Quelle est la différence entre le colin et le merlu ?

Quelle est la différence entre le merlu et le cabillaud ?

Alors, merlu et cabillaud… Différence? Le menton! Le cabillaud, lui, a un barbillon. Le merlu, non. C’est bête comme chou, mais c’est ça. J’étais à Concarneau en juillet, au marché, odeur de poisson incroyable, soleil sur la peau… J’ai vu des tas de merlus, bien blancs, brillants, sur la glace. Gros comme ça. J’ai même pris une photo, je crois. Je me suis dit : “tiens, pas de barbillon!” Donc voilà, la différence. Point.

Le goût aussi, bien sûr. Plus ferme, le merlu, je trouve. Moins… je sais pas… “mou” que le cabillaud.

On m’a toujours dit que le cabillaud était plus… gras? Plus riche? En tout cas, c’est ce que ma grand-mère disait. Elle cuisinait divinement bien, d’ailleurs. Ses recettes de cabillaud au four, un délice!

J’ai un souvenir précis, été 2023, chez elle à Brest, l’odeur du beurre, du thym, le cabillaud fondant en bouche… Quel bonheur.

Mais bon, le merlu, c’est excellent aussi. J’en ai mangé en Bretagne, plein. Grilled, en sauce. Pas toujours facile à trouver de bonne qualité, par contre. C’est moins courant que le cabillaud, c’est sûr.

Liste des points clés:

• Absence de barbillon sous le menton pour le merlu.
• Texture plus ferme pour le merlu.
• Goût différent, plus “riche” pour le cabillaud (avis personnel).
• Disponibilité différente, le cabillaud étant plus courant.

Voilà. J’espère que c’est assez clair. Ouais, bref. Fin.

Est-ce que le merlu est un bon poisson ?

C’est tard, hein. Alors, le merlu…

C’est un poisson blanc. Simple, sans chichis. Ma grand-mère en faisait souvent, tu vois.

• Protéines: Vingt-deux grammes pour cent grammes. C’est pas mal, si tu cherches ça.
• Phosphore: Pour les os, les dents. Important, apparemment.
• Sélénium: Bon pour le système immunitaire. Cinquante microgrammes, toujours pour cent grammes.

C’est un poisson maigre. Pas de quoi s’emballer, mais ça fait le job. Tu vois, il me rappelle les dimanches midi chez mes grands-parents, une vie simple et sans complication. J’aimais bien, malgré tout.

Quelle est la différence entre merlu et colin ?

Poissonnerie. Marché Victor Hugo, Toulouse. Samedi matin. Brouhaha infernal.

Froid. Doigts engourdis. Sacs plastiques qui crissent.

Je voulais du merlu pour le court-bouillon.

« Colin ? » me demande le poissonnier.

Euh… J’hésite. Colin, merlu… même combat ?

Il rigole. « Ici, c’est pareil ma p’tite dame. »

Sauf le colin d’Alaska, précise-t-il en me montrant des filets blancs. Beurk, sans intérêt.

Je prends mon merlu, donc. Deux beaux morceaux.

• Merlu : Méditerranée, Atlantique.
• Colin : souvent synonyme de merlu en France (confusion).
• Colinot / Merluchon : petit merlu.
• Colin d’Alaska : espèce différente. Pacifique Nord.
• Merlan : autre nom du merlu en Méditerranée.

Ah, et le lieu noir, aucun rapport. Complètement différent. Lui, je le prends en darnes pour le four. Avec des pommes de terre, un filet d’huile d’olive. Miam. Mais ça, c’est une autre histoire. File d’attente qui s’impatiente. Je paie. Direction les légumes. Odeur de fenouil…

Quel poisson est le colin ?

Colin, c’est un peu le Gérard Depardieu des poissons : plusieurs identités, on ne sait jamais vraiment sur quel pied danser. Officiellement, c’est Monsieur Colin d’Alaska, mais bon, entre nous, qui dit vraiment tout ça ?

• Colin d’Alaska: Le vrai, l’unique (enfin, en théorie). Genre star, mais se cache sous un pseudonyme.
• Lieu noir : Le cousin germain, toujours fourré dans les mêmes soirées. On les confond souvent, ambiance awkward.
• Lieu jaune : Plus discret, moins bling-bling, mais se glisse insidieusement dans les filets.
• Merlu : L’imposteur ! Rien à voir, mais profite de l’embrouille générale. Un peu le Bernard-Henri Lévy du banc de poissons.

Bref, commander du colin, c’est jouer à la roulette russe ichtyologique. Vous pouvez tomber sur le bon, mais aussi sur un cousin éloigné un peu louche. Mon conseil ? Devenez incollable sur les noms latins. Theragra chalcogramma, ça en jette ! Et au moins, vous savez ce que vous mangez. À moins que le poissonnier ne soit aussi un imposteur… Méfiance, méfiance. Moi, perso, je me suis mise aux carottes. Moins de risques d’arnaque.