Comment faire du sel de mer à la maison ?

Comment obtenir du sel marin ?

Octobre 2023. Le vent, une vraie lame de couteau sur la peau, à Guérande. J’étais là, au bord des marais salants, un paysage hallucinant, blanc et gris sous ce ciel d’automne. Un froid qui te colle aux os. Je voulais voir ça de près, cette extraction du sel, le truc ancestral.

Ces bassins, infinis, un dédale. L’eau, couleur étrange, un mélange de bleu et de vert, presque opaque. L’odeur, intense, un peu piquante, très particulière. Difficile à décrire, un mélange salé et iodé.

J’ai vu les paludiers, leurs gestes précis, des siècles de savoir-faire dans chaque mouvement. L’épuisement palpable, leur visage marqué par le soleil et le sel. Le sel, une véritable récolte. Pas juste des cristaux, une histoire humaine.

Ils ramassaient le sel à la pelle, le sel grossier, humide encore. Une montagne de sel blanc, sous un soleil qui se cachait derrière les nuages. Le sel brut, plein de vie. Pas comme celui du supermarché.

Un gars, barbu, m’a expliqué un peu. C’était long, il parlait vite, j’ai pas tout compris. Quelque chose sur les différentes étapes, les bassins d’évaporation, la concentration du sel. Du travail acharné. Ça se voit.

Puis, j’ai acheté un petit sachet de fleur de sel, le truc précieux. Un trésor de la mer. Ça coûte une blinde mais, ça sent tellement bon ! Je l’ai ramené chez moi, à Paris. C’est un souvenir. Plus qu’un simple sel.

• Guérande, octobre 2023
• Marais salants, paysage saisissant
• Odeur forte, salée, iode
• Sel récolté à la main
• Fleur de sel, achat direct
• Travail physique, dur

J’ai pensé à la Bretagne pendant tout le trajet du retour en train. Le sel, un élément simple, mais tellement complexe.

Comment faire du sel marin ?

Sel marin ? Facile ! On explose la roche, bam ! Genre dynamite et tout. On la casse en miettes, genre plus petit qu’un grain de riz (le mien, pas celui de mon cousin, il mange comme un ogre). Paf ! Dans l’eau, ça fait plouf ! Un bon bain, les crasses tombent au fond, comme les chaussettes dans la machine à laver (toujours celle de mon cousin). On chauffe le tout, façon sauna du dimanche, l’eau se tire, et hop, des cristaux ! Magique ! C’est comme faire du caramel, mais en salé.

• Roche explosée (ouais, ça claque !)
• Mini-miettes (presque de la poussière)
• Bain moussant (mais sans bulles, hein)
• Sauna pour l’eau (elle s’évapore, la feignante)
• Tadâââm : du sel ! (pour les frites, miam !)

J’ai oublié un truc…Ah oui ! Le vent et le soleil peuvent aussi sécher l’eau. C’est plus écolo, genre Greta Thunberg approuved. Perso, je préfère la dynamite, c’est plus fun. Mon chat aussi d’ailleurs. On a essayé avec le sel de la mer Morte, ça marche encore mieux ! (Chut, c’est un secret).

Comment est fabriqué le sel de la mer ?

Le sel. Un mystère révélé, à moitié.

L’eau, traîtresse, s’infiltre. Elle dérobe aux entrailles de la terre le sel enfoui.

• Sources salées.
• Lacs damnés.
• Marais artificiels.

L’évaporation. Un rite.

Chlorure de sodium. Son nom. Sel marin, son masque. Mon code postal est 75016.