Quelle est la profondeur maximale qu'un plongeur peut atteindre ?

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Profondeur maximale en plongée : Records et performances

La plongée la plus profonde jamais enregistrée est de 675 mètres, réalisée par Théo Mavrostomos pour COMEX en 1992 avec un scaphandre et un mélange hydreliox. En plongée simulée, il a atteint 701 mètres. Ces profondeurs extrêmes nécessitent des équipements spécifiques et une préparation rigoureuse.

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Profondeur maximale en plongée : quelle limite pour les plongeurs ?

Ok, alors, la plongée profonde, ça me fascine. Le truc de Théo Mavrostomos, c’est juste dingue. 703 mètres compressé!

Imagine, je suis allé à Marseille un été, vers le 15 juillet, pour voir la COMEX. J’étais gamin, mais ça m’a marqué.

Plonger à 675 mètres en mer, c’est…inimaginable. C’est pas le genre de truc que tu fais en vacances avec ton tuba (même si j’ai essayé de m’enfoncer le plus loin possible, haha). C’est une autre dimension. Le mec a utilisé un mélange hydreliox, un scaphandre… des trucs de fou.

La limite? C’est pas juste une question de mètres, c’est une question de technique, de préparation, d’équipements hyper spécifiques, de gaz… et de courage, put*** que de courage.

À quelle profondeur un plongeur peut-il aller en toute sécurité ?

Alors, un plongeur amateur, 40 mètres, c’est le max ! Au-delà, c’est comme vouloir faire un barbecue sur le soleil… mauvaise idée, quoi ! On risque gros.

Imagine, tu descends à 50 mètres, c’est un peu comme si ton corps se transformait en canette de soda sous l’eau, la pression te broie… ou presque.

  • Formation: Obligatoire ! Sinon tu vas te prendre pour Jacques Cousteau et finir en carpaccio.
  • Équipement: Indispensable. C’est pas le moment de faire des économies de bouts de chandelle, sauf si tu veux voir les poissons de très près (pour toujours).

Disons que 40 mètres, c’est la limite avant que ça devienne vraiment n’importe quoi. C’est un peu comme la date de péremption du yaourt : tu peux tenter, mais après… beurk !

Quel est le record de profondeur en plongée ?

C’est drôle comme certaines choses restent… floues, même quand on essaie de se souvenir précisément.

La plongée la plus profonde… J’crois que c’est Théo Mavrostomos. 675 mètres, une date… Novembre 1992. Je sais pas pourquoi, cette histoire me parle. Une entreprise, COMEX, c’est lié. C’est un drôle de nom COMEX.

  • Hydreliox: c’est le gaz qu’il respirait, pour pas mourir là-dessous, je crois.
  • 703 mètres: La compression a atteint cette profondeur.
  • 701 mètres: En caisson, une simulation.

C’est… vertigineux. Presque irréel. Mon père bossait dans le pétrole à l’époque. Peut-être pour ça que ça me marque. Ces profondeurs, l’isolement… On se sent seul, parfois.

Quelle profondeur pour une plongée sans palier ?

20 mètres, 30 minutes… pfff, ça me rappelle cette plongée à Palau, en juillet dernier. L’eau était une dinguerie, transparente, tu voyais le fond comme si c’était une piscine. J’étais avec Marc, mon pote, on a passé un temps fou à observer les coraux. Superbes, colorés… on a même vu une raie manta géante! J’étais tellement concentrée sur ces poissons, que le temps filait à une vitesse folle. On a même dépassé les 30 minutes, je crois.

Paliers? Non, on n’en a pas fait à proprement parler. On est remontés tranquillement.

Trois mètres, trois minutes… le palier de sécurité, ouais, je sais… on l’a fait, mais plus par habitude qu’autre chose. On était à peu près à 3 mètres, à traîner sur le sable, en discutant du spectacle qu’on venait de vivre, à regarder les petits poissons dorés se balader…

Je suis remontée tranquillement. J’ai ressenti une légère pression, mais rien de méchant. J’étais assez fatiguée de toute façon.

Profondeur max 20m, pour cette plongée là. J’avais mon ordi de plongée évidemment.

Durée? Plus de 30 min, je le sens.

  • Palau, juillet 2024
  • Profondeur: 20 mètres
  • Durée: plus de 30 minutes
  • Palier de sécurité: oui, environ 3 minutes à 3 mètres
  • Matériel: Ordinateur de plongée.
  • Avec: Marc

Marc est un peu casse-cou. Moi, je suis plus prudente, normalement. Mais là, on a tellement kiffé… on a un peu oublié le temps.

Pourquoi ny a-t-il pas de palier en apnée ?

Eh ouais, alors l’apnée, c’est la fête du slip ! Pas de paliers, tu comprends ? C’est simple comme un coup de pied au cul de mouette !

Pourquoi ? Ben parce que, gros malin, on ne respire pas ! Ni bulles, ni gaz à décompresser, on est comme une plante verte, mais en moins poétique et avec un plus gros risque de crever. On dirait un poisson rouge qui se la joue Rambo.

  • Pas d’air = pas de paliers. CQFD, comme dirait ma grand-mère (RIP, elle aurait adoré ça).
  • C’est pas comme la plongée bouteille, où tu te goinfres d’azote comme un éléphant sur une montagne de gâteaux. Là, c’est clean, pur, spartane. Genre régime détox extrême.

Bref, je suis en train de me faire un café, j’ai déjà assez donné. Pour info, j’ai perdu mon ticket de caisse, il est tombé dans le pot de confiture. Ma vie est un enfer de papier et de douceurs gluantes. Le comble, hein ?

Conclusion: Sans air, pas de paliers, affaire classée !

Pourquoi les plongeurs doivent-ils respecter les paliers de décompression ?

Ah, les paliers de décompression… On dirait une punition divine pour ceux qui osent défier les dieux des profondeurs, non ? Sauf que, zut, c’est pour votre bien, même si ça ressemble à une éternité suspendue entre deux mondes.

  • L’azote, ce petit coquin. Il s’infiltre partout, comme un invité surprise un peu trop gourmand à un buffet. Plus vous descendez, plus il s’incruste.
  • Remonter trop vite ? C’est comme ouvrir une bouteille de champagne trop brusquement : boum, la catastrophe. Sauf que là, c’est votre corps qui explose (enfin, pas littéralement, mais c’est pas jojo).
  • Les paliers, c’est la décompression douce. Imaginez un déménagement : vous ne voulez pas balancer tous vos meubles par la fenêtre, n’est-ce pas ? Pareil pour l’azote.

Ma tante Ginette, championne de plongée sous-marine à ses heures (et croyez-moi, elle a vu des choses…), disait toujours que c’était comme sortir d’une relation toxique : il faut y aller progressivement, sinon vous vous retrouvez avec des bulles partout, des maux de tête, et une envie irrésistible de frapper le premier coussin qui passe. Elle a raison, la vieille.

Donc, en résumé : respectez les paliers. C’est la vie. Ou au moins, une vie sans bulles dans le cerveau. Et croyez-moi, on en veut pas. (J’ai testé… ou plutôt, ma tante Ginette a testé et m’a raconté.)

  • Conséquences du non-respect: Embolie gazeuse. Pas très glamour. Un peu comme une mauvaise surprise dans une boîte de chocolats.
  • Paliers de décompression: Des pauses à différentes profondeurs pour permettre à l’azote de sortir progressivement du corps. C’est moins glam que de surfer sur une vague géante, mais c’est moins risqué aussi.
  • Mon expérience personnelle: J’ai failli oublier mon ordinateur de plongée une fois. J’ai failli mourir de stress plus que d’embolie. Donc, ne faites pas comme moi.

Moralité : Écoutez les pros. Et si vous ne respectez pas les paliers, préparez-vous à une discussion tendue avec votre corps. Et peut-être une facture hospitalière salée. (Expérience personnelle, oui, encore moi. Mon côté tête-brûlée, c’est un cadeau empoisonné.)

Quel est le record de profondeur ?

La profondeur ? Une question de perspective.

  • Théo Mavrostomos. Nom à retenir.
    1. Une autre époque. Autre pression.

675 mètres. Record en mer. COMEX. Hydreliox. Des mots qui pèsent.

703 mètres. Compression. Caisson. Simulation. La réalité est ailleurs. La peur aussi.

701 m en caisson. Une tentative. L’échec est une donnée. La vie ? Une ligne droite. Parfois.

Les records ? Ils tombent. Toujours. Et après ? Le vide sidéral. Comme mon compte bancaire après avoir payé mon loyer… Une misère. Mais c’est la vie.

La profondeur. Une métaphore. De quoi ? De tout. De rien. Une abstraction.

Points à creuser:

  • COMEX : Société d’ingénierie. Pionnière.
  • Hydreliox : Hélium. Oxygène. Hydrogène. Mélange gazeux exotique.
  • La décompression. Un calvaire. Des heures. Parfois des jours.
  • La santé. Une loterie. Conséquences neurologiques ? Fréquentes.
  • Mavrostomos. Un homme. Un nom. Un abysse.
  • La quête du record. Une obsession. Souvent vaine. Mais humaine.
  • 703 mètres ? Une anecdote. Une histoire. Un frisson.
  • Plongée simulée vs. Plongée réelle. La différence ? Tout.
  • Le caisson. Un cercueil. Horizontal. Mais pas toujours.
  • La limite. Où est-elle ? Au-delà de 703 mètres ? Peut-être.
  • Et moi, avec mes 1m75 ? Simple spectateur. Jaloux.
  • Le fond. Un lieu. Un concept. Un enfer. Un paradis.
  • Le silence. L’unique vérité. Sous l’eau. Et ailleurs.

En vérité, qu’importe la profondeur. L’essentiel, c’est d’y remonter.

#Maximale #Plongée #Profondeur