Quelle période pour la Transatlantique ?

Quand traverser lAtlantique à la voile ?

Transatlantique optimale : Avril-Mai. Conditions météo favorables, hors cyclones.

• Route Ouest-Est: Profiter des alizés.
• Route Est-Ouest: Plus complexe, contre-courants. Choix dépendant du type de bateau.
• Panama – Europe: Éviter la saison des pluies Caraïbes (juin-novembre).

Panama – Pacifique : Conditions variables, consulter météo marine spécialisée. Facteurs : El Niño, courants.

Mes préférences personnelles : Départ Martinique mi-avril. Traversée rapide, agréable. Arrivée Açores, puis Europe continentale.

Quel budget pour vivre sur un bateau ?

Vivre sur un bateau : un budget flottant, c’est le cas de le dire !

Les premiers prix pour un bateau habitable tournent autour de 15 000 €. C’est un peu comme trouver un studio à Paris, sauf que là, il flotte.

Selon le confort souhaité, la facture peut vite grimper, dépassant allègrement les 50 000 €. Pensez aux finitions, à l’électronique, et surtout à l’état de la coque.

L’assurance est fortement recommandée, même si elle n’est pas toujours obligatoire. Imaginez un peu les dégâts après une tempête… Mieux vaut prévenir que guérir, surtout en pleine mer.

Le budget réel fluctue, car un bateau est aussi une aventure. Les imprévus font partie du charme, un peu comme la vie elle-même.

Quelques points à considérer :

• Frais de port : Variable selon la marina et la taille du bateau.
• Entretien : Carénage, antifouling, réparations diverses…
• Navigation : Cartes, équipements de sécurité, carburant.
• Assurance : Essentielle, couvre les risques liés à la navigation.
• Taxes : Elles peuvent varier selon le pays d’immatriculation.
• Alimentation : Les courses coûtent un peu plus cher qu’en supermarché.

Il faut avoir l’esprit tranquille. Une réflexion philosophique pour finir : la mer est un espace de liberté, mais cette liberté a un coût.

Comment financer mes voyages ?

Comment financer mes voyages ?

Huit options. On fait avec.

• L’épargne. Evidemment. L’argent dort. Il faut bien le réveiller.

• Le crowdfunding. La charité, une solution. L’humiliation aussi.

• Vendre. Ce qui ne sert plus. Le superflu. Le détachement, un art.

• Freelance. Bosser en vadrouille. L’illusion de la liberté.

• Job saisonnier. Vendanges. Plages. L’ennui ailleurs.

• Logement gratuit. Couchsurfing. Woofing. L’hospitalité a un prix.

• Bourses. Subventions. L’aumône d’état. Un dossier à remplir.

• Crédit. Mozzeno. L’endettement, un voyage sans retour.

Le voyage. Une fuite. Une quête. Ou juste des photos Instagram. Ma tante, elle disait toujours : “Le bonheur est dans le pré”. Elle y est restée.

Un ami, Thomas, a tout quitté. Il a trouvé un job de développeur à distance. Il code face à l’océan. Il ne répond plus. On se demande s’il est vraiment plus heureux. Question d’interprétation.

L’important, c’est peut-être le chemin. Ou peut-être pas. J’ai croisé un clochard à Paris. Il avait voyagé plus que moi. Sans argent. Il m’a dit un truc : “La vraie richesse, c’est la pauvreté”. J’ai pas compris. Mais bon.