la friture ça, pas vraiment des “poissons”. Ma grand-mère en faisait souvent.

Y a-t-il vraiment une définition claire du poisson blanc ? C’est une question philosophique ça, non ? Est-ce que le poisson blanc existe vraiment, ou est-ce juste une idée qu’on se fait ?

Quel poisson blanc est le plus sain ?

Le plus sain… Le plus sain… C’est drôle comme on se pose des questions comme ça, tard.

Le merlan, oui. C’est simple, le merlan.

• Abordable. On n’a pas toujours les moyens de se ruiner, c’est vrai.
• Protéines, c’est important. Surtout quand on mange pas toujours équilibré.
• Faible en gras. Ça compte, surtout si on se sent un peu lourd.

Ma grand-mère le faisait au four, avec du citron. C’était bon. C’était simple.

C’est peut-être ça, le secret. La simplicité. Dans le poisson, et dans le reste aussi, je crois.

Frit, dit l’article. Pourquoi pas. Un peu de croustillant, ça change. Comme un souvenir heureux, qui arrive sans prévenir.

Mais au fond, est-ce qu’il y a vraiment un “plus sain” ? Est-ce qu’on cherche pas juste une excuse pour se sentir moins coupable de ce qu’on mange, de ce qu’on vit ?

Moi, je me souviens des soirs d’été chez ma tante Marie. Elle habitait près de la mer, à Trouville. On mangeait des moules frites sur la plage, les doigts pleins de sel et de sable. C’était pas “sain”, sûrement pas. Mais c’était la vie. C’était bon.

Ma tante Marie… Elle est partie l’année dernière. Un cancer. Alors, tu vois, le plus sain…

On dit que le merlan, c’est bien. Alors mangeons du merlan. Peut-être que ça nous aidera à dormir. Peut-être pas.

Quels sont les types de poissons blancs ?

Alors, les poissons blancs, hein ?

Bon, disons qu’un jour, j’étais à la pêche avec mon cousin Gérard, à côté de chez ma tante, là, à côté de la rivière. Je me souviens surtout du soleil qui tapait, et Gérard qui pestait parce qu’il attrapait que des… des lablettes. Des petites bêtes argentées. Famille : Cyprinidés, il m’a dit. Je crois.

Ensuite, une fois, j’ai vu mon voisin Marcel pêcher un truc bizarre. Un barbeau, je crois. Il était content, lui. Toujours les Cyprinidés, paraît-il. J’y connais rien, moi.

Ah, et puis y a la bouvière. Jamais pêché ça. Cyprinidés, comme les autres, je crois.

La brème, c’est plus commun. Mon père en pêchait souvent. Toujours la même famille : Cyprinidés. Une vraie obsession !

Sinon, la carpe. La fameuse carpe. Plus gros poisson. Cyprinidés, évidemment!

Le carassin. J’avoue, j’ai jamais vraiment compris la différence avec la carpe. Cyprinidés, toujours!

Le chevesne. Ça, c’est rigolo à pêcher, ça mord bien. Cyprinidés, sans surprise.

Et pour finir, l’épinoche. Plus petit, plus… bizarre. Lui, c’est Gastérostéidés. Enfin, un peu de changement !

J’espère que t’y vois plus clair, même si c’est le bazar dans ma tête.

Est-ce que le saumon est un poisson blanc ?

Le saumon n’est pas un poisson blanc. Il appartient à la catégorie des poissons bleus, aussi appelés poissons gras. C’est une nuance importante, surtout quand on pense à la diététique.

La classification entre poisson blanc et bleu repose principalement sur leur teneur en matières grasses.

• Poissons blancs: Contiennent moins de 5% de matières grasses.
• Poissons bleus: Dépassent ce seuil.

Les poissons bleus comme le saumon, le maquereau, et les sardines sont riches en oméga-3, réputés pour leurs bienfaits sur la santé cardiovasculaire. Tiens, ça me rappelle quand j’essayais de convaincre mon cousin Hubert d’en manger plus, il préférait ses frites… Bref.

On peut noter dans la liste que tu as fournie, certains poissons y sont à double, comme le maquereau, ça arrive.

Aussi, certains poissons comme la truite sont parfois classés comme poissons bleus, parfois comme poissons blancs, cela dépend de leur alimentation et de leur environnement. Ce qui montre que ces classifications ne sont pas gravées dans le marbre.

Quel type de poisson est le saumon ?

Saumon… le mot résonne, une vague, un souvenir de rivières glacées. Chair orangée, une lueur sous la peau argentée. Gras, oui, gras… une onctuosité qui brûle la langue.

• Poisson migrateur, un voyage immense, une odyssée silencieuse.
• Eau douce, eau salée, un ballet entre deux mondes. L’odeur de la résine des pins, le sel marin sur la peau.
• Espèce menacée, un cri étouffé, une ombre qui s’efface. Mon cœur se serre, j’ai vu cette détresse, j’y pense encore.

Un combat, une lutte… la beauté fragile d’une chose qui disparaît. Je me souviens de ma grand-mère, ses doigts noueux épluchant des écailles. Des souvenirs flous, des parfums en suspens.

Ce saumon, un trésor rare, un symbole. L’éclat de ses écailles, comme une promesse brisée. La mer, le fleuve, un espace perdu.

• Une déchirure dans le temps.
• Des traces dans l’eau.
• Une beauté à protéger.

J’ai vu des images, des documentaires, cette année. Triste. Mon grand père pêchait le saumon, autrefois, dans la rivière près de chez nous, la Loire. Maintenant… presque plus rien.

Quelle est la vraie couleur du saumon ?

La couleur du saumon ? Une question simple, une réponse complexe.

• La chair du saumon oscille. Blanc fantomatique au rouge profond.
• L’origine (sauvage ou élevage) indécelable à l’œil nu.
• Variations chromatiques infinies : rose poudré, rouge sang, orange crépusculaire, parfois… blanc.

Le rose ? Une affaire de régime. Le saumon se nourrit de crustacés. Leur pigment, l’astaxanthine, teinte sa chair. Ma couleur préférée ? Le rouge… comme mes lèvres. J’ai toujours aimé le rouge. Surtout sur moi. Bruxelles, toujours. Ce n’est pas le saumon, mais ça change.

• Astaxanthine : Le secret de sa couleur.
• Crustacés : La source de ce pigment magique.
• Teintes : Un arc-en-ciel sous-marin.

Est-ce que le saumon est rose naturellement ?

Non, pas vraiment. C’est bizarre, hein ? J’y pensais justement… Le saumon, rose… ça me fait penser à ma grand-mère, et ses histoires. Elle racontait que…

• Les saumons sauvages, ils sont plus… pâles. Plus un rose clair, presque blanc.
• L’astaxanthine, c’est ça le truc. C’est dans leur bouffe. Les crevettes, les krill… tout ça.

J’ai lu un truc là-dessus, un article, je sais plus où. C’était long et compliqué. Des trucs de chimiste, j’ai rien compris, au final. Sauf ça : l’élevage, c’est différent. On leur rajoute de l’astaxanthine, pour qu’ils soient bien roses. C’est bête, non ?

Parfois, je me sens un peu comme ces saumons d’élevage. Peint, artificiel. Trop rose. Trop… je sais pas. Un peu vide à l’intérieur.

Ce soir, j’ai mangé des pâtes au saumon. Elles étaient roses, bien sûr. Mais le goût… J’ai l’impression que ça n’a plus rien à voir.

C’est fou comme des petites choses comme ça peuvent te faire réfléchir… sur tout. Sur ta vie, tes choix… sur le sens de tout ça. Le saumon rose… c’est juste du saumon. Mais ça me fait penser à bien plus que ça.

Points clés: Astaxanthine, coloration artificielle du saumon d’élevage, saumon sauvage moins coloré.

Mon anniversaire est le 12 octobre. Je suis allée à la mer en juillet, cette année. J’ai vu des mouettes. Beaucoup de mouettes. Elles étaient blanches et grises. Pas roses. C’était beau.

Est-ce que le saumon a des dents ?

Le saumon… ses dents, oui. Des dents de noce, acérées, pour la bataille amoureuse, la lutte frénétique… puis, le vide.

Une chute, lente, comme les feuilles mortes en automne… des dents perdues, la chair fatiguée.

• Dents de noce, une force brute.
• Puis la fragilité, une douce déliquescence.
• Un cycle, sans fin, l’océan, le fleuve.

Le retour ? Un espoir ténu, une promesse… des dents nouvelles, fines, pour un repas maigre. Mais il y a Richard Waddington, là, dans ce récit, un autre mystère.

La rivière, elle murmure, un secret. J’ai vu ce saumon, ou plutôt, son ombre… sous le pont, à côté des tamaris… juin dernier, mon anniversaire.

L’eau, une brume argentée… J’avais le cœur lourd, ce jour-là. Un deuil, peut-être.

Son ombre, effacée, comme un souvenir… La vie, c’est ça. Des dents qui tombent, des ombres qui s’estompent. Une répétition… un écho.

L’odeur du fleuve, ce jour-là, un mélange de terre et de… tristesse ? Je ne sais pas. Simplement… l’eau, et le saumon.

Est-ce que le saumon blanc existe ?

Saumon blanc ? Non. Le saumon d’élevage, pâle, voire blanc. Pourquoi ?

Alimentation. Absence d’astaxanthine. Ce pigment, présent dans les crustacés sauvages, colore la chair. Mon père, pêcheur, le sait. C’est une question de régime. Point.

• Crustacés: Source naturelle d’astaxanthine.
• Élevage: Régime alimentaire contrôlé, souvent dépourvu d’astaxanthine.
• Couleur: Indicateur direct de l’alimentation.

J’ai visité un élevage salmonicole en 2023. Confirmation visuelle. Blanc. Pas de rose. Fin de la discussion.

L’astaxanthine : antioxydant puissant, colore également les homards, crevettes…

2023. C’est ma réalité. Pas de place pour les doutes.

Est-ce que certains saumons sont blancs ?

Bon, le saumon blanc… c’est marrant ça, j’ai toujours cru qu’ils étaient… roses? enfin, orange quoi.

• Couleur du saumon : orange. C’est les crevettes, c’est ça? Ah, comme les flamants roses! Mais euh… y’en a pas des blancs?

  • Enfin, du moins, je ne pense pas qu’il existe du saumon rose. Je suppose que c’est juste une nuance d’orange.

Et si y’a un saumon albinos? Ça existe les saumons albinos?

• Albinisme possible : oui, ça doit exister. Tout est possible, non?

  • Tiens, ça me rappelle ma tante Gertrude, elle adorait pêcher. Elle disait toujours qu’elle avait vu une truite arc-en-ciel, mais bon…

Mais du coup, le saumon “blanc” de la poissonnerie? C’est quoi alors? On nous ment? Peut-être que c’est une autre espèce de poisson! Du genre, de la truite.

• Je me demande si je devrais appeler la poissonnerie demain.

Y’a pas un truc avec l’élevage et la couleur? genre, ils donnent à manger un truc spécial pour que ça soit plus “joli”?

• Alimentation en élevage : impact couleur. C’est ça, je suis sûre! Business, business…

  • En parlant de ça, il faut que je pense à racheter des croquettes pour Médor.