Pourquoi maigrit-on par palier ?

Alors, pourquoi ces fichus paliers quand on essaie de maigrir ? On a l’impression de se démener, de faire tous les efforts du monde, et puis… plus rien. La balance reste obstinément bloquée. Frustrant, non ?

On nous dit que c’est “l’homéostasie”. Un mot barbare pour dire que notre corps, en gros, est une créature d’habitude. Il aime bien sa petite routine, et quand on le chamboule trop, il se braque. Il enregistre ce nouveau poids, celui qu’on a si durement gagné (perdu, plutôt!), et il se dit : “Ok, c’est ça maintenant, je vais me débrouiller avec ça”. Du coup, il ralentit le métabolisme, brûle moins de calories… Il s’adapte, quoi. Mais pas toujours dans le sens qu’on voudrait !

Je me souviens, à une époque où j’avais décidé de me reprendre en main, j’avais perdu pas mal de kilos au début, super motivée. Et puis, BIM, le palier. Deux semaines sans bouger d’un gramme. J’avais envie de tout laisser tomber. Est-ce que vous connaissez ça, ce sentiment d’impuissance ?

Alors, comment on fait pour relancer la machine ? Bah, on nous dit d’ajuster l’alimentation ou l’activité physique. Facile à dire ! Mais en réalité, ça veut dire quoi ? Peut-être diminuer encore un peu les portions, essayer de nouvelles recettes moins caloriques, ou ajouter une séance de sport par semaine. Ou peut-être changer complètement le type d’entraînement. Moi, ce qui avait marché, c’était de passer du cardio à la musculation. Enfin, je crois. C’est tellement dur de savoir ce qui fonctionne vraiment…

En tout cas, une chose est sûre : il faut de la patience. Et de la persévérance. Des mots qui sonnent creux quand on est au milieu du gué, non ? Mais en même temps, c’est la vérité. Il faut accepter que le corps a besoin de temps pour s’adapter, et ne pas se décourager à la première difficulté. Parce que, au final, si on continue, on finit toujours par y arriver. Enfin… j’espère !