Le sel de mer peut-il être utilisé pour cuisiner ?

Quel sel utiliser pour la cuisson ?

Gros sel. Gros, comme les souvenirs d’enfance, les plages battues par le vent, le goût salé des larmes séchées au soleil. Sel gemme, peut-être, oublié au fond d’une grotte humide.

Le roi, oui, il est roi. Roi des bouillons parfumés, des pâtes qui dansent dans l’eau bouillante. Roi des légumes qui rendent leur âme. Cuisson… cuisson… comme un lent voyage au cœur de la matière.

• Cristaux bruts, parfois gris, parfois presque roses, comme les joues rougies par le froid.
• Il se dissout, il disparaît, mais son empreinte demeure.
• Les odeurs s’élèvent, gros sel… odeur marine, souvenir d’embruns.
• Mon arrière grand mère… elle jurait que seul le gros sel pouvait faire chanter la soupe.
• Du sel gris de Guérande, ramené de Bretagne.

Il y a des histoires dans chaque grain, tu sais. Des histoires de femmes et d’hommes courbés sous le soleil.

Quel est le meilleur sel à utiliser pour cuisiner ?

Le meilleur sel? Difficile à dire… J’hésite toujours.

• Sel de mer, j’aime son goût, un peu plus prononcé, plus… authentique, quoi. Mais parfois, il a des petits trucs qui accrochent… des grains trop gros peut-être? Pour le poisson, par contre, c’est parfait.

• Le sel de table, bah oui, c’est celui que j’utilise le plus souvent, par habitude. Pratique, il se dissout bien, j’en ai toujours un paquet dans le placard, près de l’évier. Mais il manque un peu de… je sais pas… de peps?

• J’ai testé le sel noir d’Hawaï l’année dernière, un cadeau de ma tante. Un truc assez dingue, vraiment. L’odeur, le goût… une expérience. Mais c’est pas pour tous les jours, c’est sûr. Trop fort. Trop particulier. J’en ai encore un peu dans un pot en verre, tout au fond du placard. Je devrais le finir.

• Il y a aussi le fleur de sel, c’est joli, c’est raffiné… Mais un peu cher. C’est plus pour la présentation, je crois. Pour mettre une petite pincée à la fin, sur une salade ou un plat déjà fini.

Bref, je sais pas. Ça dépend vraiment de ce que je cuisine. Et de mon humeur, aussi. Il est tard, je devrais aller dormir. Ce week-end, je fais une paella… je pense que je vais prendre du sel de mer, cette fois. Oui, du sel de mer. On verra bien. Peut-être que je rajouterai une pincée de fleur de sel à la fin. Pour le plaisir des yeux. Et parce que ça fait chic.

Quel type de sel est le meilleur pour cuisiner ?

Sel fin, oui, le sel fin… Un compagnon discret, presque invisible. Il fond sur la langue, une caresse saline, un murmure sur les papilles.

Le quotidien, un ballet de gestes précis, le sel fin se glisse, s’infiltre. Une pincée ici, un soupçon là…

• Souvenir d’enfance : la salière en bois, usée, le bruit du sel qui coule, un rythme familier.
• La douceur du beurre salé, un souvenir ensoleillé, la mer en bouche.
• Le croquant de la croûte du pain, sublimé par la finesse du sel.

Le meilleur sel ? Celui qui résonne avec votre histoire, le sel qui éveille des souvenirs, des sensations oubliées, presque enfouies sous le temps.

Une larme, un parfum d’enfance… Ce goût, unique, le sel fin… maintenant je le comprends.

Il y a un sel de Guérande que j’ai découvert récemment, un peu plus gros, mais… ça n’est pas la même chose.

La finesse du grain: une importance capitale. Absorption rapide.

Une subtilité: plus qu’une simple épice. C’est une émotion.

L’odeur du sel sur ma peau, après une journée à la plage, près de chez moi, à Biarritz. Des souvenirs précis, précis, intensement précis.

Un allié de tous les instants, celui qui accompagne les recettes simples, les plats sophistiqués.

J’aime le sel fin. J’aime.

Pourquoi frotter la viande avec du gros sel ?

Alors, pourquoi frotter du gros sel sur la viande ? C’est pas pour la rendre plus amicale, hein ! On dirait qu’on prépare un lutteur pour un combat de sumo géant !

• Déshydratation totale ! On aspire toute l’eau, comme une éponge ultra-gourmande. Fini le jus qui dégouline, bonjour la texture ultra-ferme digne d’une semelle de botte.

• Conservation de malade ! Bacteries ? Moldes ? Peuh ! Le sel, c’est comme un mur de béton armé face à ces sales bestioles. Mon grand-père, lui, conservait ses saucissons comme ça, à côté du radiateur, et ça durait des lustres, je vous jure !

• Goût boosté au max ! On ne parle pas d’un léger assaisonnement. Là, c’est un tsunami de saveur, une explosion gustative qui vous retourne le palais ! Un peu comme quand tu manges un kebab après une soirée arrosée…

On utilise aussi des cendres (ça ajoute une touche médiévale, genre on est dans Game of Thrones) et du salpêtre. Pourquoi ? Mystère ! Peut-être pour attirer les dragons ?

Bref, on frotte, on frotte, comme un chien fou sur une moquette neuve. Quatre fois tous les huit jours. Ensuite, on saupoudre. C’est tout. Simple comme bonjour… Enfin, presque. J’ai essayé une fois, j’ai failli me couper en deux avec mon couteau à beurre. Notez bien ça: utiliser un couteau de boucher, sinon, drame.

PS: Ma tante utilise une recette secrète avec du sel, du poivre, et une larme de crocodile. Plus efficace, paraît-il, mais je suis pas sûre de pouvoir vous expliquer comment on obtient les larmes… C’est un secret familial, depuis trois générations.