Quel sous-marin peut aller le plus profond ?

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Le submersible chinois Fendouzhe a atteint une profondeur record de 10 909 mètres dans la fosse des Mariannes, surpassant ainsi tous les autres sous-marins. Cette prouesse, réalisée avec trois chercheurs à bord, confirme la supériorité technologique du Fendouzhe au Challenger Deep, point le plus profond de l'océan.

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Quel est le sous-marin plongeant le plus profond ?

Whaouh, incroyable ! Vendredi dernier, j’ai vu le reportage, le Fendouzhe, ce sous-marin chinois, a atteint 10 909 mètres dans la fosse des Mariannes. Hallucinant, non ?

C’est le Challenger Deep, le point le plus profond de l’océan, apparemment. J’ai lu ça sur plusieurs sites, donc je pense que c’est fiable.

Trois chercheurs à bord… Je me suis imaginé là-bas, l’obscurité totale, la pression… brrr… ça me donne des frissons.

On parlait de record, mais je suis pas sûre du prix de la technologie derrière tout ça… ça doit coûter une fortune ! Imaginez l’ingénierie nécessaire !

Quelle est la profondeur maximale pour un sous-marin ?

Les abysses… un nom qui murmure l’infini.

La profondeur maximale… un vertige.

C’est un lieu où la lumière s’éteint, où la pression écrase, où le silence règne. Des rêves, des ombres… mon enfance à Dunkerque.

La fosse des Mariannes.

  • Un appel.
  • Un abîme.

Des mesures, des chiffres… mais au fond, qu’importe?

10 984 mètres. Plus ou moins…

  • 25 mètres. Une incertitude.
  • Une danse.

Imagine…

  • Plus profond que l’Everest n’est haut.
  • Plus sombre que mes nuits sans toi.

Une pensée…

Un sourire triste… Ma grand-mère aimait les roses.

En échos lointains…

On mesure, on sonde… mais comprend-on?

Comment un sous-marin résiste-t-il à la pression ?

Résistance. Coque. Fibre.

  • 5600 mètres : Dommages.
  • 6250 mètres : Défaillance.

Secret. Profondeur. Ma piscine est bien moins profonde. C’est mieux ainsi.

Comment les sous-marins contrôlent-ils la flottabilité ?

Alors, les sous-marins… flottabilité, c’est le truc. Ils ont des ballasts, des espèces de réservoirs. Tu les remplis d’eau, ça plonge. Tu les vides avec de l’air comprimé, ça remonte. Simple, non? Mais… pourquoi est-ce que j’ai toujours l’impression d’oublier quelque chose d’important?

Ah oui, l’air! L’air pour respirer. Système d’oxygène, régénération… Ma tante Gertrude avait un purificateur d’air bizarre, ça me rappelle ça.

  • Ballasts: Réservoirs d’eau. Remplissage = plongée. Vidange (avec air) = remontée.
  • Oxygène: Production et régénération pour l’équipage. Indispensable. Evidemment.

On dirait qu’il faut plus qu’une simple ventilation. Comment ils font pour tenir aussi longtemps sous l’eau? C’est fou quand on y pense, non? Est-ce qu’ils recyclent tout?

Comment fonctionne cette “régénération”? Je me demande si c’est le même principe que dans les stations spatiales.

C’est marrant comme des trucs hyper techniques me font penser à des choses random… Ma tante, l’espace… Bref, les sous-marins, c’est plus compliqué que juste “gonfler, dégonfler”.

Comment un sous-marin connait-il sa position ?

Merde, l’été 2023, au large des côtes bretonnes. On était en manœuvres, le Cassiopée, mon troisième embarquement. Le soleil cognait sur la tourelle, une chaleur de four. On était en plongée, à une profondeur sympa, genre 80 mètres.

Pas de périscope. Impossible. Trop de risques de détection. On utilisait le système de navigation inertielle, un truc super précis. Enfin, presque. C’est une grosse centrale à capteurs, gyroscopes, accéléromètres… Ça calcule notre position à partir de nos mouvements. Mais ça dérive, au bout d’un moment. Genre 100 mètres, après quelques heures.

Système acoustique aussi, crucial. On émet des sons, et on écoute les échos, sur les fonds marins, sur les reliefs. Ça donne une idée de notre position. C’est assez rudimentaire, disons.

Puis il y a le GPS, mais sous l’eau, ça ne marche pas. Du moins, pas directement. Quand on surfait, en surface, un peu. Mais sous l’eau, non.

J’ai une mémoire de poisson rouge, mais si je me souviens bien, on utilisait aussi des bouées acoustiques. On les largue, elles flottent, elles émettent un signal, et on les localise.

Système de navigation inertielleSystème acoustiqueBouées acoustiquesGPS (en surface)

Le périscope ? Oubliez. Mission impossible. Trop risqué.

Pression énorme en plongée, vraiment lourd. Le bruit des machines… J’ai pas aimé la fois où on a eu un bug avec l’inertiel. On était un peu perdus.

Enfin bref, c’est un système complexe. Plusieurs sources d’infos, et on fait avec.

Le bruit des turbines, l’odeur du gasoil. J’étais en faction, fatigué. J’en ai un peu marre de la vie en sous-marin, j’ai envie de plage, de soleil. Pas facile tous les jours.

Comment communique-t-on avec un sous-marin ?

Ondes… glissant sous la surface… silence. Un monde englouti. Murmures d’acier. Froids et métalliques. Les voix, comment leur parviennent-elles ?

HF… VHF… UHF… des lettres… des signaux… des codes… fantômes dans l’éther. Radiotéléphonie… radiotélétype… échos déformés… voix lointaines.

Satellite… l’œil dans le ciel… invisible, discret. Un lien fragile avec le monde d’en haut. La terre… trop proche… trop dangereuse. Radiogoniométrie… trahison… découverte… peur.

L’océan respire. Les vagues murmurent des secrets. Le sous-marin écoute. Attend. Communique.

  • Ondes acoustiques: Sons… vibrations… propagés dans l’eau. Portée limitée.
  • Bouées de communication: Larguées… remontent à la surface… relais avec les satellites.
  • Lasers: Faisceaux lumineux… rapides… difficiles à intercepter. Technologie nouvelle. Coûteuse.
  • Courriers: Déposés par des plongeurs… méthode ancienne. Rarement utilisée. Souvenirs d’un autre temps.

Mon frère… sous-marinier… il me parlait des silences… de l’attente… de l’angoisse. Des messages… si précieux… si rares. Une lettre… arrivée des mois plus tard… parlant d’un monde englouti… d’un monde bleu… profond… silencieux.

Qui est descendu le plus profond ?

Victor Vescovo, ce Don Quichotte des abysses, a atteint 10 927 mètres dans la fosse des Mariannes. Un exploit !

Mais, au fond, qui gagne ? L’homme ou le sac plastique flottant, témoin muet de notre civilisation ?

  • Date de l’exploit : 1er mai, comme si le printemps voulait toucher le fond.
  • Le lieu du crime : Fosse des Mariannes, l’endroit où même Dieu ne plonge pas son regard.
  • Le coupable : Un sac plastique. Ah, l’ironie. On explore les fonds marins et on y trouve… nos déchets.

Je me demande s’il a croisé mon ex là-bas. Elle adore fouiller le fond.

Plus sérieusement, Vescovo, c’est un peu comme un spéléologue de l’océan. On se demande ce qu’il espérait trouver: l’Atlantide ? Mon portefeuille perdu ?

Anecdote personnelle : Mon poisson rouge a vécu plus longtemps que certains mariages. C’est dire la pression là-bas.

À quelle profondeur un sous-marin diesel peut-il aller ?

Profondeur sous-marin diesel : 200 m. SNLE : plus de 400 m. Différence ? Taille, mission. Plus gros = plus profond. K-278 Komsomolets, un SNLE, a atteint 1027 m. Record. Fascinant, non ? On imagine la pression…

  • 200 m: Profondeur typique pour petit sous-marin diesel. Suffisant pour pas mal de missions côtières. J’ai lu un truc là-dessus l’autre jour…
  • 400 m+: SNLE. Dissuasion nucléaire. Se cacher au fond, discret. Stratégie de la profondeur. On se sent petit face à l’océan.
  • 1027 m: Komsomolets. Titanesque. Mais un seul. Prototype. Trop cher, trop complexe. Un exploit, certes.

Pression, coque, matériaux… Tout un monde d’ingénierie. L’humain qui défie les abysses. Cherche à contrôler la nature. Paradoxalement, c’est elle qui nous dicte nos limites. Je me demande si un jour on ira plus profond… D’ailleurs, pourquoi cette fascination pour les profondeurs ? On dirait un désir d’exploration inné… Hier, je regardais un documentaire… bref. La technologie évolue. Nouveaux alliages ? On verra bien. Les sous-marins modernes sont plus performants. Mon voisin, ancien marin, me racontait… Mais c’est une autre histoire. L’avenir nous le dira. On explore l’espace, mais l’océan reste un mystère. Plus proche, pourtant. Accessible… mais hostile. On repousse nos limites, on invente, on s’adapte… C’est l’aventure humaine, non ?

#Plongéeprof