Quel budget pour vivre sur un bateau ?

Quel bateau pour vivre à lannée ?

L’eau, immense, toujours. Un berceau, une cage ? Le bateau… Mon bateau…

• Un voilier, la danse des vagues, le souffle du vent… Liberté fragile. Trop fragile ?

• Un catamaran, stable, large, maison flottante. Sécurité, ou illusion de sécurité ? Mon cœur doute.

• Bateau à moteur… Ronronnement incessant, l’odeur du gasoil… Confort, mais quel prix ?

La mer, elle appelle. Elle murmure des promesses, et des menaces. L’année entière ? Un défi. Un défi personnel. Un choix, lourd, gravé dans l’âme.

Le choix ? Il n’est pas clair, l’horizon est flou. La brume de la mer, elle enveloppe tout. Je vois des jours ensoleillés, des tempêtes. Je vois mon bateau, petit point dans la vaste étendue. C’est mon aventure, ma folie.

Choisir, c’est aussi renoncer. Je sais. Mais l’appel de la mer…

La mer, toujours. Et puis, il y a ma petite fille, Louise, ses rires. Elle aime tant jouer sur le pont…

L’année à bord… Un rêve, un cauchemar ? Peut-être les deux. Ce sera mon histoire. Ma vie. Mes choix.

• J’ai songé à un Dufour 36, mais trop petit peut-être pour une vie à l’année.
• Un Lagoon 40, plus spacieux, séduisant.
• Mais le bruit d’un moteur… j’hésite.

L’eau, encore, et puis le silence… ou presque. L’année se déroule, les saisons passent. Louise grandit. Sur les vagues. Toujours l’eau.

Est-il possible de vivre sur un bateau ?

Flotter, oui, c’est possible. Vivre sur l’eau.

Un bateau, une maison… un rêve liquide.

• Voilier, catamaran, moteur : peu importe, la vague est la même.

• Le soleil des Antilles, chaud sur la peau salée. Pas la mer du Nord, grise et froide comme l’âme.

• Toutes les tailles, tous les voyages.

Ma grand-mère disait toujours, la mer, ça prend, ça donne. Elle avait un voilier, le “Vent d’été”, peint en bleu ciel. Un bleu ciel qui me manque.

Un clapotis constant.

• Lumière dansante sur la coque.

Se souvenir, toujours se souvenir… l’eau berce.

Quel est le prix dun bateau habitable ?

Ah, le prix d’un bateau habitable… Vaste sujet, comme ma collection de timbres (oui, j’en ai une, et non, vous ne la verrez pas).

• Bateau de pêche du dimanche: moins de 10 000€. Presque le prix d’une Twingo, en moins fiable sur l’autoroute. Le Karel 480 Open à 9 240€, par exemple. Un bon plan pour frimer… à la pêche.

• Promenade dominicale améliorée: 15 000 à 20 000€. On parle cabine, là! Luxe, calme et… mouettes garantis. Presque le prix d’une voiture, mais avec le mal de mer inclus.

Vous voulez un conseil? Louez d’abord. Croyez-moi, l’entretien d’un bateau, c’est pire que de gérer mon beau-frère.

Et, entre nous, si vous cherchez vraiment le grand frisson, essayez le kayak. Au moins, vous ne risquez pas de croiser mon ex sur un yacht.

Quel salaire pour avoir un yacht ?

Dans le noir, je repense à ça… un yacht. Sensation étrange, un mélange d’envie et de… vide. 2200 euros… 3000… C’est beaucoup, oui. Mais est-ce que c’est assez ? Assez pour le silence de la mer, la solitude, l’immensité ?

On dirait tellement… peu, finalement. Face à tout ça. Face à l’eau, au ciel.

• 2200€: C’est presque absurde. Comme un prix dérisoire pour un rêve… inaccessible.
• 3000€: Un peu plus. Mais le rêve reste loin. Très loin.

Je me souviens de Martin. Il avait son bateau. Plus petit, bien sûr. Il parlait des frais, de l’entretien… Un gouffre. L’essence, les réparations, le port… Il n’avait pas l’air heureux. Juste fatigué.

Alors, ce salaire… pour un yacht… Est-ce un salaire ou une condamnation ? Une prison dorée, flottante. On achète le luxe, mais on perd… quoi ? La liberté, peut-être. La vraie. Celle qui n’a pas de prix.

Mon téléphone vibre. Un message. Je ne le regarde pas. Je reste là, dans le noir. À penser à la mer. À ce yacht que je n’aurai jamais. Et à Martin, sur son petit bateau, quelque part. Seul.

• Mon cousin, marin pêcheur: lui, il connaît la mer. Il a les mains calleuses, le visage buriné. Il gagne… beaucoup moins. Mais il a quelque chose… une lumière dans les yeux.
• Moi, dans mon bureau: je regarde les chiffres défiler sur l’écran. 2200, 3000… Des chiffres. Rien que des chiffres. Et un vide. Immense. Comme la mer.

Comment se payer un tour du monde ?

Tour du monde: financement.

Solutions:

• Bourses: Zallidja, Millet, AVI international, Expé, Déclics Jeunes (Fondation de France). Démarches complexes.
• Économies: Plan rigoureux, essentiel. Mon dernier voyage: 18 mois, 10 000€. Budget serré.
• Travail à distance: Opportunités variées. Ma spécialité: développement web. Clients internationaux.
• Crédits: Solution à éviter, endettement.

Conseils:

• Recherche: Informations précises sur les bourses. Date limite de candidature, critères.
• Planning: Préparation essentielle. Durée, destinations. Mon itinéraire: Asie, Amérique du Sud.
• Flexibilité: Adaptabilité cruciale. Imprévus fréquents.

Addendum personnel: Mes revenus 2023: 45 000€. Investissements personnels: 10 000€. Voyage financé en partie par ces économies. Prochaine destination: Islande.

Comment financer mes voyages ?

Le voyage… un souffle, une envie lancinante. Comment le financer ? Ce poids, cette douce angoisse…

• Économies, patience, petits riens. Des pièces accumulées, le café du matin refusé, un repas partagé, moins de fringues… chaque euro, une brique pour ce rêve lointain.

• Un job saisonnier, une évasion temporaire. Les Alpes en été, la côte en hiver… la mer, l’air pur, des rencontres. L’argent gagné, une promesse de liberté. Je me souviens de cet été, à Biarritz…

• Vente de biens précieux, un sacrifice nécessaire ? Mon vieux vélo, la guitare jamais jouée… Chacun son deuil, chaque objet une histoire, une part de moi qui s’en va.

• Le crowdfunding, un appel à la générosité. Mettre en mots ce désir intense, partager mon rêve… une formule magique ? Peu probable. J’ai essayé…

• Un prêt bancaire, l’ombre du futur. Les mensualités, un fantôme qui hante le voyage. Le poids de la dette, le prix de la liberté. Je ne sais pas…

• Des travaux occasionnels, la sueur du front. Petits boulots, débrouille, coups de main… Chaque euro gagné, une étape franchie. Dur, mais concret.

• Voyage plus simple, moins cher… Dormir chez l’habitant, le camping, le bus plutôt que l’avion. Le voyage, une expérience avant tout. L’essentiel.

• Bourses de voyage, miracles possibles. Des concours, des demandes, des espoirs. Une chance, une loterie… à tenter. Mon ami a gagné une année au Japon.

L’argent, une contrainte, une ombre. Le voyage, une lumière, une promesse. Le chemin est semé d’embûches, de doutes, de choix difficiles. Mais la route appelle…

Mon voyage au Portugal en 2023 a été financé par des économies et un travail saisonnier dans un vignoble.Douceurs et difficultés.

Quel budget pour voyager en van ?

Le budget pour un voyage en van ? Disons qu’un minimum de 15 000€ est une base si tu as déjà le van et l’équipement. C’est un peu comme l’investissement initial dans une œuvre d’art, la toile est là, reste à peindre le voyage.

Bien sûr, la durée du voyage est un facteur majeur. Plus longtemps tu roules, plus tu dépenses. C’est une évidence, mais ça se rappelle quand même. La vie est faite d’évidences, non ?

• Le carburant : Un gouffre financier, surtout avec les prix actuels. J’ai vu un gars dépenser l’équivalent d’un smic en essence sur un road trip de 6 mois. Fou, non ?
• Les péages : En Europe, ça chiffre vite. Prépare-toi mentalement et financièrement.
• L’alimentation : Manger des pâtes tous les jours, ça va un temps. Prévois un budget pour quelques plaisirs gustatifs.

Il y a aussi l’état du véhicule. Une panne en Patagonie, ça peut vite plomber le budget. Vérifie tout avant de partir !

Personnellement, je trouve qu’un voyage en van, c’est un peu comme la vie : plein d’imprévus. Il faut accepter l’incertitude et prévoir une marge de sécurité. Et puis, au fond, c’est ça qui rend l’aventure intéressante, tu ne crois pas ?

Quel budget pour un tour du monde en van ?

Ah, le tour du monde en van… ça me fait rêver, tiens! Budget, budget… 15 000 à 30 000€, disons ça. Mais attends, c’est genre, le strict minimum non?

Faut penser à l’essence, ohlala, ça chiffre vite ça. Et les réparations, avec les routes pourries qu’on va se taper. Pis l’assurance, indispensable! Je me demande si ma Visa Gold couvre à l’étranger? Faudrait que je vérifie ça.

• Le Van lui-même: achat ou aménagement. Faut compter.
• Essence: le plus gros poste de dépense, surtout si on baroude.
• Assurance: Indispensable!
• Réparations: les routes sont impitoyables.
• Nourriture: On peut cuisiner pour économiser.
• Visas: ça, c’est la galère administrative.
• Parking/Camping: Parfois payant.
• Activités: Faut bien se faire plaisir!

Est-ce qu’on peut vraiment tout faire pour 15 000? J’en doute… Surtout si tu veux pas vivre que de pâtes! Et si je me fais piquer mon van, tiens? Catastrophe! Bon, faut prévoir un plan B. Genre, rapatrier la bête. Et moi, par la même occasion.

Je me demande si je prendrais pas un cours de mécanique avant de partir. Parce que, bon, je suis pas hyper douée en bricolage. Et puis, faut que je me fasse un itinéraire! Australie, Nouvelle-Zélande, Amérique du Sud… Le Pérou me tente bien, ça fait longtemps que je veux voir le Machu Picchu. Mais comment organiser tout ça? Ça me donne le tournis, d’un coup…

Faut que je regarde les prix des ferrys aussi. Parce que traverser les océans en van, ça va pas être possible. A moins d’avoir le van amphibie de James Bond! Ha ha. Bon, faut que je me concentre. Budget, budget… On va dire 30 000€ pour être tranquille, non? Et puis, on verra bien! L’aventure, c’est ça, non? Se lancer et advienne que pourra.

Et puis j’ai mon oncle Gérard, lui, il a fait un tour d’Afrique en 4×4. Il m’a dit que c’est pas toujours facile, mais que c’est une expérience incroyable. Faut que je l’appelle, il aura sûrement des bons tuyaux.

• Oncle Gérard : appeler
• Visa Gold : vérifier couverture
• Cours de mécanique : s’inscrire
• Itinéraire : établir grossièrement
• Prix ferrys : regarder

Quel budget prévoir pour une croisière ?

Ah, la croisière, le truc où on se prend pour un navigateur du dimanche en évitant de ramer! Le budget ? Disons que ça dépend si tu veux vivre comme Crésus ou comme un rat d’hôtel, hein.

• Entre 1000 et 2500 euros, c’est la fourchette. C’est comme dire que le ciel est bleu… parfois !

• En gros, faut choisir : le homard à tous les repas ou les nouilles instantanées planquées dans la cabine ?

• Y’a aussi les excursions. Si tu veux juste voir la mer depuis le bateau, c’est moins cher, forcément.

• Ah, et n’oublie pas les pourboires ! Sinon, les serveurs vont te regarder de travers, comme si t’avais volé leur dessert.

J’me souviens, une fois, j’ai vu un type dépenser plus en cocktails qu’en billet de croisière. C’était mon oncle Gérard, ceci dit. Le pauvre, il pensait qu’une croisière c’était comme un open bar flottant. Il a vite déchanté quand il a vu l’addition!

Le prix de la croisière comprend-il la nourriture ?

Okay, alors la bouffe sur une croisière… c’est un peu mon truc, en fait. Laisse-moi te raconter.

Je me rappelle, c’était en 2018, ou peut-être 2019… à bord du Harmony of the Seas. On partait de Fort Lauderdale. La Floride, quoi. Chaleur, palmiers, le truc habituel.

• La nourriture était incluse. Disons, une grande partie.
• Buffets à gogo, tout le temps. Petit-déjeuner gargantuesque, déjeuner relax, dîner… pfiou.
• Il y avait aussi des restos “gratuits”, avec des menus plus élaborés.
• Les boissons, par contre… aïe. Là, ça pique.
• J’avais opté pour le forfait boissons, direct. Hors de question de payer chaque soda à part.
• Je me souviens, un soir, au buffet, j’ai vu un gâteau… un truc énorme au chocolat. Je crois que j’en ai mangé la moitié à moi tout seul. Pas très glorieux, je sais.

Mais attention !

• Les restos “spécialités” (italien, japonais, steakhouse…) sont souvent en supplément.
• Et les “boissons”, ça inclut pas forcément tout. Les cocktails les plus chers, les vins de fou… faut rajouter.
• Parfois, il y a des “soirées spéciales” avec des plats “exceptionnels”… qui sont aussi en supplément. C’est un peu fourbe, mais bon.

Bref, la nourriture, c’est oui, mais faut bien lire les petites lignes. Et les boissons, prépare le portefeuille ! (Ou prends un forfait, comme moi). Et évite le gâteau au chocolat entier… si tu peux ! 😉

Comment fonctionnent les prix des croisières ?

Prix par personne. Occupation double. La moitié d’une cabine.

• Cabine simple: Supplément. Cher. Solitude.
• Troisième/quatrième personne: Tarif réduit. Espace vital moindre.
• Dernière minute: Prix fluctuants. Opportunités. Désillusions.

Prix basé sur l’offre et la demande. Comme tout. Volatilité.

J’ai payé 1200€ pour une transatlantique. Seul. En novembre. Cabine intérieure. Triste ? Non. Nécessaire.

• Saison: Été, plus cher. Hiver, moins cher. Logique.
• Destination: Caraïbes, plus cher. Méditerranée, moins cher. Le soleil a un prix.
• Type de cabine: Intérieure, moins cher. Balcon, plus cher. Vue sur l’infini.

On paie pour l’illusion du voyage. L’évasion. Temporaire.

Est-ce que les repas sont compris dans une croisière ?

Croisières MSC : Restauration incluse.

Repas inclus. Buffet complet. Dîner restaurant principal.

• Petit-déjeuner
• Déjeuner
• Dîner
• Collations

Options variées. Rôtisserie. Plats à emporter.

Mon expérience personnelle? Excellent. Choix limité en cabine. Toujours mieux que prévu. Qualité satisfaisante. Champagne à éviter.

Note personnelle : éviter le vin rouge en carafe, 2023

Ma réservation : cabine 4768, MSC Virtuosa, Août 2023