Comment conserver du poisson séché ?

Comment bien conserver le poisson séché pour une fraîcheur optimale ?

Alors, le poisson séché, comment qu’on fait pour le garder frais ? Franchement, j’ai toujours trouvé ça un peu mystérieux.

Tiens, j’ai vu un reportage une fois sur des villages en Afrique… ils laissaient le poisson sécher au soleil, genre, pendant des lustres. Incroyable, non ?

Moi, perso, je le mets dans des grands bocaux en verre (ceux de chez Le Parfait, top qualité!), dans un placard de ma cuisine. C’est au sec, y a de l’air qui circule, et c’est plutôt propre, faut dire. J’ai payé environ 15€ pièce, mais ça vaut le coup pour la conservation.

L’humidité, c’est le pire ennemi. Et la chaleur, ça aide pas non plus. Donc, un endroit frais et sec, c’est la base. On est d’accord.

J’ai testé plusieurs méthodes, et celle-là, c’est celle qui marche le mieux pour moi. Ça me permet de garder le poisson séché plus longtemps, sans qu’il ne devienne rance ou moisi.

Voilà mon petit secret.

Quelles sont les méthodes de conservation du poisson ?

Ouais, la conservation du poisson… ça me ramène à mon grand-père. Il pêchait des bars, des soles… On les gardait au frais, dans une glacière en bois, avec des blocs de glace. Simple, mais efficace, hein ? On mangeait ça frais ou on le salaisonnait, un truc de famille.

• Glacier : c’était le truc essentiel, avant le frigo. Des blocs de glace, on allait les chercher chez le marchand de glace, en ville.

Maintenant, c’est différent. J’ai vu ma sœur utiliser du sel, des trucs comme ça, pour préparer le poisson pour une sauce, genre un poisson cru mariné. Et puis, évidemment, il y a le congélateur, mais ça change le goût, j’aime moins.

• Filetage / Parage : indispensable pour que ça se conserve mieux, c’est vrai. On enlevait tout ce qui était superflu, on le nettoyait bien. C’est une étape cruciale.

• Additifs : je connais pas trop, à part le sel, maintenant. J’imagine que c’est pour préserver la couleur, éviter que ça pourrisse trop vite. Je sais pas trop. Mon grand père n’utilisait rien. C’était plus simple, avant.

• Traitements thermiques : fumoir, ça sent bon, même si c’est pas vraiment ma tasse de thé. La cuisson, évidemment, mais on perd la saveur originale. Surtout les poissons fins.

2023, c’est plus industriel. L’entreprise familiale de mon cousin travaille avec la congélation ultra-rapide, et des traitements au laser, j’ai entendu dire, pour la préservation. Moi, je reste plus sur les méthodes traditionnelles, quand je peux. Plus authentique, je trouve. Mais bon, c’est plus de boulot…

C’est fou comme on perd des traditions, parfois. Je me souviens des odeurs, du bruit, de tout ça… Putain, la nostalgie, ça me bouffe. J’ai perdu contact avec mon cousin, je sais pas pourquoi. J’espère qu’il va bien.

J’ai une recette de ma grand mère de poisson mariné, je devrais la noter quelque part. Avant qu’elle ne disparaisse à tout jamais. Comme beaucoup de choses, en fait.

#Conservation #Poisson Sec #Stockage