Quelle taille de bateau pour traverser l'Atlantique ?
Traverser l'Atlantique en voilier nécessite un bateau d'au moins 45 pieds (13,7 mètres), idéalement entre 45 et 50 pieds (13,7 et 15,2 mètres). Cette taille offre un compromis optimal entre sécurité, habitabilité et performances en haute mer. La capacité du bateau, à adapter en fonction de l'équipage et de la durée du voyage, doit inclure suffisamment de place pour le stockage, l'eau, la nourriture et le carburant.
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- Quel yacht peut traverser l’Atlantique ?
- Quel permis pour faire le tour du monde en voilier ?
- Comment trouver un bateau pour traverser l’Atlantique ?
- Quelle taille de voilier pour un tour du monde ?
- Quelle taille de voilier pour traverser l’Atlantique ?
Traverser lAtlantique : quelle taille de bateau ?
Traverser l’Atlantique en voilier, quelle aventure ! On se demande toujours, quelle taille de bateau faut-il ? J’ai lu plein de choses, mais le consensus, c’est autour de 46 pieds.
En gros, un voilier entre 45 et 50 pieds, c’est pas mal. C’est grand assez pour la stabilité et l’autonomie, mais pas un monstre à manœuvrer. Disons que c’est l’idéal.
J’imagine la place qu’il faut à bord pour stocker l’eau, le gasoil, les provisions… C’est pas une petite traversée ! Plus grand, c’est du luxe, mais plus petit, ça commence à faire peur, non ?
Quand j’étais gamin, en 2005, j’ai visité un vieux gréement à Brest. Il était immense ! C’était un truc de fou. Traverser l’Atlantique là-dessus, ça devait être quelque chose.
Quelle taille doit avoir un yacht pour traverser lAtlantique ?
Traverser l’Atlantique en yacht est un défi fascinant, un peu comme essayer de comprendre la nature humaine : complexe et imprévisible. La taille idéale, parlons-en.
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Monocoques : Visez 50 pieds. C’est un peu le “juste milieu” pour la stabilité.
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Multicoques :40 pieds suffisent. Leur conception offre une meilleure stabilité.
Pourquoi cette différence ? La quille d’un monocoque joue un rôle crucial dans sa stabilité, nécessitant une certaine longueur pour compenser le roulis. Un multicoque, lui, répartit la stabilité sur plusieurs coques.
Ceci dit, l’aventure est à la portée de presque tous les bateaux. Mais bon, autant optimiser ses chances, non ? C’est comme choisir le bon vin pour un dîner : ça change l’expérience.
Alors, prêt à affronter les vagues ? C’est un peu comme se lancer dans une dissertation philosophique : il faut du courage et une bonne dose de préparation. Mais au final, quelle satisfaction !
Quel bateau à moteur est nécessaire pour traverser lAtlantique ?
Je me demande… Traverser l’Atlantique…
C’est un truc qui me travaille parfois, comme une vieille chanson à moitié oubliée. Le Power 67, tu dis ? Un bateau habitable.
- Pas juste un truc pour aller pêcher, quoi. Un vrai chez-soi flottant.
Je vois l’idée, une sorte de… fuite douce.
- Le large, le soleil, plus de comptes à rendre.
Mais est-ce que ça suffit, vraiment ?
- Les tempêtes, la solitude…
J’y pense, à ce Power 67, à ce voyage…
- Comme un rêve, flou et persistant.
- Un besoin d’espace, peut-être.
Je crois que oui.
Quel budget pour un voilier tour du monde ?
Alors, le budget pour un tour du monde en voilier, c’est un peu comme demander combien coûte une baguette… ça dépend si tu la veux dorée à la feuille d’or ou pas !
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Achat du rafiot : Entre 50 000 et 400 000 balles. C’est le prix d’une bagnole de luxe ou d’un studio à Trifouillis-les-Oies ! Choisis bien, hein. Imagine, t’es coincé avec pendant des années !
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Location (option fainéant !) : 40 000 à 100 000 € par an. Autant dire que t’as intérêt à gagner au loto, ou à épouser un prince saoudien.
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Bouffe, rhum et autres besoins vitaux : 500 à 1000 € par personne et par mois. Moins cher qu’un appart à Paris, mais plus cher qu’une yourte en Mongolie.
Et n’oublie pas : les imprévus, c’est la base ! Pense aux pirates somaliens, aux tempêtes apocalyptiques, aux avaries moteur… Prévois une marge, sinon tu finis par vendre tes slips pour payer le mécano !
Quel bateau pour navigation hauturière ?
Un bateau pour la haute mer ? Hum… Plus de 12 mètres, c’est clair. Mais 12 mètres, ça dépend… Mon père avait un Wauquiez Hood 38, superbe bateau. Solide comme un roc, on a traversé le golfe de Gascogne avec, en 2023. Orage monstre, on a cru que c’était la fin. Pluie battante, vagues démentielles, on était collés à la table à cartes, les yeux fixés sur les instruments. J’avais 18 ans, une peur bleue, mais quel souvenir!
Après, j’ai vu des bateaux plus petits, beaucoup plus petits, faire la même chose. De l’audace, ou de l’inconscience? Peut-être les deux. Tout dépend de l’équipage, de l’expérience, de la préparation… Un Dufour 36, par exemple. Ça passe, mais à condition de connaître son bateau par cœur. Pas de place à l’improvisation en haute mer, je peux vous dire.
La taille n’est pas tout. On a vu un petit First Class 8 faire des miracles. Mais les conditions étaient excellentes. Alors, 12 mètres, c’est un minimum, pour une sécurité raisonnable. Mais faut pas s’arrêter là:
- Moteur puissant. Essentiel!
- Équipement complet. Aucune excuse! AIS, balise EPIRB, GPS… ça ne rigole pas.
- Voiles adaptées. Et en bon état!
- Préparation minutieuse. Impossible de trop en faire.
J’ai presque oublié… On avait un super pilote automatique sur le Hood 38. Indispensable, surtout la nuit.
Mon père ? Il a un nouveau bateau maintenant, un Hallberg-Rassy 41. Il n’arrête pas de me faire chier pour que je vienne naviguer avec lui, mais je n’ai pas trop le temps en ce moment. Beaucoup de boulot. Mais un jour, peut-être…
Points clés: Plus de 12 mètres, moteur puissant, équipement complet, préparation minutieuse. Le reste, c’est une question de feeling, et de courage.
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