Quels sont les différents types de mémorisation ?

Quels sont les différents types de mémorisation ? Oh là là, question qui me taraude depuis… toujours, en fait ! On dirait que ma tête est un grenier mal rangé, des souvenirs éparpillés un peu partout. Comment ça marche, au juste, cette mémoire ?

On m’a toujours dit qu’il y avait plusieurs sortes de mémoire, hein ? C’est comme si on avait plusieurs tiroirs dans le cerveau. Il y a la mémoire de travail, par exemple. Celle-là, c’est la fragile, la volatile, celle qui retient le numéro de téléphone juste le temps de le composer avant de l’oublier aussitôt. Un peu comme quand j’essaye de retenir une liste de courses – pommes, lait, ah oui, et… zut, j’ai déjà oublié !

Puis il y a la mémoire… comment on dit déjà ? Ah oui, la mémoire à long terme ! Celle-ci, c’est un peu plus solide. Je me souviens encore parfaitement de l’odeur des gaufres de ma grand-mère, le dimanche matin, l’impression de chaleur du soleil sur ma peau pendant nos vacances en Bretagne… C’est ça, la mémoire épisodique, non ? Des souvenirs, des moments précis. Et la mémoire sémantique, c’est plus… les connaissances générales ? Comme savoir que Paris est la capitale de la France. Ça, c’est ancré, quoi. C’est moins personnel, plus… encyclopédique.

Et puis il y a la mémoire procédurale, celle des automatismes, vous savez ? Comme conduire une voiture, ça devient presque inconscient après un moment. Ou faire du vélo. J’ai appris il y a longtemps, et même si je n’ai pas touché à un vélo depuis des années, je suis sûre que je saurais remarcher… Enfin, j’espère ! Ça, c’est fascinant.

Et la mémoire perceptive… lié aux sens, disent-ils. C’est dingue, n’est-ce pas ? Le parfum de la pluie sur le bitume qui me ramène instantanément à mon enfance, ou la mélodie d’une vieille chanson qui me fait revivre une soirée particulière… Comme si les sens étaient des clés magiques pour ouvrir des coffres à souvenirs !

Bref, c’est un sacré bazar tout ça ! Mais c’est aussi ça qui est magique, non ? Cette complexité, cette capacité de notre cerveau à stocker, trier, retrouver… ou oublier ! Parfois, je me demande si ce n’est pas mieux d’oublier certaines choses… mais bon, c’est une autre histoire…