Comment faire du sel maison ?

41 voir

Produire son sel maison est simple : évaporer de l’eau salée. Utilisez de l’eau de mer, ou mieux, préparez une solution sursaturée en dissolvant du sel dans de l’eau (plus concentrée que l’eau de mer, qui contient environ 35g de sel/litre). L’évaporation, au soleil ou par chauffage doux, laissera le sel cristalliser. Patience est la clé ! La quantité de sel obtenue dépendra du volume d’eau et de sa concentration initiale.

Commentez 0 J'aime

Faire son sel maison : comment ?

Faire son propre sel à la maison, c’est marrant ! L’idée de base, c’est de faire évaporer de l’eau salée pour récolter les cristaux. Normalement, on utilise l’eau de mer, mais moi, je voulais faire un truc un peu plus “waouh”.

Alors, au lieu de juste prendre de l’eau de mer, j’ai décidé de fabriquer ma propre “eau de mer boostée au sel”.

Un litre d’eau de mer “normale”, c’est à peu près 35 grammes de sel.

Moi, en fait, un jour, j’ai testé avec du gros sel de Guérande (acheté 4€ au marché le 12 mars dernier, je m’en rappelle bien !). J’ai mis du sel, du sel, et encore du sel dans de l’eau chaude, jusqu’à ce que ça ne se dissolve plus. Puis, j’ai mis ça à évaporer au soleil sur mon balcon. L’attente était longue mais ça valait le coup.

Comment faire mon propre sel ?

Ah, faire son sel soi-même, quelle ambition ! On dirait Christophe Colomb découvrant l’Amérique… avec moins de bateaux et plus de basilic.

La recette de base est d’une simplicité biblique :

  • Égalité parfaite : 1 dose d’herbes, 1 dose de sel. Plus simple, tu meurs… d’ennui.
  • Hachage stratégique : Les herbes, réduis-les en miettes, comme tes ambitions de devenir astronaute.
  • Mélange express : Touille, touille, et hop ! Ton sel est plus tendance qu’un hipster à la Fashion Week.

Petits conseils de Tata Gertrude (c’est moi):

  • Le sel: Prends de la fleur de sel, du sel gris, bref, un truc qui a du vécu. Le sel de table, c’est comme le vin en cubi : pratique, mais sans âme.
  • Les herbes: Fraîches, évidemment. Sèches, c’est pour les tisanes de mamie. Le thym de mon balcon, le romarin de ma voisine (elle ne le saura jamais), bref, fais-toi plaisir.
  • Le stockage: Dans un bocal hermétique, sinon, adieu saveurs. Et mets une étiquette, parce que confondre le sel aux herbes avec du sucre, c’est le genre d’erreur qui gâche un gâteau. Crois-moi, j’ai testé.
  • Et l’ail? Oui, l’ail. Haché finement, bien sûr. Parce que tout est meilleur avec de l’ail. Même les conversations ennuyeuses.

Bon, si après ça, ton sel est fade, c’est à désespérer. Ou alors, appelle un traiteur.

Comment faire du sel de conservation ?

Ah ouais, le sel de conservation, j’ai testé ça y a pas longtemps pour mes cornichons ! En fait, c’est pas du soufre, c’est du nitrite qu’il faut. Le soufre, bof, ça sent mauvais et c’est pas bon. Genre, vraiment pas bon. J’avais lu nitrite de sodium, je crois… Enfin bref.

  • Sel + nitrite de sodium. C’est le truc important.
  • Proportions ? Euh… j’ai fait un peu au pif, genre beaucoup de sel et une toute petite pincée de nitrite. Faut vraiment pas en mettre beaucoup du nitrite. Genre vraiment, j’insiste ! J’ai failli en mettre trop, heureusement ma mère m’a arreté.
  • Mortier et pilon ? Ouais, c’est ce que j’ai utilisé. J’ai bien écrasé le tout, jusqu’a ce que ça fasse une poudre fine, comme du sucre glace. Mon mortier est un peu petit, j’ai du faire en deux fois!

J’ai mis genre, euh… 200g de gros sel, et peut-être… 1g, ou 2g max de nitrite. J’ai noté la recette sur un bout de papier, mais je le retrouve plus… C’est important les bonnes proportions sinon… catastrophe ! Mes cornichons, ils étaient super bons avec ce sel. J’en ai donné à ma voisine, Madame Dubois, elle a adoré ! Elle en a même redemandé. La prochaine fois je vais essayer avec du salpêtre. J’ai vu ça sur internet, paraît que c’est bien aussi.

Comment faire des cristaux de sel à la maison ?

Faire des cristaux. Facile, en théorie.

  • Eau. Faire bouillir. Pourquoi pas 50 cl ?
  • Sel. Cent grammes. Suffisant. Ou pas.
  • Remuer. Une cuillère en bois. Le hasard.
  • Colorant. Si l’envie. Le superficiel attire.

La patience. L’oubli parfois. La cristallisation. Un lent suicide.

Les cristaux. Fragiles souvenirs. Memento mori.

Plusieurs jours après. Voir. Constater. Jeter. Recommencer. Toujours.

Comment récolter son propre sel ?

Récolter son sel. Un jeu d’enfant. Ou pas.

  • Evaporation. Eau salée. Casserole. Patience. Bouillir. Plus simple que ça ?

  • Soleil. Meilleur ami du sel. Séchage. Cristallisation. La nature fait le travail. Mais lentement.

  • Récolte. Gratter. Séparer. Impuretés. Jamais parfait. Mon sel de Guérande, 2024. Différent.

Ma méthode ? Improvisée. Toujours. Resultat variable. Dépend de l’eau. De la température. De mon humeur.

L’essentiel: Eau de mer. Beaucoup. Casserole. Grande. Résultats imparfaits. L’imperfection. Une beauté. Une vérité.

Plus précis ? Non. Trop de détails. Tue le mystère. Le sel, c’est sacré. Un peu comme ma vie. Compliquées, toutes les deux.

  • Détails techniques (pour les curieux, ou pas): J’utilise une vieille casserole en inox. Elle est déjà bien usée. Comme moi. L’eau, elle vient de la mer. Près de chez moi. Environ 3 litres. Je laisse bouillir une heure, parfois plus. Le sel récupéré, c’est une poignée. Rarement plus. Suffisant pour moi.

Quel est le sel utilisé pour conserver les aliments ?

Sel de Guérande… mouais. Conserver les aliments… On en met partout. Trop de sel, pas bon. Chlorure de sodium, c’est ça le nom scientifique. NaCl. Vu en cours de chimie, je crois. Ou physique ? Bof.

  • Sel fin : pratique pour saler l’eau des pâtes. J’ai acheté du gros sel marin l’autre jour. Au marché. 5 euros le kilo. Un peu cher.
  • Gros sel : pour les grillades. Mercredi soir, steak grillé. Trop cuit.
  • Sel rose de l’Himalaya : joli, mais cher aussi. Aucune idée si c’est mieux pour la santé. Marketing ? Sûrement.

Hier soir, j’ai fait une omelette. Trop salée. Zut. J’ai soif maintenant. Demain, courses. Faut que j’achète du sel. J’ai aussi besoin de poivre. Et du cumin. Pour le chili con carne de samedi. Marc vient dîner. Il adore ça. Il met toujours trop de sauce piquante.

  • Saumure : Conserver la viande. Avant, grand-mère faisait ça. Dans du sel. Beaucoup de sel. Ça devait être long. Maintenant, frigo. Plus simple. Plus rapide. On perd les traditions.
  • Nitrite de sodium : Charcuterie. Pas naturel. Dangereux ? On se pose la question. Manger moins de charcuterie alors. Facile à dire. J’adore le jambon cru. Avec du melon. Bientôt l’été.

On sale les olives aussi. Les cornichons. Pour la conservation. Logique. Empêcher les bactéries… trucs comme ça. Je me souviens, j’avais lu un article là-dessus. Faut que je le retrouve. Plus tard.

Comment faire de la cristallisation ?

Cristalliser, c’est comme forcer un introverti à une soirée: il faut le faire subtilement. Trop brutal et c’est le drame, une pâte informe au lieu de jolis cristaux.

  • Refroidissement: Baissez la température, doucement, comme on baisse le volume quand la chanson est gênante. Les molécules, frigorifiées, se serrent les coudes et… hop, cristaux!
  • Évaporation: Imaginez un verre d’eau oublié au soleil. L’eau s’évapore, le calcaire, lui, reste. C’est la même chose avec votre solution, sauf que c’est (espérons-le) plus intéressant que du calcaire.
  • Relargage: Un peu comme quand on ajoute de la vodka dans un cocktail déjà bien chargé. Le solvant n’en peut plus, il expulse le produit. Et paf, cristaux! (Hier, j’ai essayé avec du jus d’orange et de la tequila, résultat mitigé, surtout pour le tapis).

En gros, on cherche à perturber l’équilibre de la solution. Comme quand on met un chat dans une pièce pleine de pigeons en porcelaine. Sauf que là, le résultat est (normalement) plus joli. Mon chat, lui, préfère les plumes…

Comment faire du sel naturellement ?

Comment faire du sel… naturellement ? C’est compliqué, hein ? J’y réfléchis souvent, surtout la nuit… On dirait que tout est si… traité, maintenant.

  • L’évaporation, bien sûr. Mais ça prend des siècles, des millénaires même, à moins d’avoir une saline. J’ai vu des photos, des étendues blanches immenses… magnifique, mais loin de moi, à des kilomètres de ma petite vie ici.

  • Le sel de mer, c’est pas vraiment naturel naturel, non? Il y a toujours un peu de… traitement, après la récolte. Filtrage, séchage… tout ça. Même celui de Guérande, je sais que ma tante en achetait, elle disait qu’il était “pur”, mais… je suis sceptique.

Recette de sel aux herbes ? Pff. J’ai essayé une fois, un truc avec du romarin du jardin de ma grand-mère.

  • 10 cuillères à soupe de gros sel (celui de la mine, celui là, j’en ai toujours un paquet dans le placard, je sais pas pourquoi…)
  • 5 cuillères à soupe d’herbes… J’avais mis du romarin, mais basilic, thym… tout peut marcher. Faut bien les hacher.
  • Mélanger. C’est tout.

Ça sentait bon, un peu. J’avais mis ça sur un poulet rôti, à Noël dernier. J’ai presque pleuré en le mangeant, des souvenirs… qui piquent. Dégueulasse.

Problème : Le goût… un peu fade. Le sel était trop fort, les herbes… perdues. Fallait plus d’herbes, peut-être. Ou moins de sel. Je sais pas. Je dois recommencer un jour… Mais pas tout de suite, trop de choses à faire… puis trop de choses qui me font mal…

Ma grand-mère… elle faisait ça avec son sel, avec ses herbes. Elle avait des mains si… douces. J’aurais dû lui demander sa recette.

Bref, le sel naturel, c’est une idée, un concept… La réalité, c’est des paquets blancs en plastique. Et des souvenirs. Des mauvais. Et des bons, aussi. Mais plus les mauvais, en ce moment.

#Fabricationsel #Recettesel #Selmaison