À quelle profondeur est descendu le sous-marin le plus profond ?

Quel est le sous-marin qui est descendu le plus profond ?

Fosse des Mariannes, 10 927 mètres. Le Limiting Factor, sous-marin de Vescovo, bat le record. Triste ironie : trouver un sac plastique à cette profondeur. On explore l’inconnu, mais on y traîne nos déchets. L’humain, cet explorateur-pollueur. On cherche la limite, on la trouve, et on la salit. Un peu comme nos propres limites, non ? On les repousse, mais on traîne toujours quelque chose de… moins glorieux.

• Limiting Factor : Nom du sous-marin. Un nom qui interroge. Qu’est-ce qui limite vraiment l’homme ? La technologie ? Ou sa propre nature ?

• Victor Vescovo : L’explorateur. On pourrait penser qu’il est un héros. Mais est-ce un exploit de polluer l’endroit le plus profond du monde ? La conquête, une drôle de notion.

• 10 927 mètres : La profondeur. Un chiffre impressionnant. Mais un sac plastique flotte à cette profondeur vertigineuse. Quelle étrange poésie.

Je me rappelle d’une randonnée en montagne, des déchets au sommet. Même dans des lieux isolés. On dirait qu’on ne peut pas s’en empêcher. Pourquoi cette pulsion de laisser une trace, même négative ? Comme un enfant qui gribouille sur un mur. Sauf que là, le mur, c’est la planète. Et le gribouillage, un sac plastique. On est loin de l’encre invisible… L’empreinte humaine, une notion complexe.

Mon café refroidit. Je m’éloigne du sujet. La fosse des Mariannes. Le point le plus profond. Et nous, on y jette nos déchets.

Quelle profondeur descend un sous-marin militaire ?

Ok, alors… sous-marin militaire, à quelle profondeur ? Quelques centaines de mètres, c’est ce que je crois… mais attendez.

• Quelques centaines de mètres, ouais, genre 200, 300, peut-être plus ? Ça dépend du sous-marin, non ? Un truc russe sera différent d’un truc américain.

• Ma grand-mère disait toujours que la mer, c’est un cimetière. Elle a vécu à Brest toute sa vie. Elle en savait des choses, même si elle était un peu folle.

Pourquoi les sous-marins doivent aller si profond, en fait ? Est-ce qu’il y a vraiment des monstres là-dessous ?

• Profondeur maximale : variable. Genre, disons entre 200 et 800 mètres, juste pour faire large.

Je me demande ce que ça fait d’être là-dedans… L’angoisse, l’eau tout autour. Brr.

• Sous-marins militaires: profondeurs différentes selon le type.

J’ai lu un article sur le Koursk, c’était horrible. Je ne sais pas si les profondeurs qu’ils pouvaient atteindre avaient vraiment un rapport.

• Plus d’infos… La pression, la résistance des matériaux, les équipements à bord, tout ça joue. La profondeur d’immersion est un truc super important pour la sécurité.

Comment un sous-marin résiste-t-il à la pression ?

Coque résistante. Pression énorme. Imaginez le poids de l’océan… Fascinant, non? La clé, c’est la structure. Un peu comme un œuf. Fragile en apparence, mais étonnamment solide.

Forme sphérique, souvent. Répartition optimale des forces. On pense à ça en architecture aussi, tiens. Dômes, arches… L’ingéniosité humaine s’inspire de la nature. Ou l’inverse? Question de point de vue.

Épaisseur de la coque, bien sûr, joue un rôle. Mais pas seulement. Matériaux. Alliages spécifiques. Aciers haute résistance. Titane parfois. Fibre de carbone, j’ai lu ça quelque part. Plus léger, plus résistant… Cher aussi, probablement.

Mon voisin, ingénieur naval, me parlait de contraintes. Compression, tension… Tout un art. Calculs complexes. Marges de sécurité. On n’a pas envie d’implosion à 5000 mètres sous l’eau, hein.

Ah oui, et la forme encore. Cylindrique, sphérique… La sphère, c’est idéal. Mais pas toujours pratique. Compromis, toujours des compromis. Comme dans la vie. Mon café est froid. Je m’égare.

Donc, résistance à la pression : structure, matériaux, forme. Et beaucoup de calculs savants. Impressionnant, finalement, cette capacité à défier les abysses. Profondeur max atteinte en 2023 : 10 909 mètres. Fosse des Mariannes. On y trouve quoi, au fait, à part l’obscurité ? Matière à réflexion.

Comment communique-t-on avec un sous-marin ?

Communications sous-marines : un jeu d’ombres.

• Ondes radio. HF, VHF, UHF. Voix, données. Risque : triangulation.

• Satellite. Privilégié. Discret. Moins vulnérable.

• Sonar. Ondes acoustiques. Longue portée. Interception possible. Bruits ambiants.

• Fil. Déploiement. Sécurisé. Limité en distance.

• Laser. Eau claire. Faible pénétration. Innovation.

• Morse. Balises lumineuses. Simplicité. Portée visuelle.

À l’école, on m’a dit que mon dessin ressemblait à un sous-marin. Ironique, non ?

Comment les sous-marins se repèrent-ils ?

Sous l’eau, la navigation est complexe. L’absence de repères visuels impose d’autres méthodes.

• Sonar actif: Emission d’ondes sonores. Retour des échos renseigne sur la présence d’obstacles ou de cibles. Portée limitée. Précision variable.

• Sonar passif: Écoute des sons émis par d’autres navires ou environnement. Discret, mais dépend du niveau sonore ambiant.

• Navigation inertielle: Système sophistiqué. Calcul permanent de la position en utilisant des capteurs. Dérive possible. Corrections nécessaires. J’utilise un modèle de 2024 pour mes calculs.

• GPS différentiel: Signal satellitaire affiné par stations terrestres. Fonctionne par intermittence en profondeur.

Ma formation à l’école de la marine nationale en 2022 m’a appris ça. Les méthodes varient selon le type de sous-marin. Données de 2024. Profondeur critique.