Quelle est la profondeur maximale atteinte par l'homme ?

Quelle est la profondeur maximale quun plongeur peut atteindre ?

Putain, sept cent mètres, c’est dingue ! J’ai lu ça sur un vieux bouquin de plongée, plein de photos jaunies. Mavrostomos, non ? COMEX, ça me dit quelque chose…

• 703 mètres, c’est la vraie profondeur, apparemment.
• Hydreliox, un truc de fou, je suppose.

Novembre 1992… j’étais au lycée, à me prendre la tête avec mes maths de terminale, loin de tout ça. Je me souviens de l’odeur de la salle de classe, le chauffage qui pétarade, le bruit sourd de la craie sur le tableau… rien à voir avec les abysses.

701 mètres en simulation, c’est quoi ? Un genre de test en piscine géante ? Un simulateur ? Je comprends pas bien tout ça. Mais l’impression, l’image qu’a pu avoir Mavrostomos de cette pression infernale à cette profondeur… Brrr…

J’ai un pote, plongeur pro, il est allé à – 100 mètres. Il m’a raconté… cauchemar. Une pression, une noirceur… Imaginez à 700 ! Il m’a montré des photos, des poissons bizarres…

Bref, 703 mètres, un record incroyable, une limite de l’humain, presque une folie.

• J’ai retrouvé l’info sur un site spécialisé, je crois.
• Il y a des articles, des vidéos, tout ça…

Et puis, Mavrostomos, le nom résonne encore. Un pionnier… Un fou.

Quelques précisions: J’ai dû retrouver l’info sur internet après la lecture du vieux livre. Je suis loin d’être un expert en plongée profonde. Mon pote plongeur, c’est Antoine, on se connait depuis la fac. L’histoire est un mélange de souvenirs vagues et d’informations collectées récemment. Toutes les données chiffrées proviennent de recherches effectuées en 2023.

Quel est le record de profondeur ?

Sept cent trois mètres. C’était fou. Novembre 92. J’étais jeune, à peine sorti de l’école d’ingénieur. Travaillais pour COMEX, une vie de dingue. On était à Marseille, le port, l’odeur du sel et du gasoil…

Théo, un monstre. Je l’admirais, vraiment. Le mec descendait plus profond que personne. Ce jour-là, c’était le grand saut. 703 mètres. J’étais dans l’équipe support, mais j’étais là, collé au moniteur.

La pression… incroyable. On surveillait tout, les paramètres vitaux, la saturation de l’héliox… On était tendus comme des cordes de guitare. Chaque minute était une éternité.

Puis la remontée. Lente, très lente. Des heures. J’ai fumé une clope après, une Gauloises, je me rappelle le goût acre, la fumée qui piquait les yeux.

On a fêté ça au bar du port, bières, cris, rires. Un souvenir marquant.

• 703 mètres : profondeur record
• 20 Novembre 1992 : Date de la plongée
• Théo Mavrostomos : Le plongeur
• COMEX : L’entreprise
• Mélange Hélio-Oxygène : Le gaz respiré

Plus tard, j’ai appris qu’il avait atteint 701m en simulation. Un truc de fou. Différence de pression, je crois. Bref, incroyable.

Pourquoi ny a-t-il pas de palier en apnée ?

Euh… Pas de palier en apnée, c’est ça ? Bah, c’est pas comme en plongée bouteille, hein. J’imagine…

• Pas d’air respiré, donc…
• …rien à décompresser, peut-être ?

Genre, pas de gaz dissous dans le sang comme avec les bouteilles. Pas de besoin de remonter doucement. Mmh… C’est logique, non ?

Mais attendez… Est-ce que c’est vraiment si simple ? 🤔

Ma cousine, elle fait de l’apnée, elle dit que c’est super technique.

• Risques quand même, je crois.
• Genre syncope…
• Accident de décompression à cause de la pression extrême et des bulles dans le sang.

Et puis, pourquoi on ressent le besoin de respirer ? C’est le CO2 qui s’accumule, non ? Mais si on reste longtemps sous l’eau, il se passe quoi exactement ?

J’me demande… Faut que je demande à ma cousine, elle connaît ça bien. Elle m’a raconté des trucs une fois, super intéressants…

Pourquoi les plongeurs doivent-ils respecter les paliers de décompression ?

Les paliers de décompression sont cruciaux pour les plongeurs. Imagine-toi, ton corps sature d’azote en profondeur.

• Élimination progressive de l’azote: Respecter ces paliers permet à l’azote de s’échapper doucement.

• Prévention des accidents de décompression: Remonter trop vite ? C’est risquer la formation de bulles, un vrai cauchemar. C’est la fameuse maladie des caissons.

Ces paliers, c’est comme une danse lente pour éviter un brusque réveil.

La physique, c’est parfois poétique, non ? Pense à la loi de Henry… la solubilité des gaz dépend de la pression. Profond, t’en absorbes plus.

Information complémentaire (si on y tient vraiment):

On parle aussi de “fenêtre d’oxygène”. Remonter lentement favorise l’élimination de l’azote par l’oxygène. Plus on remonte lentement, plus la quantité d’oxygène que l’on respire s’accroît.

Quelle est la plongée la plus profonde effectuée par un humain en kilomètres ?

Dix-neuf kilomètres ? Non, vous rêvez ! On parle de la fosse des Mariannes, hein ? Pas du trou dans mon jardin où j’ai enterré ma collection de timbres rares de la République de Weimar (je plaisante, bien sûr… ou pas ?).

10 927 mètres. C’est le chiffre magique, gravé à jamais dans les annales de l’exploration abyssale. Victor Vescovo, un type qui a visiblement plus d’ambition que de sens commun (je rigole, c’est un exploit fou !), a réussi ça en 2019. Imaginez : plus profond que l’Everest est haut ! Plein de pression, sûrement. On dirait un sandwich coincé entre deux plaques tectoniques.

• Une prouesse technique: Le submersible, un truc de science-fiction, a du supporter une pression monstrueuse. J’espère qu’il avait une bonne assurance.
• Un record à battre ? Bien sûr que oui ! L’homme, c’est un peu comme une mouche sur une vitre, toujours à chercher à aller plus loin, même si ça sert à rien. Enfin…presque rien.
• Le mystère des abysses: Au fond, il y a probablement des créatures étranges, genre des poulpes géants avec un complexe de Napoléon. J’aimerais bien y jeter un coup d’œil, mais ma phobie des profondeurs me retient. (Et le prix du billet d’avion pour le Challenger Deep est prohibitif !)

Mon cousin, lui, a fait une plongée record… dans sa piscine. Il a touché le fond avec son orteil, et il a trouvé ça vraiment impressionnant. On est tous différents, après tout. Le type a quand même réussi à se noyer dans 1m80 d’eau… C’est dire !