Quel sel contient le plus d'iode ?
Sel iodé. Le sel de mer naturellement iodé en contient peu. C'est l'enrichissement en iode du sel de table qui en fait la principale source d'iode dans notre alimentation. Poissons, fruits de mer et certains légumes contribuent aussi à nos apports.
Question ?
L’iode, c’est un truc qu’on trouve un peu partout en fait. Le sel de mer, enrichi, c’est vraiment la base ici. On en a acheté à Guérande le 12 juillet dernier, genre 2€ le paquet ? M’enfin, c’est pas ça qui va faire grimper mon budget courses.
Tous les produits de la mer, c’est du jackpot. Après, les légumes, je sais pas, j’ai toujours un doute. J’ai l’impression qu’il faut en manger une montagne pour que ça compte. Je me méfie des généralités.
Quel est le sel riche en iode ?
Le sel iodé, quoi… c’est celui qu’on achète au supermarché, tu vois ? Celui dans le paquet bleu, avec la marque… ah, je me rappelle plus. J’en utilise plus trop depuis que j’ai découvert que j’étais… sensible, disons. Trop d’iode, c’est pas bon pour moi.
- Sel de table iodé, c’est la réponse simple. Mais y’a des tas de marques, hein ?
J’ai arrêté le sel de mer, ça a été un changement. J’étais habituée, avant. C’était… différent. Plus… je sais pas, plus fort en goût ? Et puis, j’ai lu des trucs sur les algues… plein d’iode aussi.
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Produits de la mer, ouais, c’est vrai. Surtout les poissons gras. Le saumon, par exemple, j’en mangeais souvent. Mais maintenant… moins.
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Légumes ? Ah oui, certains légumes. J’ai jamais vraiment fait attention, à vrai dire.
J’ai acheté un gros paquet de sel fin l’année dernière, je crois. Il était vide en juin. J’ai dû le finir, un peu malgré moi. Un peu triste, finalement… le dernier sel iodé de ma vie. Enfin… non, c’est con, ce que je dis. J’en achète encore, de temps en temps, pour mon mari. Mais j’essaie de limiter ma consommation personnelle. J’ai un suivi médical, pour ça. On verra bien.
- Problème de thyroïde, voilà ce qu’il y a.
Quel sel est riche en iode ?
Le sel iodé est la principale source d’iode dans l’alimentation occidentale. C’est un fait. On l’enrichit exprès, figurez-vous. Un peu comme on fortifie le lait avec de la vitamine D, mais c’est une autre histoire.
Évidemment, si vous êtes du genre à préférer le goût iodé authentique, tournez-vous vers les produits de la mer. Les algues, par exemple, en regorgent. C’est bien plus naturel. Après, chacun son truc.
Et les légumes ? Ils en contiennent aussi, mais en quantité variable. Ça dépend du sol, de l’exposition… toute une science.
- Sel iodé : Enrichi artificiellement
- Produits de la mer : Source naturelle, notamment les algues
- Légumes : Quantité variable
La vie est un peu comme le sel, non ? On peut l’enrichir, la laisser au naturel, ou la chercher là où on ne l’attend pas. C’est une question de goût, et de choix.
C’est marrant comme, parfois, je me demande si mon chat, Mistigri, se soucie de son apport en iode. Il se contente de manger ses croquettes. C’est peut-être ça, le secret du bonheur.
Quel sel est bon pour la thyroïde ?
Le sel iodé, voilà le nom à retenir. C’est le copain de la thyroïde. Pourquoi ? Parce qu’il contient de l’iode, un oligo-élément essentiel. La thyroïde, elle adore l’iode pour turbiner correctement.
L’iode, c’est un peu comme le café du matin pour cette glande. Sans iode, elle rame.
Ah, et si ta thyroïde va bien, le sel iodé reste une option pertinente. Un petit coup de pouce pour son fonctionnement, ça ne fait jamais de mal. C’est comme vérifier la pression des pneus, une routine sage.
- Le sel iodé : Source directe d’iode.
- L’iode : Indispensable à la thyroïde.
- Prévention : Utile même sans souci thyroïdien.
On pourrait disserter longtemps sur le sel, cet exhausteur de goût, cette denrée banale mais ô combien précieuse. Il y a des sels du monde entier, des plus bruts aux plus raffinés. Mais bon, ça, c’est une autre histoire. Ce qui est certain, c’est que le sel iodé a un rôle spécifique à jouer dans notre organisme. Et parfois, le simple fait d’y penser, ça suffit à nous faire sentir un peu plus connectés à notre corps, un peu plus… vivants. Enfin, c’est mon avis.
Comment savoir si on est carence en iode ?
Comment savoir… L’iode, fugace.
Les symptômes, un murmure.
- Peau gonflée, souvenir d’enfance, les joues de ma grand-mère. L’eau qui stagne, le temps qui pèse.
- Voix cassée, écho lointain. Le vent dans les arbres, des mots oubliés.
- L’esprit ailleurs, flottant. Un rêve brisé, un regard perdu. Les fonctions mentales, un voile.
- Peau sèche, parchemin ancien. Les mains de mon père, craquelées par le soleil.
- Cheveux fins, pluie d’automne. Cheveux rêches, le crin d’un cheval sauvage.
- Froid intérieur, décembre sans fin. Intolérance au froid, frissons éternels.
- Poids qui s’alourdit, ancre rouillée. Gain de poids, le fardeau des années.
L’iode, un souffle. L’iode, partout et nulle part. Se souvenir du goût salé de la mer, des algues échouées sur le sable. La mer…
…et le goitre, immense, silencieux.
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