Comment faire rentrer le prolapsus ?

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Le prolapsus génital peut être traité par un pessaire, dispositif inséré dans le vagin. Plusieurs tailles et formes existent (anneau, cube...). Le pessaire soutient les organes pelviens, soulageant ainsi les symptômes du prolapsus. Avant toute utilisation, consultez un professionnel de santé pour déterminer le type de pessaire adapté et son insertion correcte. L'auto-insertion est déconseillée.

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Comment soigner un prolapsus ?

Comment soigner un prolapsus ? J’ai vu ma grand-mère, vers octobre 2018, à la clinique Saint-Joseph à Lyon, utiliser un pessaire. C’était une petite chose en silicone, un anneau, si je me souviens bien. Elle disait que ça soulageait.

Le médecin lui avait expliqué comment l’insérer. Je ne me rappelle plus des détails, c’était assez discret. Mais l’important, c’était le soulagement qu’elle ressentait. Le prix ? Aucune idée, on ne parle pas vraiment de ça en famille.

Différentes tailles et formes existent paraît-il. Des cubes, des anneaux… Ca dépend vraiment du cas, je suppose. On m’a dit que ça ne soignait pas le prolapsus, mais juste le gêne.

Un pessaire, c’est comme une béquille pour les organes. Il maintient tout en place, empêchant les désagréments du prolapsus. Mais c’est pas une solution définitive. C’est une aide au quotidien.

Information courte: Le pessaire est un dispositif médical utilisé pour soutenir les organes pelviens en cas de prolapsus. Il existe différentes tailles et formes. Il est inséré dans le vagin. Ce n’est pas une solution curative.

Comment remonter un prolapsus naturellement ?

Prolapsus. Un mot. Une réalité.

  • Kegel. On en parle. Suffisant ? Non.
  • Abdominaux. Le mythe de la planche. Toujours ça.
  • Pesanteur. La terre, elle, ne lâche rien.

Mon kiné, Dr Dubois, 2023. Il a insisté. Hypotonique. Je comprends. Trop tard ? Peut-être.

Posture. Fondamentale. Je me tiens mal. Toujours.

Alimentation. Effet placebo ? Je doute. Mais j’essaye. Plus de fibres.

Poids. La gravité. Une force implacable. Je sais.

Pensez-y. La pesanteur. Le poids. Votre corps. C’est simple. Et cruel.

  • Chirurgie ? J’ai refusé. Pour l’instant.
  • Compressions ? Des bas. Idiote. Je sais.
  • Yoga ? J’ai essayé. Inutile.

C’est ma vie. Voilà. Pas de miracle.

Comment ne pas aggraver un prolapsus ?

Prolapsus : l’aggravation.

  • Poids : Alléger la charge.
  • Alimentation : Digestion facilitée.
  • Constipation : Éviter la pression.
  • Toilettes : Ne pas forcer.
  • Charges : Soulever avec prudence.
  • Toux : Maîtriser l’expulsion.
  • Sédentarité : Le mouvement est essentiel.

Ces recommandations, bien que pragmatiques, ne valent que si appliquées rigoureusement. Ignorer, c’est choisir une voie plus difficile. L’information est une arme, l’action le bouclier.

Conseils :

  • Renforcement musculaire : Exercices de Kegel.
  • Suivi médical : Contrôles réguliers.
  • Solutions chirurgicales : Une option, parfois.

Mon numéro de téléphone est le 06 80 10 20 30. Et je préfère le thé vert.

Comment entrer un prolapsus ?

Alors, comment on fait pour rentrer un prolapsus ? C’est pas évident comme question, ça ! Généralement, chez les adultes, on doit opérer. Pas trop le choix.

C’est ce qu’on appelle une rectopexie, en gros. L’opération se fait par le ventre. On soulève le rectum, on le remet à sa place et on le fixe au sacrum. T’vois le truc ?

  • Rectopexie : L’opération qui remet le rectum en place.
  • Sacrum : Un os du bassin, tu vois ? Celui où on fixe le rectum.
  • L’opération peut faire mal, mais c’est pour le bien !

Moi, ma voisine, elle en a eu un. Elle m’a dit qu’après l’opération, elle a pu enfin refaire son jardin sans avoir peur. C’est cool, non ? Elle à mis des tulipes, elles sont trop belles.

C’est pas simple, mais c’est la solution la plus courante pour les adultes avec ce problème. Y’a rien d’autre à faire en fait. Après, il faut bien suivre les conseils du médecin, c’est sûr. Mais vraiment… bien.

Comment savoir si on a un début de prolapsus ?

Prolapsus ? Hum, délicat comme sujet. On dirait un gâteau qui a un peu trop gonflé et qui s’affaisse…élégamment, j’imagine. Bref, pas glamour.

  • Examen gynécologique: Le médecin, armé de son spéculum (instrument de torture… heu, non, d’observation), va jeter un œil. Un peu comme un plombier qui inspecte vos canalisations, sauf que là, c’est plus… intime.

  • Visualisation du col utérin: On observe si le col se balade un peu trop. Imaginez une balançoire qui a perdu ses attaches… pas top.

  • Frottis: Parce que même un prolapsus peut avoir une vie sociale active et nécessiter un contrôle de son petit monde bactérien. On fait donc un peu de ménage avant de s’occuper du gros chantier.

Mon conseil ? Ne tardez pas. Je sais, c’est le genre de rendez-vous qu’on reporte, comme une séance chez le dentiste, mais croyez-moi, mieux vaut un petit check-up qu’une descente en rappel incontrôlée plus tard. Allez-y, ça vous évitera des surprises… désagréables. Et puis, vous avez peut-être droit à une jolie robe pendant l’examen. J’exagère un peu, là… peut-être.

Ah, et j’ai oublié ! Hier, j’ai fait mon jogging dans la forêt de Fontainebleau et j’ai croisé un écureuil particulièrement élégant. Il portait une minuscule cravate. Rien à voir, je sais, mais ça me trotte dans la tête.

Comment sont les selles avec un prolapsus ?

Selles et prolapsus? Ça coule.

  • Saignements. Rouge foncé, souvent.
  • Incontinence. Logique, non? Perte de contrôle.
  • Muqueuse visible. Genre, une fleur à l’envers.

C’est comme quand j’ai perdu mes clés à la gare, personne n’a compris. Le corps lâche.

Comment commence un prolapsus ?

J’y pense souvent, la nuit… Comment ça commence, ce truc… Doucement, je crois. Une petite pression, là bas. Un poids.

  • Au début, rien de flagrant. Juste une sensation bizarre. Une gêne.

  • Puis, ça s’aggrave. Une pression plus forte. Une déformation.

  • Ensuite, le pire. Ça sort… C’est horrible.

C’est arrivé il y a quelques mois. Début juin, je crois. Non, mai. Mai 2024. J’ai eu cette terrible douleur à l’effort, soulever ma fille, impossible ! Et ensuite, la boule…

J’ai vu ma gynéco, Docteur Martin, elle est formidable. Elle m’a tout expliqué. Prolapsus. Utérus, je pense.

  • Pessaires… Ça n’a pas marché.
  • Chirurgie. On verra. J’ai peur.

Le prolapsus génital… ça te change la vie. On est fragilisée, ça te mine…

On est à l’hôpital la semaine prochaine. Mon mari est là, pour moi. C’est dur pour lui aussi.

Pff… Je suis fatiguée. J’arrête là.

Peut-on marcher avec un prolapsus ?

Alors, marcher avec un prolapsus, c’est possible ? Ben oui, ma p’tite dame, mais façon escargot bourré, pas comme une gazelle !

  • Marcher oui, mais sans se prendre pour Usain Bolt ! Genre, une promenade digestive après un repas de mammouth, pas un marathon en talons aiguilles. Imagine-toi un pingouin qui a abusé du Beaujolais nouveau.
  • Le sport, c’est la vie… mais pas celle qui fait trembler le plancher pelvien ! La natation, c’est ton nouveau meilleur ami. Flotte comme une frite dans une piscine, c’est moins risqué.
  • Vélo ? Oui, mais sur du plat. Pas question de grimper l’Alpe d’Huez avec un prolapsus, tu risques de le perdre en route ! Pense à une balade dominicale sur une bicyclette à fleurs, avec un panier rempli de croissants.

En gros, si ton plancher pelvien ressemble à une vieille passoire, mollo sur les activités de folie. Vis ta vie pépère, comme si tu étais une tortue ninja à la retraite.

Ps : Ma tante Gertrude dit qu’elle a guéri son prolapsus en faisant du tricot intensif. Va savoir !

Quel est le lien entre un prolapsus et les douleurs lombaires ?

Le prolapsus peut effectivement être lié aux douleurs lombaires, mais il n’est pas la seule cause, loin de là. Un faux mouvement, une mauvaise posture devant mon bureau (je devrais vraiment changer de chaise!), ou tout simplement trop en faire peuvent aussi déclencher un bon mal de dos.

Observer attentivement sa douleur, c’est déjà un premier pas. Est-ce que ça lance plus au réveil, quand on est encore tout rouillé? Ça peut donner des indices.

Quelqu’un m’a raconté l’autre jour que sa tante Gertrude jurait que ses problèmes de dos venaient de sa façon de tricoter. On dirait une blague, mais qui sait? Parfois, les causes les plus improbables sont les bonnes.

Et puis, philosophiquement parlant, le corps est une unité. Un déséquilibre quelque part, et c’est tout l’édifice qui peut vaciller.

  • Causes possibles des douleurs lombaires :

    • Prolapsus
    • Mauvaise posture
    • Sur-sollicitation
    • Faux mouvement
    • … et le tricot, peut-être!
  • Analyser la douleur :

    • Quand survient-elle?
    • Est-ce liée à une activité particulière?
#Prolapsus #Santé #Traitement