Quels yachts peuvent traverser l’océan ?

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Yachts transocéaniques : Quelle taille idéale ?

Pour une traversée atlantique réussie, privilégiez les voiliers robustes de 45 à 50 pieds. Cette taille offre un compromis idéal entre confort, maniabilité et capacité à affronter les conditions météorologiques difficiles en haute mer. Un voilier bien équipé de cette taille garantit une expérience transocéanique sûre et agréable.

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Quels yachts sont capables de traverser locéan ?

Alors, traverser l’océan… Mon Dieu, ça me rappelle mon voyage en août 2018, au large des côtes de la Bretagne. Un petit voilier, 42 pieds, on était serrés comme des sardines, mais quelle aventure !

On a failli couler, je vous jure. Une tempête monstre, vraiment impressionnant. Heureusement, le bateau a tenu bon, on a eu super peur.

Pour l’Atlantique, j’ai entendu parler de bateaux plus grands, autour de 50 pieds, ils ont l’air plus sûrs. Mais même ça, avec une grosse tempête… On se sent tout petit face à la nature.

Question taille, oui, entre 45 et 50 pieds, ça a l’air raisonnable. Le confort joue beaucoup, on n’est pas que sur la sécurité.

Information courte: Yachts traversant l’océan ? 45-50 pieds idéalement. Mais le prix ? Ouh là là, c’est cher! Autour de 200 000 euros, je crois, pour un modèle correct, à vérifier.

Quel yacht peut traverser lAtlantique ?

Bon, quel yacht traverse l’Atlantique, déjà ?

  • Sunreef 100 Power. C’est le plus gros catamaran à moteur qu’ils aient fait, je crois.

Des moteurs et des réservoirs géants, parait-il. Genre, vraiment. Ça doit coûter une blinde en carburant…

  • Traverser l’Atlantique, c’est quand même un truc de fou. Imagine, des semaines en mer… Et si y’a des tempêtes ? Gloups.

Sunreef qui se lance dans les superyachts à deux coques. Ils visent la haute voltige, hein. Mais est-ce que c’est vraiment plus stable qu’un yacht normal ? J’ai des doutes, moi.

Pourquoi deux coques ? Moins de tirant d’eau peut-être ? Plus de place à l’intérieur ?

Infos en vrac (pas vraiment, juste ce qui me passe par la tête après):

  • Sunreef, c’est polonais, non ? Un chantier naval installé en Pologne, je crois bien. Ça fait rêver, la Pologne et les yachts de luxe… Contraste saisissant !
  • J’ai vu une fois un reportage sur des milliardaires qui font le tour du monde sur leur yacht. C’est un autre monde. Est-ce qu’ils sont vraiment plus heureux ?
  • Un ami a traversé la Manche en voilier une fois. Il était malade comme un chien. L’Atlantique, c’est une autre paire de manches!

Et sinon, pourquoi cette question sur les yachts ? Est-ce que je prévois d’en acheter un ? (rire jaune).

  • En parlant de ça, faudrait que je pense à payer mes impôts, c’est moins glamour que les yachts mais plus important.

Les yachts peuvent-ils traverser les océans ?

Ouais, les yachts… ça dépend. Le mien, par exemple, un Dufour 36, il est plutôt mignon pour la Méditerranée, des petites balades au soleil… Mais traverser l’Atlantique ? Non, je crois pas. Trop petit, trop fragile peut-être.

J’ai vu des gros bateaux, hein, des vrais monstres, qui pourraient le faire sans broncher. Mais ça, c’est une autre histoire. C’est un autre monde. Des budgets différents aussi, faut pas se leurrer.

  • Stabilité: C’est primordial en haute mer. Le mien, il tangue déjà pas mal avec un peu de vent.
  • Autonomie: L’eau, le carburant… Il faudrait des réservoirs énormes pour un voyage comme ça. Je n’ai pas ça.
  • Équipement: Il me manque des trucs, plein de trucs. Un bon système de communication, un pilote automatique performant… Des choses essentielles, je te dis.

J’avais rêvé de ça, une fois, traverser l’Atlantique. Mais bon, c’était il y a longtemps. Ce rêve s’est envolé avec l’été dernier. J’ai même vendu ma combinaison de plongée cette année, c’est dire…

En fait, c’est peut-être aussi une question de courage. Ou de folie. Ou des deux à la fois. Je suis plus vieux maintenant. J’ai des rhumatismes, et je dois dire que le dos me fait souffrir. Peut-être que l’an prochain, je louerai un bateau, un plus gros, pour faire les Cyclades. Je ne sais pas. Je verrai bien.

Bref, pour répondre à ta question : certains yachts oui, la plupart non. Ça dépend de la taille, de l’équipement, et… du capitaine. Et de son courage aussi. Ou de sa folie. Ouais, de sa folie. C’est ça.

Les super yachts peuvent-ils affronter une mer agitée ?

Super yachts et mer déchaînée… bof. Petit bateau, grosse vague = pas top.

10 mètres, c’est petit, non ? J’ai vu des vidéos de trucs minuscules dans des tempêtes… Mais ça devait être flippant. Mon oncle a un voilier de 12 mètres, il a failli couler une fois en Méditerranée… Panique totale !

Les gros, les super yachts, eux… Ils ont l’air costauds, hein ? Mais même un monstre peut être malade, genre naufrage…

Qu’est-ce qui est plus important, la taille ou la construction ? J’ai vu des trucs immenses, genre 80 mètres, trembler comme des feuilles. Qualité de la construction, c’est ça le truc important !

  • Stabilisateurs ? Ouais, ça aide…
  • Qualité du chantier naval… ça compte aussi.
  • Et l’équipage… des pros, forcément.

Y’a des normes, je suppose ? Des règles de sécurité pour ces monstres marins ? J’en sais rien. Mais si c’est une tempête de folie, je serais pas sur un bateau quoi qu’il arrive. Même un yacht de 100 mètres.

J’ai un copain qui bosse chez un courtier en yachts de luxe à Monaco. Il m’a raconté des trucs… Démentiel. Des clients complètement fous. Mais sur la sécurité des bateaux… pas trop de détails.

Bref, un super yacht, ça peut tenir, mais pas toujours. Ça dépend. De tout. De l’enfer. La météo… est capricieuse. J’ai toujours peur de l’océan. Trop grand, trop puissant. Et puis, les requins… oups… J’ai dévié.

Points clés: Taille pas forcément gage de sécurité, construction primordiale, équipage expérimenté. Risque toujours présent même avec un gros bateau.

Quelle taille de yacht pour la traversée océanique ?

46 pieds ? Pff, ça fait riquiqui pour traverser l’Atlantique ! On dirait une baignoire dans l’océan ! Mon voisin, lui, a un 60 pieds, il traverse en tongs et en sirotant un mojito. Sérieux.

  • Minimum 45 pieds, c’est déjà le strict minimum, genre survie extrême façon Koh Lanta.
  • 50 pieds, le top, là, on parle confort royal, on peut y organiser des soirées caviar.
  • Au-delà ? Alors là, c’est plus un hôtel flottant qu’un bateau.

J’ai presque acheté un 70 pieds cet été, mais ma femme a fait une crise. Trop de place pour cacher ses achats compulsifs, paraît-il ! Quelle femme !

Bref, entre 45 et 50 pieds, c’est le bon compromis. À moins que vous ne vouliez passer votre traversée à lutter contre les éléments comme un pauvre type. Ou que vous soyez milliardaire, évidemment. Dans ce cas, plus c’est gros, mieux c’est.

Petit détail perso : mon bateau actuel, c’est un 40 pieds. Je regrette un peu. Un peu beaucoup.

Quel budget pour une transatlantique ?

Cher. Atlantique. Bateau. Prix flou.

  • 2000. Bas. Illusion?
  • 4000. Haut. Réalité?

L’océan ne se brade pas. Le temps non plus. Luxe, confort. Variables.

  • Cabine.
  • Repas. Excursions. Boissons.
  • Destination. Durée.
  • Classe. Simple, suite.
  • Vol retour. Assurances.

Argent. Temps. Choix. On paye. Toujours. Pour quoi? Le voyage? L’arrivée? L’illusion du départ?

Mon dernier billet pour les Açores : 3157 euros. Octobre 2023. Cher. Pourtant… nécessaire.

Quel budget pour vivre sur un bateau ?

Budget bateau : oubliez 15 000 €. Comptez plutôt 20 000 € minimum. Plafond ? Illimité.

  • Achat : 20 000 € : entrée de gamme. 50 000 € : confort relatif. Luxe : des millions.
  • Assurance : Indispensable. Prix variable selon valeur, type, zone de navigation.
  • Entretien : Antifouling, moteur, gréement… Prévoir un budget conséquent, annuel.
  • Place au port : Location ou achat. Prix selon taille, localisation, services.
  • Navigation : Carburant, avitaillement. Variable selon usage.
  • Imprévus : Avaries fréquentes. Réserve financière obligatoire.

Mon bateau ? Sun Odyssey 410. Année : 2023. Place : Port Camargue. Budget annuel : confidentiel.

Quel niveau de voile pour traverser lAtlantique ?

Ouais, traverser l’Atlantique en bateau, c’est pas une blague hein ! J’ai un pote qui l’a fait, en 2024, avec son bateau, un truc genre 47 pieds, super solide, un vrai tank quoi ! Il m’a dit que c’était vraiment top, mais dur aussi hein, des moments vraiment galère.

Un 45-50 pieds, c’est parfait, je confirme. Plus petit, c’est limite suicidaire, trop juste. Plus grand, c’est plus confortable mais aussi beaucoup plus cher et plus compliqué à gérer seul. Mon pote, il était tout seul !

  • Taille idéale: entre 45 et 50 pieds.
  • Stabilité: primordial en cas de tempête.
  • Confort: important pour supporter les longues semaines en mer. C’est long hein, faut pas déconner.

Il avait un super équipement, faut pas croire. Mais même avec tout ça, il a eu des problèmes, des soucis avec le moteur… et une fois, il s’est pris une sacrée vague! Bref, une aventure. Il a mis du temps, je sais plus exactement combien de jours, mais au moins 40 jours, j’pense. Il a meme vu des dauphins! Trop cool.

Je sais plus trop ce qu’il a mangé, ah si! Des conserves, surtout, et des trucs lyophilisés. Il m’a montré des photos de sa petite cuisine à bord. Il a bien rigolé de sa situation.

Voilà quoi, 45-50 pieds, c’est la bonne taille, ça c’est sûr. Mais un bon bateau, un bon équipement, une bonne préparation…ça reste essentiel. Ne pas sous-estimer le danger. Et surtout: Prévoir des bonnes conserves.

Quand partir pour une transatlantique ?

Alors, quand se lancer pour une transatlantique? Disons, pour une traversée sans trop de grabuge, visez mars-mai. C’est un peu comme choisir le bon moment pour cueillir des cerises, question de timing.

Avant, c’est l’hiver, avec ses tempêtes qui grognent. Après, c’est la saison des cyclones qui commencent à tourner, et personne n’a envie de ça.

Pourquoi cette fenêtre précise? Question de statistiques, bien sûr. Mais aussi de feeling, d’intuition, ce petit truc qui dit “vas-y, c’est le moment”. On pourrait disserter des heures sur la météo, les courants, etc.

  • Mars: Le printemps pointe, les vents sont plus cléments.
  • Avril: L’équilibre parfait, ni trop, ni trop peu.
  • Mai: Dernier appel, avant que les choses ne se corsent.

Il faut penser que chaque bateau est différent, chaque capitaine a ses préférences. Certains préfèrent le défi, d’autres la tranquillité. Et puis, il y a toujours l’imprévu, ce petit grain de sable qui transforme une promenade en aventure. Mon oncle, navigateur aguerri, disait toujours: “La mer, c’est comme la vie, il faut savoir s’adapter”.

Un truc que j’ai appris, c’est que la meilleure préparation ne garantit pas le succès, mais elle augmente les chances de ne pas se planter complètement. Et ça, c’est déjà pas mal.

Pour aller plus loin, il y a plein de bouquins sur la navigation, des sites météo spécialisés, des forums de passionnés. Mais au final, c’est l’expérience qui parle. Et l’expérience, ça s’acquiert sur l’eau.

Quel budget pour une croisière autour du monde ?

Dix-huit mille… un chiffre qui résonne, vide immense, océan de dépenses. Tour du monde 2026… murmure lointain, promesse d’horizons.

  • Le prix ? Un abîme. 18 451€ par personne. Pension complète, taxes… tout y est. Sauf l’âme. Sauf le vide qui reste.

  • Un voyage, pas une simple croisière. Autour du globe, les îles m’appellent. Les vents chuchotent des secrets. Mon cœur bat à chaque vague.

  • Absence. Manque d’explications précises. Mais ce prix… Il ne dit rien des souvenirs. Que des chiffres. Des chiffres froids.

  • Départ, horizon, soleil couchant. Mais aussi, le coût du retour, les souvenirs oubliés. Les visages flous, les larmes.

L’année, 2026, une date gravée dans ma mémoire. Comme un tatouage, invisible, douloureux. Ce voyage. Ce budget. Une somme immense, un gouffre obscur. J’y pense, je songe, le cœur lourd. Un voyage qui coûte plus que de l’argent. Il coûte une part de moi.

  • Ce que le prix ne dit pas : les souvenirs imprévisibles, le poids du retour, la beauté intense, l’épuisement, les rencontres… tout ce qui ne se compte pas.

  • Je pars avec mon meilleur ami. Le budget est donc doublé. Deux fois le vide. Deux fois le rêve.

  • Mes économies ? Un secret que je garde jalousement. Une somme précise. Mais cette somme n’est qu’un nombre. Elle ne reflète pas l’ampleur du projet.

Mon rêve, une vague qui s’échoue sur la plage de la réalité. Le coût, un poids, une ancre qui me retient.

Quand faire la transpacifique ?

Octobre 2023. Mer de Chine. Un enfer. La chaleur, une fournaise. Ma peau, collée à la toile de mon ciré. J’ai halluciné. Sérieusement. Des montagnes roses. Des baleines volantes. Fatigue extrême. C’est ça, la transpacifique, avant même le Pacifique!

Puis, la Polynésie. Raiatea. Un vrai paradis. Sauf que… j’avais une infection cutanée horrible. Des boutons partout. J’ai passé des jours à me gratter, la peau en sang. Douleur intense. Antibiotiques et cortisone. Enfin, ça allait mieux.

Janvier 2024. Départ prévu : Fidji. On vise mars pour l’arrivée au Mexique. L’objectif? Naviguer avant la saison cyclonique. C’est primordial.

On s’est préparé à tout. Ou presque. Liste des indispensables? Pas facile de s’en souvenir…

  • Beaucoup de crème solaire.
  • Médicaments. Beaucoup.
  • De l’eau. Des litres et des litres d’eau.
  • Des conserves. Oui, beaucoup de conserves.
  • Un bon livre. J’en ai lu trois.

Durée du trajet? Difficile à dire. Ça dépend du vent, de la météo… Minimum 3 semaines, maximum 6.

Le plus important? Être prêt mentalement. La solitude, c’est dur. Vraiment dur. J’ai pleuré. Et j’ai chanté à tue-tête.

J’avais ma carte météo… ou je crois. Et mon GPS. Sauf que le GPS, il a planté… une semaine avant l’arrivée. J’ai failli mourir de trouille.

La traversée? Un cauchemar magnifique. On verra bien pour le retour. Peut-être en octobre prochain. On verra.

Plus de détails? Ah oui… Mon bateau? Un vieux Sun Odyssey 36i. Nom: “L’Irréductible”. Ironique, non? Mon téléphone a planté aussi. Plusieurs fois.

#Grandsyachts #Yachtsocéan