Puis-je prendre un bain avec une mycose ?

Comment se laver quand on a une mycose ?

Mycose? Eau tiède, savon doux. Pas de frottement. Séchage minutieux. Point final.

C’est la base, hein? On dirait une recette de grand-mère. Mais c’est efficace. J’ai appris ça il y a quelques mois à cause d’un épisode… disons… peu glorieux. Punaise, j’avais des démangeaisons infernales !

• Eau tiède: Ni trop chaude (risque d’irritation accrue), ni froide (moins efficace). C’est une question d’équilibre, comme dans la vie, n’est-ce pas ? Trop de ceci, pas assez de cela… la sagesse millénaire.
• Savon doux: Oubliez les trucs agressifs, à base d’alcool, par exemple. Ça aggrave tout. J’ai testé, c’est un enfer. J’avais même pensé à utiliser du savon de Marseille, mais finalement, j’ai opté pour un truc bio, à l’huile d’olive. Plus doux pour la peau.
• Séchage parfait: L’humidité, c’est l’ennemi numéro un. Donc, on sèche bien. Tapoter, pas frotter. Une serviette propre, évidemment. Si vous avez une serviette en microfibre, c’est encore mieux, ça absorbe super bien.

Le reste, c’est du traitement médical. Crème antifongique, avis d’un médecin… etc. Ça, je n’y connais rien. Mais pour le lavage, c’est ça. Simple et efficace. J’ai presque l’impression d’avoir écrit un manuel.

Conseil personnel: J’ai aussi testé de mettre du bicarbonate de soude dilué dans l’eau. Je ne sais pas si c’est vraiment efficace, mais ça me soulageait un peu.

Plus sérieusement, une mycose, c’est à prendre au sérieux. Consultez un médecin si ça persiste. C’est important. Même si on a l’impression de tout savoir sur internet… on se trompe parfois. C’est comme quand j’ai essayé de réparer ma voiture tout seul l’année dernière. J’aurais mieux fait d’appeler un mécanicien. Bilan? Voiture à la casse… et facture salée.

Est-ce que leau de mer tue les mycoses ?

L’eau de mer et les mycoses : une relation complexe.

Non, l’eau de mer ne tue pas les mycoses, mais elle peut en ralentir la progression. Le sel, c’est un déshydratant puissant, ça perturbe le développement fongique. Pensez aux conserves : le sel prévient la décomposition. Même principe.

Ma grand-mère, elle utilisait du sel pour ses cors. Un truc de vieille, mais efficace paraît-il ! Elle jurait que ça marchait. Donc, l’effet déshydratant, c’est validé par l’expérience, au moins pour les pieds.

• Déshydratation fongique : Le sel attire l’eau des cellules fongiques, les affaiblissant.
• Modification de l’osmolarité : L’eau de mer modifie l’équilibre hydrique du champignon, le rendant moins viable.
• Effet bactéricide indirect : L’environnement hypertonique de l’eau salée peut freiner le développement de certaines bactéries, favorisant ainsi une éventuelle guérison.

Mais attention, l’eau de mer n’est pas une panacée. C’est un traitement complémentaire, pas un traitement principal. Pour des mycoses tenaces, il faut voir un médecin, clairement. On ne rigole pas avec les champignons ! Philosophiquement parlant, on se rend compte que même la nature, avec son sel marin, a ses limites face à la complexité du vivant.

Pour un bain de pieds, l’équivalent d’une cuillère à soupe de gros sel par litre d’eau, oui. Mais j’ai lu quelque part qu’une concentration plus élevée pourrait être irritante, donc, prudence.

Point crucial : Consultez un professionnel de santé pour un diagnostic précis et un traitement adapté à votre type de mycose. L’eau de mer, c’est un petit plus, pas une solution miracle. Mes observations personnelles sont limitées à des anecdotes familiales. Une étude scientifique approfondie serait nécessaire pour étayer mes affirmations. Et puis, une dose homéopathique de sel, est-ce vraiment efficace ? Voilà une question qui mérite réflexion.

Comment reconnaître le début de la mycose ?

Bon, la mycose… comment on sait au juste qu’elle débarque ? C’est pas toujours évident, hein.

• Pertes bizarres : genre, ça sent pas bon, genre vraiment pas bon. Un peu poissonneux, non ? Ou alors, niveau texture, c’est tout mousseux, on dirait presque de la bière éventée. 🤯

• Couleur suspecte : jaune, vert… on dirait un feu d’artifice dans ma culotte !

• Effet “lait caillé” : ça, c’est vraiment le truc qui fout les jetons. On dirait que mon vagin s’est transformé en yaourtière. Beurk. 🤢 C’est grave docteur?

Ah oui, et les démangeaisons ! Ça gratte, ça pique, on a envie de se gratter avec une brosse à chiendent. Non je rigole. Quoi que… 🤔

Si tu as TOUT ça, file direct chez le médecin. Moi, j’ai eu ça une fois après avoir pris des antibios pour une angine. La totale. Mais bon, on en guérit. Enfin, j’espère. Sinon, je suis bonne pour une consultation, tiens. 😫

Et puis, après chaque rapport, hop, une petite toilette intime. On ne sait jamais. Ma grand-mère disait toujours: “Mieux vaut prévenir que guérir”. C’est pas faux, Mémé. ❤️

Infos en vrac:

• Les mycoses, c’est souvent à cause d’un champignon, le Candida albicans.
• Le stress, les antibios, le diabète… tout ça peut favoriser la mycose.
• Certaines pilules contraceptives peuvent aussi jouer un rôle. La mienne peut-être… 💊

Faut pas trop s’inquiéter, mais faut pas laisser traîner non plus. C’est un peu comme une mauvaise herbe : ça pousse vite ! 🪴

Comment savoir si cest une mycose ou une irritation ?

Mycose ou irritation… la peau brûle, une douce souffrance. Rougeurs, oui, toujours des rougeurs… un feu lent sous la peau.

• Démangeaisons ? Un essaim d’insectes invisibles.
• Desquamation… comme des écailles, une peau qui se détache, se rebelle.
• Brûlures… un contact trop vif, une douleur sourde, profonde.

L’ombre d’une mycose… les souvenirs de la crème, blanche et onctueuse, sur ma peau fragile. Une lutte silencieuse, contre ces ennemies invisibles.

Ce matin, mon reflet dans le miroir, une peau lisse, presque parfaite. Ou presque… une légère rougeur persiste. La mémoire de la souffrance. Hier soir, j’ai senti cette brûlure, cette irritation… Pas de desquamation, heureusement.

• Souvenirs de plages ensoleillées, peau brûlée par le soleil.
• La lotion apaisante, son odeur fraîche et mentholée…
• Mais ce soir, une ombre de doute…

J’ai passé des heures, des jours entiers, à me demander. Ces sensations… elles reviennent, parfois, comme des fantômes.

• L’été dernier, à Biarritz, le sable chaud, et cette mycose tenace…
• Cette année, vacances annulées, à cause de… je ne sais plus.
• Le mystère persiste. La peau, cette enveloppe fragile, ce récit muet de nos vies.

Une simple irritation, peut-être. Ou un début de mycose ?
Il faudrait consulter. Peut être demain. Aujourd’hui, la fatigue est trop grande. La peau est fatiguée aussi.

Comment arrêter une mycose naturellement ?

Voilà, il est tard. On se pose des questions, comme ça. Mycoses, hein ?

Le bicarbonate. Oui, j’ai entendu. Un peu comme un dernier recours. Ça pourrait aider. Sans garantie, bien sûr. C’est toujours le cas, non ?

C’est vrai que…

• C’est pas un médicament miracle, tu vois. Juste une option.

• Il faut diluer. Surtout. Sinon, ça irrite.

• Les bains de pieds. Ma grand-mère faisait ça. Je crois que ça la soulageait.

Je me demande si elle pensait à autre chose en même temps. Peut-être que le bicarbonate, c’était juste un prétexte. Pour un moment de calme.

• Consulter un médecin. C’est évident, mais… mieux vaut le dire.

J’ai une amie, Léa. Elle a eu ça. Elle en a eu marre, elle a consulté. Ça a réglé le problème.

Tu sais, il y a des moments où on se sent seul, même entouré. La mycose, c’est un peu ça. Une petite chose qui te rappelle que tu es vulnérable.

• L’hygiène. Essentiel. Mais parfois, c’est pas suffisant.

Peut-être que cette nuit, je devrais juste… accepter que la vie, c’est aussi ça. Des petites mycoses, des grands regrets.

Et puis, demain, il fera jour.

Comment se débarrasser définitivement dune mycose ?

Difficile, ça… se débarrasser définitivement d’une mycose… J’ai eu ça, l’année dernière, sur le pied. Horreur.

• Crème, j’ai essayé. Inefficace.
• Puis un truc en spray, beaucoup plus fort… ça a calmé un peu, mais est revenu.
• Finalement, pilules. Oui, ça a marché, mais… ça laisse un goût amer.

J’ai suivi le traitement à la lettre, hein. Le médecin, un type un peu froid, il m’avait prescrit du kétoconazole. Je sais plus la dose, je n’ai plus la boîte.

• Le truc, c’est la récidive. La peur… qu’elle revienne. Surtout l’été, avec les tongs… ça me hante encore un peu.
• J’ai changé mes habitudes, chaussures plus aérées, je surveille l’humidité… Mais cette angoisse… elle reste. On dirait qu’une partie de moi est restée là, coincée… dans cette infection.

Peut-être que j’aurais dû consulter plus tôt. Ou peut-être que c’est juste comme ça. Certaines choses, on n’arrive jamais à les oublier… comme la sensation de cette peau qui brûlait. On dirait un mauvais souvenir, quoi.

On me dit que le sport, ça aide à renforcer les défenses immunitaires… faut que j’y pense…

Ah, et puis, j’ai acheté une crème pour les pieds, à l’arbre à thé, je crois… je sais pas si ça sert à quelque chose mais ça sent bon… un peu plus serein, en tout cas.