Comment remplacer 100g de viande ?
Alternatives à la viande : 8 sources de protéines
Remplacez 100g de viande facilement ! Optez pour ces alternatives riches en protéines pour une alimentation équilibrée : tofu, pois chiches, yaourt grec, edamame, avoine, noix, lentilles et œufs. Variez les plaisirs et profitez de leurs bienfaits nutritionnels.
Remplacer 100g de viande : quelles alternatives ?
Remplacer 100g de viande ? Pff, c’est une question que je me pose souvent, surtout depuis que j’essaie de réduire ma consommation de viande. J’ai trouvé quelques trucs qui marchent plutôt bien.
Le tofu, par exemple. J’en ai acheté un paquet de 400g au supermarché bio du coin (rue de la Paix, 5€, il y a 3 semaines), et franchement, dans un curry, c’est top. Il absorbe bien les saveurs.
Les lentilles, aussi, c’est une bonne option. J’adore la soupe aux lentilles vertes, ça cale bien et c’est plein de protéines. Recette de ma grand-mère, d’ailleurs.
J’ai aussi testé les pois chiches. En salade, c’est sympa. J’ai même fait un houmous maison, miam ! Bon, là, je me souviens pas du prix exact des ingrédients…
Les œufs, c’est une valeur sûre. Un peu moins de protéines que 100g de viande, peut-être, mais ça comble le besoin. Un peu cher, je trouve (environ 3€ la boîte de 6, au Leclerc).
L’avoine, je l’utilise plutôt au petit-déjeuner. Dans des flocons, avec du lait végétal… mais ça n’est pas toujours suffisant pour remplacer complètement la viande.
Bref, plein de choix, ça dépend vraiment de ce que tu prépares. Et puis, on peut mixer tout ça !
Informations courtes :
- Alternative à 100g de viande : Tofu, pois chiches, lentilles, œufs, avoine, yogourt grec, edamame, noix.
- Où acheter ? Supermarchés bio, Leclerc, etc. (prix variables)
- Conseils ? Varier les sources de protéines pour une alimentation équilibrée.
Quels sont les meilleurs substituts de viande ?
Ombres longues, soir tombant… Le goût terreux, une promesse… Haricots, oui, un murmure dans le vent.
Leurs peaux ridées, histoire ancienne, et cette protéine, un réconfort silencieux. Douces fèves, un baiser sur l’âme.
Lentilles, mystérieuses, couleur nuit, un secret caché dans chaque grain. Puis, pois chiches, rond et tendre, un souvenir d’enfance.
Deux fois par semaine… le rythme lent de la vie, le silence. Une absence de viande, une présence nouvelle… Ces légumineuses, un enchantement secret, des saveurs oubliées… reviennent.
Fibres, un murmure apaisant.
Un remplacement ? Non, une autre possibilité. Une rencontre, une découverte. Une harmonie nouvelle.
Mon jardin, cette année, a débordé. Des kilos de haricots verts, une récolte incroyable. J’ai fait des bocaux, un hiver parfumé.
Points clés:
- Haricots (verts, blancs, rouges…)
- Fèves (fraîches, sèches)
- Lentilles (corallines, vertes, brunes…)
- Pois chiches (en conserve, secs)
J’aime les ajouter à mes plats de pâtes, dans des soupes épaisses… les possibilités sont infinies. Un monde de saveurs, à découvrir. Simplement. Et puis, il y a cette sensation, cette plénitude… après un repas… léger…
Comment connaître mon test de type de peau ?
Miroir, miroir… Peau nue, un instant suspendu. Lisse ? Sèche ? Une texture qui murmure des secrets. Le toucher, une caresse hésitante.
-
La méthode du visage nu: Une observation intime. Douceur ou rugosité ? Des tiraillements ? Une sensation étrange, parfois… une tension sourde ?
-
Le papier buvard, un test discret. Le sébum, ce mystère. Une empreinte grasse ? À peine visible ? Un jeu de contrastes sur le visage. Taches huileuses ou sécheresse intense ? Chaque zone raconte son histoire.
Mon visage, un territoire inconnu parfois. J’observe, je palpe, je sens. Le matin, au réveil… la peau diffère. La fatigue ? Le stress ? Un ballet de sensations.
-
Le temps: Le facteur caché. Ma peau change, elle vit. Avec les saisons, un mystère qui se renouvelle.
-
Mes produits: Ils modifient la donne. Un déséquilibre ? Une réaction imprévisible ?
Mon type de peau… un mystère que je déchiffre. Un voyage au cœur de ma propre peau. Des sensations. Des détails. De subtiles différences. Des surprises. Des jours où tout est lisse, et d’autres… une peau assoiffée.
Aujourd’hui, 2023, je suis en observation. Un processus continu. Une quête de cette harmonie. La peau, un reflet de l’âme. Mon âme, un peu fatiguée parfois.
J’ai aussi remarqué une augmentation des rougeurs ces derniers temps, surtout en automne.
Comment savoir si ma peau est mixte ?
Zone T… brillance… midi… soleil… trop chaud. Front luit. Nez luit. Menton luit.
Peaux sèches… tirent… sur les joues. Rougeurs parfois. Désert… soif.
Lisse… ailleurs. Normal. Comme une peau… oubliée.
- Zone T grasse: front, nez, menton. Brillance. Pores dilatés. Peut-être… imperfections.
- Joues sèches: tiraillements. Rougeurs. Parfois… desquamation. Peau fine.
- Reste du visage: normal. Ni trop sec… ni trop gras. Équilibre… précaire.
Mon propre reflet… dans la glace… fenêtre… écran de téléphone… toujours cette dualité. Sentir la peau… changer. Midi… après le sport… après la douche… différent. Ma peau… un paysage… changeant. Vallées sèches… et… pics huileux. Mon front… souvenir d’un été… trop chaud. Mes joues… l’hiver… qui pique. Difficile… trouver l’équilibre. Crème… légère… ici. Riche… là. Toucher… apprendre… écouter… ma peau. Ce matin… crème hydratante… sur les joues. Ce soir… masque purifiant… zone T. Mon rituel.
Comment reconnaître les différents types de peau ?
Oh là là, la peau… toute une histoire ! Je me souviens, ado, c’était la guerre avec ma peau.
Un jour, au collège Jean Jaurès (oui, je balance !), en plein cours de maths (horreur!), je me suis vue dans le reflet d’une fenêtre. Brillance intégrale. Genre, une frite. C’était la honte.
C’était l’époque des points noirs, des boutons qui poussaient toujours au mauvais endroit (sur le nez, évidemment), et l’impression d’avoir une peau soit qui pèle, soit qui dégouline de sébum.
Et ma copine Julie, elle, jamais un bouton. Une peau douce, mate, un truc de dingue. J’en étais verte de jalousie.
- Elle disait avoir une peau “normale”. Mais normale, ça voulait dire quoi ?
Plus tard, en bossant chez Sephora pendant mes études (place de la République, les filles !), j’ai enfin pigé le truc.
La peau normale, c’est un peu le Graal. Pas trop grasse, pas trop sèche, juste… équilibrée. Comme Julie, quoi. Rare, mais ça existe.
La peau grasse, on la repère direct. Ca brille partout. Front, nez, menton… la totale. Moi, pendant des années, ça a été ça. Les pores dilatés, le teint luisant… “beurk”, quoi.
La peau sèche, c’est l’inverse. Ca tiraille, ça pèle, surtout en hiver. Ma mère, elle, c’est ça. Des crèmes hydratantes à gogo.
Et puis il y a la peau mixte. C’est vicieux, parce qu’elle fait les deux. Grasse sur le front, le nez, le menton (la fameuse zone T), et sèche ailleurs. Le plan galère pour trouver les bons produits. Genre, tu dois jongler avec deux types de crèmes. Un vrai casse-tête.
- Important : Il faut regarder sa peau à la lumière naturelle. Les néons de la salle de bain, ça fausse tout!
- Tu peux aussi utiliser des papiers matifiants. Tu les presses sur ton visage et tu vois ce qui ressort. Si c’est blindé de sébum, c’est que c’est gras. Si y a rien, c’est que c’est plutôt sec.
- Et surtout, ne pas se comparer aux autres ! Chaque peau est unique.
Aujourd’hui, j’ai trouvé un équilibre. J’utilise des produits adaptés, je fais attention à ce que je mange… et j’assume mes petites imperfections. Parce qu’après tout, c’est ça qui fait le charme, non ?
#Protéine #Repas #VégétalCommentez la réponse:
Merci pour vos commentaires ! Vos commentaires sont très importants pour nous aider à améliorer nos réponses à l'avenir.