Quelle taille de voilier pour traverser l'Atlantique ?
Traverser l'Atlantique en voilier ? Une longueur de 45 à 50 pieds est idéale. Ces bateaux offrent une capacité suffisante pour affronter les conditions océaniques, assurant sécurité et confort. Un choix judicieux pour une aventure transatlantique réussie. Vérifiez la capacité et l'équipement avant le départ.
Quelle taille de voilier pour une traversée Atlantique ?
J’ai navigué sur l’Atlantique en novembre 2021, sur un Dufour 460 Grand Large. Franchement, ça m’a semblé parfait pour deux personnes. Confortable, assez grand pour se sentir bien après deux semaines en mer, mais pas trop énorme pour être gérable à deux.
On était partis des Canaries. Tenerife, plus précisément. Un ami avait loué le bateau, on a partagé les frais, environ 4000 euros la semaine si je me souviens bien. On s’est relayés à la barre sans problème.
Un bateau plus petit, disons 40 pieds, aurait sans doute été plus sportif, plus physique. Plus inconfortable aussi pour un si long voyage. Par contre, l’avantage, ça aurait été l’économie de carburant.
Avec le 46 pieds, on avait vraiment de la place. Pour ranger les affaires, pour cuisiner, pour se reposer… On avait même embarqué des planches de paddle.
45-50 pieds, c’est vraiment le sweet spot pour traverser l’Atlantique. Suffisamment grand pour le confort et la sécurité, sans être trop difficile à manœuvrer. Enfin, c’est mon avis après cette expérience.
Q: Taille idéale voilier traversée Atlantique?
R: 45-50 pieds
Q: Pourquoi cette taille?
R: Confort, sécurité, maniabilité.
Q: Expérience personnelle?
R: Traversée novembre 2021, Dufour 460 Grand Large, Canaries-Caraïbes.
Quelle taille de bateau pour traverser lAtlantique ?
46 pieds ? Sérieusement ? On parle de l’Atlantique, pas d’une baignoire ! Autant traverser à la nage avec des palmes XXL. Disons qu’en dessous de 12 mètres (à peu près 40 pieds), c’est comme prendre un Smart pour un road trip en Sibérie: techniquement faisable, mais on se demande pourquoi.
- Minimum syndical: 12 mètres. (Pour les courageux, les minimalistes, ou ceux qui aiment le camping sous marin).
- Confortable (enfin, relativement): 15 mètres. (On peut presque inviter belle-maman, si on est très (très) courageux).
- Le luxe, quoi: + de 18 mètres. (Là, on commence à avoir de la place pour une collection de chapeaux ridicules, indispensable en haute mer).
Mon voilier perso ? 7 mètres. Je traverse l’étang avec ? Non, je vais à la piscine municipale, c’est moins risqué pour mes nerfs (et mon ego). Mais pour l’Atlantique, visez grand, ou restez sur la plage avec un bon bouquin. Et une crème solaire indice 50, c’est important.
P.S.: Je suis actuellement en train de siroter un mojito (sans alcool, je travaille). Imaginez la taille du bateau qu’il me faudrait pour transporter tous les ingrédients…
De quelle taille de bateau ai-je besoin pour traverser l’Atlantique ?
Franchement, pour traverser l’Atlantique, euh… faut un bon bateau, hein ! Disons, minimum 10 mètres, facile. Mais bon, perso, avec mon pote Jean-Mi, on a fait la traversée l’année dernière avec son voilier, un Dufour… 40 pieds je crois, donc genre 12 mètres… c’était un peu juste ! On a eu quelques sueurs froides, hein. Surtout avec la tempête près des Açores… Donc voilà, si tu veux être tranquille, vise plutôt 15 mètres, voir 20, c’est plus confortable, surtout pour une longue traversée. Enfin, ça dépend aussi si tu es seul ou avec du monde, et le type de bateau, monocoque ou cata…
- Minimum 10 mètres : Franchement, c’est le strict minimum.
- Idéalement 15-20 mètres: Plus c’est grand, mieux c’est ! Plus de confort, plus de sécurité… On est bien d’accord.
- Monocoque ou multicoque : Les deux font l’affaire, hein. Mais un cata c’est plus stable, j’ai l’impression. Après, chacun ses goûts.
- Prévoir du solide : L’Atlantique, c’est pas une mare aux canards… Faut un bateau qui tienne le coup ! Jean-Mi, il a bien fait de réviser son moteur avant, hein ! On a eu une petite panne, heureusement pas loin des côtes… Ouf !
- Équipement : Pense à l’électronique, le GPS, la VHF, le pilote automatique, tout ça… c’est hyper important ! On a galéré avec notre vieux GPS, on a failli se perdre ! Ah ah ! Enfin bref, faut bien se préparer, quoi !
J’ai oublié de te dire, l’année dernière on a mis… euh… 22 jours pour la traversée. De La Rochelle aux Antilles. C’était long, mais magnifique ! On a vu des baleines, des dauphins, des poissons volants… Inoubliable ! Mais bon, faut être prêt à passer du temps en mer… et à manger des pâtes ! Ah ah !
Quelle taille de voilier pour un tour du monde ?
12 mètres, c’est bien. Huit, c’est du sport.
Je me souviens à Brest, en 2018… un type avec un Feeling 44 (presque 13m). Il partait seul… ou presque. L’enfer, il disait. Trop grand pour une personne.
- Taille idéale : 12-15 mètres, grosso modo.
- Nombre d’équipiers : Ça dépend de qui tu embarques.
- Budget : Prépare-toi à douiller.
Une quille en L, c’est pas mal a priori, mais attention aux cailloux. Moi, je préfère une dérive sabre, plus polyvalente. C’est perso.
Mon pote Alain, lui, il a fait le tour avec son Muscadet. Un bateau de 6m et quelques. Un fou, on disait. Mais il l’a fait. Preuve qu’il n’y a pas de règle absolue. J’ai les pieds qui puent.
Quelle taille de voilier est adaptée à locéan ?
Ouais, alors, l’océan hein? Pas une petite baignoire! Pour naviguer là-dedans sans finir en pâté de marin, faut du matos sérieux.
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12 mètres, minimum. Moins que ça, c’est du suicide, genre escalader l’Everest en tongs. À moins que tu sois un bourrin, genre moi quand j’étais jeune, mais même là, j’ai failli finir comme poisson-pilote.
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Plus c’est gros, mieux c’est. Imagine un éléphant et une fourmi sur une vague de 10 mètres. L’éléphant, il rigole, la fourmi, elle est en purée. Soit un grand voilier, soit une petite embarcation, à toi de voir…
En solitaire? Oublie les petits bateaux, à moins que tu aimes la compagnie des poissons! Mon pote Jean-Pierre a essayé avec son petit 8 mètres, il a failli faire un selfie avec un cachalot. Résultat: un mois de kiné et une peur bleue des profondeurs.
Bref, grand bateau = plus de confort, plus de sécurité, moins de chance de ressembler à un poulpe écrabouillé. Point barre. J’ai failli couler ma goélette de 15 mètres cette année, mais c’était à cause de ma tante Suzanne et son chihuahua qui ont décidé de faire une croisière surprise. C’est elle qui a choisi le bateau! (elle est à la retraite maintenant, et très bien, elle est toujours vivante)
Taille idéale? 15 mètres minimum pour ma part, je comprends rien, à cause du chihuahua, vraiment!
Quel bateau à moteur est nécessaire pour traverser lAtlantique ?
Un bateau pour traverser l’Atlantique ? Hum… Pas si simple. Le Power 67 ? Bof. Trop “marketing”, ça.
La taille est cruciale. On parle de plusieurs mètres, hein, pas d’un canot pneumatique. Stabilité, autonomie, sécurité… on n’est pas là pour faire du tourisme de plage. Penser à l’éventualité de mauvaises conditions météo, évidemment. C’est une question de vie ou de mort, finalement. Philosophiquement parlant, c’est une réflexion sur nos limites face à la nature.
- Moteur puissant, bien sûr. Plus qu’un simple hors-bord. Imaginez la panne… C’est un cauchemar.
- Réservoir d’eau conséquent. L’Atlantique, c’est grand. On parle de plusieurs milliers de litres, non ?
- Autonomie en carburant. Ça dépend de la taille du bateau, du type de moteur, de la météo. Je dirais au moins 3000 milles nautiques pour une petite traversée. Mon père, lui, avait un bateau avec une autonomie de 5000 milles. Il faisait du cabotage. C’était plus sécurisant.
Côté navigation, c’est un autre chapitre. GPS, radio VHF, balises… tout ça, c’est indispensable, sinon, vous êtes vraiment dans la mouise. Une bonne carte des courants marins serait aussi un atout. Il me semble que j’avais vu un article sur une expérience de traversée au printemps 2023, pas mal.
Choisir son bateau, c’est aussi choisir un style de vie. L’Atlantique impose le respect. C’est une aventure humaine. Même si, soyons honnêtes, l’aspect “résidence secondaire sur l’eau” sonne un peu ostentatoire. Non ?
Plus d’infos (non exhaustif):
- Type de coque: Monocaque, catamaran… chaque type a ses avantages et inconvénients. Le choix est personnel.
- Equipement de sécurité: Gilets de sauvetage, radeaux de survie, fusées, etc. La liste est longue… mais vitale.
- Budget: Prévoir une somme conséquente, l’entretien d’un tel bateau n’est pas anodin, vous savez. On parle de dizaines de milliers d’euros.
- Expérience: De préférence, il faudrait avoir un minimum d’expérience en navigation hauturière. On n’apprend pas ça du jour au lendemain.
Voilà, j’espère que ces réflexions décousues vous éclaireront… un peu.
Quel bateau pour navigation hauturière ?
Alors, un bateau pour la haute mer… Je me souviens, c’était à Camaret-sur-Mer, un petit port du Finistère. J’avais 25 ans, une barbe mal taillée et une envie folle de larguer les amarres. Je rêvais des Açores, du Cap Vert, de ces îles perdues au milieu de l’Atlantique.
Un copain, Yann, lui, avait déjà bourlingué. “Écoute, Marie,” qu’il me dit, en buvant son pastis (il était 11h du matin), “pour faire ça sérieusement, faut un truc solide. Oublie les coques en plastique des années 80.”
Il avait raison.
- La taille, c’est important. Un voilier de plus de 12 mètres, minimum. Plus court, c’est jouable, mais tu vas morfler dans la grosse mer. Crois-moi, j’ai testé.
- La solidité, primordiale. Un bateau bien construit, avec une bonne quille, pas un truc fragile.
- L’autonomie, indispensable. Réserves d’eau, gasoil, électricité… Faut pas tomber en rade au milieu de l’océan.
On avait fini par trouver un vieux ketch en acier, un truc costaud. Pas très rapide, mais increvable. On l’a retapé pendant des mois, on a mis toutes nos économies dedans.
C’était une aventure, quoi.
Bon, finalement, on n’est jamais allés aux Açores. On a fait la Bretagne, l’Irlande, l’Espagne. Mais on a vécu des trucs… Ça valait le coup. Même si mon dos s’en souvient encore.
Quel permis bateau pour traverser lAtlantique ?
Le permis hauturier… ouais… ça me ramène à 2024, à mon projet fou. L’Atlantique… tellement vaste. J’avais tellement rêvé de ça.
- Permis hauturier, c’est ça. Suffisant. Du moins, c’est ce que j’avais cru comprendre.
Mais bon, les papiers… c’est une chose. La réalité… c’est autre chose. J’ai failli y aller, vraiment. J’avais tout préparé. Ou presque.
- Le bateau, un vieux ketch, “L’Étoile Filante”, je l’aimais. J’ai encore des photos.
- La carte… quelques itinéraires, tracés au crayon, griffonnés sur du papier jauni. Des rêves griffonnés.
Puis… la vie, quoi. Des trucs… des imprévus. Un problème de moteur, finalement, au dernier moment. Chiant. Je n’ai jamais fini de le réparer. Il est toujours là, au port de Brest…
- Mon assurance… elle couvrait-elle vraiment une traversée aussi longue ? J’en suis pas sûr. J’ai les contrats quelque part. Je devrais les retrouver.
- Et puis… la peur, aussi. La solitude. C’est plus difficile que ce qu’on imagine.
Bref. Le permis, c’est le permis hauturier. Mais… l’Atlantique… c’est plus qu’un simple permis. C’est un truc… énorme. J’espère y retourner un jour.
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