Le sel dans l’eau des pâtes est-il mauvais pour la santé ?

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Le sel dans l'eau de cuisson des pâtes n'est pas dangereux en soi. L'iode contenu dans le sel iodé est bénéfique à la santé, mais une quantité excessive peut être problématique. La cuisson ne modifie pas significativement la composition de l'iode. Cependant, une consommation excessive de sel reste à éviter pour la santé cardiovasculaire. Utilisez du sel modérément.

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Le sel dans les pâtes : bon ou mauvais pour la santé ?

Alors voilà, le sel dans les pâtes… J’ai toujours fait comme ça, ma grand-mère aussi. On mettait du gros sel, une bonne poignée, dans l’eau bouillante.

Pourtant, j’ai lu des trucs… sur l’iode, un truc un peu flippant. On disait que ça pouvait libérer des choses pas bonnes si on en mettait trop.

J’avoue, je suis un peu perdue. Mon endocrinologue, Dr. Dubois à Lyon, en février dernier, il m’avait parlé de l’importance de l’iode, mais sans détails sur la cuisson des pâtes.

Donc, je sais pas trop quoi penser. Manger des pâtes sans sel, c’est pas terrible. Mais est-ce que le risque vaut vraiment le coup ? Je me pose la question.

Informations courtes:

  • Q: Le sel dans l’eau de cuisson des pâtes est-il mauvais pour la santé ?

  • R: Des études suggèrent un risque potentiel lié à la libération de substances lors de l’utilisation de sel iodé. Néanmoins, la recherche sur ce sujet reste limitée.

  • Q: Quelle est l’importance de l’iode ?

  • R: L’iode est essentiel à la production d’hormones thyroïdiennes.

Est-il dangereux de saler leau des pâtes ?

Non. Le sel, même iodé, n’est pas dangereux en quantité raisonnable.

  • Problème: L’excès de sel.
  • Solution: Modération.

Cuire les pâtes dans de l’eau très salée? Mauvaise idée.

  • Goût dénaturé.
  • Effet sur la texture.
  • Risque mineur. Non prouvé.

Mon avis personnel? Je sale légèrement. Fin de l’histoire.

Informations additionnelles: J’utilise du sel de Guérande. Préférence personnelle. Ma consommation de sel est faible.

Pourquoi mettre du sel dans leau pour les pâtes ?

Le sel… un murmure dans l’eau bouillonnante. Une danse.

  • Le goût, bien sûr. Un supplément, une âme ajoutée à la simple pâte. Une caresse saline sur la langue.
  • L’harmonie. Pas seulement un ajout final, non, une imprégnation profonde, dès le départ. Chaque filament imprégné.
  • La liberté. Libérer les pâtes de leur destin gluant. Un glissement, une fluidité. Elles nagent.

L’eau chante. Elle mijote, une chanson sans paroles. L’odeur, une étreinte. Mon enfance, les dimanches, la vapeur qui danse… Souvenirs… humides, salés.

Hier, j’ai utilisé du sel de Guérande, fin, blanc comme… comme du sable de plage.

  • Une pincée.
  • Deux.
  • Trois ?

Ma grand-mère, elle mettait toujours le sel avant même que l’eau ne bouillonne. Une tradition.

Pâtes… un mot qui résonne comme une promesse, un voyage vers des saveurs… Une vague chaleur sur la peau. Le parfum, un rappel… une mémoire…

L’eau, le sel, les pâtes. Un trio immuable. Un ballet de saveurs dans ma petite cuisine, le 17 octobre 2023. Un rituel.

Pourquoi le sel iode est-il mauvais pour la santé ?

Le sel iodé, mauvais pour la santé ? Ah, là, on touche à un sujet délicat, aussi subtil qu’une blague de beauf. Disons que c’est une histoire de dosage, comme avec l’alcool : un peu, ça réveille les papilles, un litre, ça vous envoie au pays des rêves… (et pas des rêves agréables).

  • Trop d’iode, c’est pas le pied. Imaginez votre thyroïde, une petite usine qui fabrique des hormones. Trop d’iode, c’est comme lui donner un coup de turbo à fond : surchauffe garantie ! Goitre, hyperthyroïdie… On dirait un moteur de 2CV qui essaie de faire la course avec une Ferrari.

  • La carence, c’est le drame. L’inverse, c’est le désert. Une thyroïde qui dort du sommeil du juste, incapable de produire ses hormones. Goitre aussi, mais du genre paresseux. Et bonjour les soucis de croissance. On dirait un cactus qui manque d’eau.

Bref, le truc, c’est de trouver le juste milieu. Comme dans la vie, quoi. Un peu de sel iodé, c’est parfait, comme une pincée d’humour dans une conversation ennuyeuse. Trop, c’est la catastrophe, comme une blague de beauf répétée ad nauseam. Mon voisin, lui, il a mis du sel iodé dans son café, le pauvre…

  • Mon conseil : Écoutez votre corps, et votre médecin. Lui, au moins, il a suivi des études et n’est pas un ignare comme moi ! (Je plaisante, hein ! Enfin… presque).

  • Petit plus : J’ai vérifié sur mon dernier bilan sanguin (fait en juin 2024, donc c’est frais), mon taux d’iode est nickel. Coincidence ? Je ne crois pas. (ou si, peut-être… mais chut !)

Quand faut-il saler leau des pâtes ?

Mercredi dernier, faisait chaud, j’ai voulu des pâtes. Carbonara. J’ai sorti la casserole, remplie d’eau. Pâtes Barilla n°5. Sur le feu, gaz à fond. J’ai repensé à ma grand-mère. Elle, elle salait l’eau dès le début. Avant même d’allumer le gaz. Moi, je mets le sel une fois que ça bout fort. Des grosses bulles. Genre volcan. J’avais lu quelque part qu’il fallait 10g de sel par litre. N’importe quoi. Je mets au pif. Une bonne poignée. Là, j’avais trop soif. J’ai bu direct au robinet. L’eau bouillait enfin. Pâtes dedans ! 11 minutes. Sur l’emballage. C’est long 11 minutes.

  • Sel quand l’eau bout fort. Vraiment fort.
  • Beaucoup de sel. Goûtez l’eau, elle doit être comme l’eau de mer.
  • Pâtes Barilla n°5. Mes préférées pour la carbonara.

Ma grand-mère, elle rajoutait aussi de l’huile dans l’eau. Parait que c’est pour pas que les pâtes collent. J’ai jamais fait. Ça colle pas. Enfin, rarement. Sauf si on oublie sur le feu… Une fois, j’ai fait ça. Pâtes cramées. Obligé de tout jeter. La casserole aussi, d’ailleurs.

Comment éviter que les pâtes collent après cuisson?

Pfff, les pâtes qui collent… Catastrophe! Surtout quand j’ai invité Antoine, ce soir-là, le 14 juillet. C’était des linguines aux palourdes, recette de ma grand-mère. J’avais tout prévu: le vin blanc de Sancerre, la musique… mais les pâtes, un drame. Une vraie bouillie.

J’ai paniqué, la sueur froide. L’huile d’olive, j’y ai pensé, mais trop tard. Déjà égouttées, et collées comme du béton. Finalement, j’ai jeté une louche d’eau de cuisson, ça a un peu décollé.

La prochaine fois, je vais essayer ça :

  • Rinçage direct après cuisson : on verra bien, hein. Le réchauffage, ça me gave. Déjà qu’avec les palourdes, c’est chiant à nettoyer.
  • Huile d’olive, avant l’égouttage, directement dans la casserole. J’avais oublié ça, putain.

Antoine, il a rien dit. Trop gentil, ou bien il a trouvé ça… normal. J’ai été tellement mal à l’aise. J’espère qu’il n’a pas eu de diarrhée après!

Mon truc, c’est aussi : bien saler l’eau de cuisson. On se dit que c’est pour le goût, mais ça empêche aussi de coller, c’est dingue! Et surtout, ne pas trop en mettre dans la casserole.

En fait, c’est surtout le stress qui m’a fait rater la recette, je pense. Bref, le 14 juillet, j’ai failli passer pour une mauvaise cuisinière. Plus jamais ça!

#Pates #Santé #Sel