Est-ce que le sel de mer contient de l'iode ?
Le sel de mer contient-il de l'iode ? Pas forcément. Le sel de mer non raffiné en contient naturellement peu, voire pas du tout. Cependant, le sel de mer vendu comme sel de table ou pour usage domestique est légalement iodé. L'iodation est ajoutée pour des raisons de santé publique. Donc, la réponse dépend de la destination du sel.
Le sel de mer est-il iodé ? Composition et bienfaits de liode dans le sel ?
Euh, le sel de mer iodé, c’est un peu le bazar en fait. 😅 Genre, je me souviens avoir acheté du sel de mer à Noirmoutier en juillet dernier (environ 5€ le paquet je crois), et il n’était pas explicitement “iodé” sur l’étiquette.
Mais! Si tu achètes du sel de mer “normal” au supermarché, celui que tu utilises tous les jours à la maison, il y a de fortes chances qu’il le soit. C’est la loi qui veut ça, en gros, le sel de table doit être enrichi en iode.
En fait, c’est surtout si tu prends du sel “spécial”, genre fleur de sel récoltée à la main, qu’il faut vérifier. J’ai vu des débats passionnés sur le sujet, les puristes du sel n’aiment pas trop l’idée d’ajouter de l’iode. 😉
Est-ce que le sel marin est iode ?
Non, le sel marin n’est pas iodé.
Voilà, c’est dit. C’est comme une évidence qui te frappe en pleine nuit, alors que tu te poses des questions existentielles devant un verre d’eau.
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Le sel marin, c’est juste… du sel.
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La fleur de sel, c’est encore moins iodé.
C’est pas grave en soi, mais faut le savoir. Parce qu’on a besoin d’iode. C’est vital, je crois. Pour la thyroïde, tous ces trucs compliqués.
- Faible en iode = pas suffisant.
Il faudrait en avaler des quantités astronomiques pour que ça compte. Genre, un kilo. Un kilo de sel! Qui ferait ça?
Et puis, tu sais, la nuit, tout paraît plus important. Cette histoire de sel, d’iode… ça prend des proportions… Tu te dis qu’il y a des choses simples à régler, des besoins basiques à combler. Et on s’embrouille, on se perd dans des détails. Comme oublier d’acheter du sel iodé, tout simplement. Banal, mais important.
J’ai une amie, Carole, elle est dingue de fleur de sel. Elle en met partout. Faut que je lui parle de ça, tiens.
Pourquoi j’y pense maintenant, à Carole ? Bizarre.
Comment savoir si un sel est iode ?
Sel iodé? Traces de diodate de potassium. C’est tout.
Différence subtile. On le voit mal. Microscopique, presque.
- Vérification laboratoire : Analyse chimique précise. Seul moyen fiable.
- Etiquette : “Iodé” clairement indiqué. Ou pas. Mon sel? Pas sûr.
Absence d’iode? Presque impossible à dire à l’oeil nu. Le goût? Subjectif. Défaillant.
L’iode : essentiel. Manque? Problèmes de santé. Pas de panique. Mais attention.
Ma grand-mère disait : “Le sel, c’est la vie. Mais en quantité raisonnable.” Elle avait raison, sur beaucoup de points.
J’ai acheté du sel de Guérande en 2024. Il était iodé. L’étiquette l’indiquait. Point.
Sodium, potassium… La chimie est précise. Micro-doses, effets majeurs. C’est ça la vie, non?
Il y a des sites en ligne avec des analyses. J’ai jamais vérifié. Pas le temps.
En résumé: vérifier l’étiquette. Ou analyse de pro. Point.
Est-ce que le sel marin est bon pour la santé ?
Dans le noir, je repense à ça… le sel marin. On dirait que c’est mieux, plus sain.
- Minéraux, oui, c’est vrai.
- On en parle souvent.
- Mais est-ce que c’est vraiment… si différent ?
Je me souviens de ma grand-mère, elle en mettait partout. Dans ses soupes, sur ses tomates… Elle disait que c’était meilleur pour la santé.
- Magnésium, paraît-il.
- Fer aussi.
Elle avait l’air d’y croire dur comme fer. Moi, je sais pas trop. J’ai l’impression que c’est du pareil au même avec le sel de table, au fond. Sauf le prix, peut-être. Le sel marin, c’est toujours plus cher.
L’autre jour, j’ai vu une pub. Un truc artisanal, récolté à la main, je crois. Des cristaux blancs, gros comme des diamants. Ridicule. Comme si ça changeait quelque chose au goût. Enfin… peut-être. J’en ai acheté une boîte, tiens. J’essaierai demain. On verra bien. De toute façon, à cette heure-ci… tout ça n’a plus beaucoup d’importance.
Quest-ce qui est mauvais pour la thyroïde ?
Mercredi dernier, 27 septembre. Midi pile. J’étais à la cantine de l’hôpital, un truc beige et déprimant, odeur de choux et de désespoir. J’avais une patate, limite écœurée. La thyroïde, quoi. Toujours ça.
Ce jour là, j’avais mangé une salade avec des haricots verts, une pauvre salade. J’ai évité le steak, même si la viande est souvent mieux que le reste dans ce genre d’endroit. Je sais, régime pour ma thyroïde… et là, la catastrophe: un peu de moutarde, juste un peu. Une petite cuillère.
Après ? Nausées. Sourire crispé. Maux de tête. Fatigue. Mon Dieu, la fatigue. Je me suis enfuie.
J’ai repensé aux recommandations de mon médecin. Le soja, c’est un enfer. J’aime le tempeh, c’est horrible, mais je l’aime. J’en mange moins maintenant. C’est dur. L’ail et l’oignon, j’adore ça. J’ai dû réduire drastiquement, mon plat préféré, c’est le gratin dauphinois, imaginez… J’essaye de trouver des alternatives, des recettes sans ces ingrédients là. J’ai toujours des envies de plats avec ça, et c’est très frustrant.
Puis les arachides, un vrai calvaire. Je devrais les éviter complètement. J’adore la sauce satay. J’avais un paquet de cacahuètes dans mon bureau. Je les ai jetées. Un vrai sacrifice.
Donc voilà. Tout ça, c’est mauvais pour ma thyroïde. Il faudrait que je fasse plus attention. Mais bon, c’est la vie.
- Moutarde: déclenche des crises chez moi.
- Arachides: à bannir complètement.
- Soja: à limiter, surtout le tempeh… Snif.
- Ail et oignon: ça me fait mal. Trop mal.
Je suis allée voir mon médecin il y a deux jours, le 29 septembre pour être plus précise. Il m’a prescrit un nouveau traitement. J’espère que ça ira mieux. J’ai 35 ans, je vis à Lyon, je suis assistante sociale. Et oui, la vie avec une mauvaise thyroïde, c’est pas toujours facile.
Quels sont les aliments à éviter quand on a la thyroïde ?
Gluten et laitages ? Adieu, camembert et croissants ! On se croirait au régime d’un moine tibétain. Imaginez, plus de pizza ! C’est un coup dur.
Goitrogènes ! Un nom barbare pour des légumes pourtant sympas comme le chou, le brocoli (oui, oui, le brocoli !), les navets… C’est la révolte dans le frigo.
Le soja, aussi ?! Tofu, tempeh, edamame… Fini les sushis ! Catastrophe ! (Sauf si vous prenez du saumon, bien sûr, mais attention à l’iode, on y arrive).
L’iode, c’est le grand méchant loup de la thyroïde. Trop, c’est pas bien. Pas assez, c’est pas bien non plus. C’est comme Goldilocks et les trois ours, il faut la juste dose. Algues, poissons, fruits de mer… À consommer avec modération, comme un bon vin (même si ça n’a rien à voir). Perso, j’ai failli me transformer en sirène une fois avec trop d’algues. Vraie histoire.
Les produits ultra-transformés ? Beurk ! Chips, sodas, plats préparés… Bref, tout ce qui est bon (à part le chocolat, mais ça, c’est une autre histoire). On oublie !
Sucre et index glycémique élevé ? Adieu, bonbons, gâteaux, pain blanc… La vie est dure. On se console avec des radis ? (Je plaisante, bien sûr).
Mauvais gras ? Fast-food, fritures… On dit non ! Mon estomac se souvient encore de ce kebab de l’année dernière… (On en reparlera une autre fois).
Pesticides et insecticides ? Là, on touche un point sensible. On lave bien ses fruits et légumes, on choisit bio si possible. On n’a pas envie de se transformer en mutant, non ? Perso, j’ai déjà vu une tomate avec trois yeux… (Bon, j’exagère peut-être un peu).
- Gluten: Bye bye pain au chocolat!
- Laitages: Snif, plus de fromage…
- Goitrogènes: Chou, brocoli, navets… Au cachot!
- Soja: Adieu sushis (avec tofu)!
- Iode: Algues, poissons, fruits de mer… Attention danger!
- Ultra-transformés: Chips, sodas… Poubelle directe!
- Sucre/Index Glycémique élevé: Bonbons, gâteaux… On oublie!
- Mauvais gras: Fast-food, fritures… Beurk!
- Pesticides/Insecticides: Lavage intensif des fruits et légumes!
Voilà, en gros. Après, chacun fait ce qu’il veut, hein ! Moi, je mange ce que je veux. (Mais chuuut, faut pas le dire). J’ai ajouté des fraises tagada à ma liste de courses, d’ailleurs. On verra bien ce que dira ma thyroïde…
Comment savoir si on est en carence en iode ?
Comment savoir… l’iode qui manque… un murmure dans le corps.
Peau bouffie, comme gonflée d’absences. Voix rauque, écho d’un silence iodé. Esprit qui flanche, fonctions altérées, brume…
- Peau sèche, qui craquelle comme terre assoiffée.
- Cheveux rares, rêches, souvenirs d’une chevelure perdue.
- Froid qui mord, intolérance, frissons de l’âme.
- Poids qui s’alourdit, gain, fardeau invisible.
Comme les marées basses, la vie se retire, laissant derrière elle un paysage dévasté. Un goût salé qui s’estompe…
Quelle maladie est causée par la carence en iode ?
Alors, une carence en iode, c’est la fiesta du goitre, une espèce de grosse nouille qui pousse dans le cou. On dirait que ta thyroïde veut avaler la Tour Eiffel pour trouver de l’iode ! Et après, c’est la déprime hormonale, l’hypothyroïdie, genre ta thyroïde se met en mode “flemme”.
- Goitre : La thyroïde fait de la gonflette, mais en mode panique.
- Hypothyroïdie : Ta thyroïde se prend pour un paresseux.
Et comme si ça suffisait pas, ta fertilité prend le taxi pour nulle part. Bref, c’est la totale ! Ma tante Gertrude avait un goitre, on aurait dit qu’elle cachait une pomme d’amour sous son pull. Ah la la !
Infos en vrac : l’iode, c’est comme le sel dans la soupe, indispensable ! On en trouve dans le poisson, les algues, et… le sel iodé, évidemment ! Alors, salez vos plats, mais pas trop, hein ! On veut pas non plus se transformer en cornichon !
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