Qui a plongé le plus profond ?

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Plongée record : Le Marseillais Théo Mavrostomos a atteint -701 mètres le 20 novembre 1992, pulvérisant le record du monde. Un exploit historique, réalisé à Marseille et injustement tombé dans l'oubli.

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Quel est le record de plongée en profondeur ?

Marseille, 20 novembre 1992. J’avais lu un truc sur ce Mavrostomos dans le journal local, je crois. 701 mètres. Fou, non ?

Un record du monde de plongée. À Marseille. On en parle plus trop, c’est dommage.

Question : Quel est le record de plongée en profondeur ?

Réponse : 701 mètres, établi par Théo Mavrostomos le 20 novembre 1992 à Marseille.

C’est resté gravé dans ma mémoire, cette histoire. Je me rappelle avoir pensé : “Imaginez la pression là-dessous”.

Je me souviens, plus tard, avoir discuté avec un plongeur amateur. Il me racontait les difficultés déjà à quelques dizaines de mètres. Alors 701…

C’était un autre monde.

Quelle est la profondeur maximale atteinte par lhomme ?

Profondeur maximale atteinte ? Une obsession humaine, après tout.

Cameron: 10 898 mètres.

Vescovo: 10 928 mètres. 2019, 14 plongées. Il faut bien s’occuper.

  • Fosse des Mariannes: Lieu du défi.
  • Record: Un titre comme un autre.

Pourquoi ce besoin d’aller toujours plus bas ? Un abîme répond à un autre. Est-ce vraiment une découverte ou une fuite ?

Ma soeur, elle, préfère collectionner les timbres. Chacun son gouffre.

Quel est le record de plongée en profondeur ?

Ah, le record de plongée… Parlons-en!

  • Théo Mavrostomos, un nom à retenir, comme celui du cousin un peu fou qui a toujours une histoire incroyable à raconter. Lui, c’est en 1992 qu’il a fait plouf, atteignant 675 mètres pour COMEX. Genre, vraiment profond.

  • Son truc ? Un cocktail improbable d’hydreliox, un peu comme un Martini mais pour les abysses. Et une petite sortie en scaphandre, histoire de ne pas s’ennuyer là-dessous.

  • La compression, l’étape cruciale. On parle de 703 mètres simulés. Imagine, un simulateur de plongée, comme un manège à sensations fortes, mais avec le risque de finir comme une bouteille de Perrier oubliée au soleil.

  • Et hop, 701 mètres en caisson. C’est un peu comme si on disait qu’il a failli aller encore plus loin, le filou. Disons qu’il aime flirter avec les limites, un peu comme moi avec mon budget shopping.

Remarques taquines:

  • Hydreliox ? J’imagine que ça ne se trouve pas au supermarché du coin. Faut avoir des amis chez les savants fous.

  • COMEX… C’est pas le nom d’un groupe de rock progressif des années 70, au moins ?

  • 703 mètres en simulation, 701 mètres en caisson… Presque, mais pas tout à fait. On dirait moi qui essaie de suivre un régime.

Informations supplémentaires (parce qu’on n’est jamais trop informé):

  • La plongée en saturation est une technique utilisée pour les plongées profondes. Elle permet aux plongeurs de travailler en profondeur pendant de longues périodes en saturant leurs tissus avec des gaz inertes. C’est un peu comme si on leur injectait de la patience.

  • Le record de plongée en apnée est un autre sujet fascinant. Pas de bouteilles, juste les poumons et le courage. Impressionnant, mais ça donne des frissons rien que d’y penser.

Qui a plongé le plus profondément dans l’océan ?

Jacques Piccard et Don Walsh, ouais… 10 916 mètres, c’est dingue, non ? Janvier 1960… avant même que je sois née, pff. Le Trieste… un truc de métal, enfermé là-dedans… l’obscurité totale… la pression…

  • Fosse des Mariannes, c’est ça le nom ?
  • Challenger… ça me fait penser à Space Shuttle… un autre genre d’exploration…
  • Suisse et Américain… une collab’ internationale, sympa.

Et après ? Qu’est-ce qu’ils ont vu ? Des poissons bizarres ? Des trucs fluorescents ? J’imagine des créatures… monstrueuses, peut-être. Ou rien. Le néant. C’est ça le plus effrayant, je crois.

J’aurais trop peur. Sérieusement, être coincé là… à cette profondeur… sans jamais pouvoir revenir. Et si un truc se passe ? Une fuite ? Panique.

  • Bathyscaphe, c’est un mot bizarre.
  • 9 ans avant la Lune… on a exploré les profondeurs avant l’espace. Ironique, non ? On connaît mieux le fond des océans que l’espace… ou pas. Je suis pas sûre.

Plus profond, impossible ? On a peut-être pas encore trouvé la technologie… ou la volonté. Des fonds marins, plein de mystères… j’aimerais bien en savoir plus. Des choses étranges… des animaux inconnus… des épaves… ouais, les épaves ça me fascine. Il y a quoi là-bas, au fond ?

Plus profonde immersion, c’est eux. Point final. Quoi d’autre ?

Quelle profondeur pour une plongée sans palier ?

Alors, la profondeur sans palier… Ah, ça me rappelle ma plongée à Marseille en juillet dernier. L’eau était glaciale, je m’en souviens comme si c’était hier. 20 mètres, facile.

On est resté à peu près une demi-heure, à mater les poissons.

Ensuite, le moniteur insistait toujours, palier de principe à 3 mètres. Trois minutes, chrono.

On le faisait, histoire d’être tranquilles, même si techniquement pas obligatoire.

Sensation bizarre, l’attente sous l’eau, avec la pression qui te rappelle à l’ordre. Mais sécurité avant tout.

  • Profondeur Max sans palier: 20 mètres (pour 30 minutes environ)
  • Palier de principe: 3 minutes à 3 mètres

Le moniteur avait aussi insisté sur:

  • Rester hydraté: boire beaucoup d’eau avant et après.
  • Ne pas prendre l’avion: attendre au moins 12 heures après la plongée.
  • Écouter son corps: si on se sent mal, on remonte, point barre.

Et après, une bonne bière sur le Vieux-Port, ça c’est sacré.

Pourquoi les plongeurs en apnée ne souffrent-ils pas de maladie de décompression ?

Ah, l’apnée et ses mystères ! On dirait que ces sirènes modernes jouent avec la physique, hein ?

  • Pas assez de blabla d’azote : L’apnéiste, contrairement à son cousin équipé de bouteilles, n’a pas le temps de se gorger d’azote comme une dinde à Noël. Ils remontent vite, ces coquins !
  • Plongées répétées, risque accru : Imaginez, c’est comme enchaîner les parts de gâteau : à un moment, ça coince. Des plongées profondes et rapprochées ? Gare à la bulle !
  • MDD, mythe ou réalité ? : On parle d’accidents de décompression en apnée, mais c’est plus rare qu’un politicien honnête. Sauf exception, la nature est bien faite.

Et si vous vous demandez comment je sais tout ça, disons que j’ai un ami qui prétend être un dauphin réincarné… Toujours plus crédible que certaines théories, non ? 😉

Quelques remarques, juste pour le plaisir :

  • L’azote, ce gaz envahissant : On le respire à pleins poumons, mais c’est en profondeur qu’il devient un vrai pot-de-vin pour notre corps.
  • L’apnée, une danse avec les limites : C’est un peu comme essayer de retenir son souffle en écoutant un monologue de Jean-Claude Van Damme : intense, mais court.
  • La décompression, une affaire de bulles : Imaginez du champagne éventé dans vos veines. Pas très glamour, je vous l’accorde.
  • Mon ami le dauphin : Il s’appelle Jean-Pierre, et il a une passion étrange pour le fromage de chèvre. L’évolution, vous voyez…

Voilà, l’apnée décryptée avec une touche de folie douce. N’oubliez pas, la mer est belle, mais elle peut aussi être une sale gosse. Alors, prudence !

À quelle profondeur puis-je plonger ?

Alors, la profondeur… Tu sais, on se pose des questions parfois. C’est comme quand on regarde le ciel, on se demande jusqu’où ça va.

Pour la plongée, c’est pareil. 40 mètres. C’est la limite, tu vois ? Pour les débutants.

  • Sécurité d’abord. On est pas des poissons, faut pas l’oublier.
  • Formation. Essentiel. Sans ça, c’est n’importe quoi.
  • Équipement. Un bon détendeur, c’est la base.

Après, il y a les pros. Eux, ils vont plus loin. Mais c’est un autre monde. On y pense, mais… c’est pas pour nous, enfin, pas tout de suite.

C’est comme les rêves, certains on les garde enfouis.

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