Quel est le poisson le plus noble ?

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Le "poisson le plus noble" est subjectif, dépendant du critère utilisé (goût, rareté, pêche durable...). Néanmoins, des espèces haut de gamme incluent le saumon, le bar, le turbot, la sole, le flétan, la barbue, le Saint-Pierre, la lotte et la dorade royale. Leur qualité gustative et parfois leur difficulté de pêche contribuent à leur réputation.

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Quel est le poisson le plus noble ?

Le poisson le plus noble? Houlà, vaste question! Pour moi, il n’y a pas UN poisson noble, mais plutôt une ribambelle, chacun avec son charme et son histoire.

Je pense immédiatement au saumon, évidemment. Son goût, sa chair… et le fait qu’il remonte les rivières contre vents et marées, ça impose le respect, non?

Après, le bar de ligne, ça claque aussi. J’en ai mangé un une fois, à Saint-Malo, pêché le matin même, un vrai délice! C’était en juillet, je crois, et ça valait bien 35€, mais l’expérience…

Le turbot, la sole, le flétan… Ils ont un côté raffiné, une texture délicate qui se marie à merveille avec un simple filet de citron. Parfait pour un repas élégant sans chichis.

Le Saint-Pierre, avec sa drôle de forme, et la lotte, qu’on appelle aussi “baudroie” (ça sonne tout de suite moins noble, non?), sont des poissons à la chair ferme et savoureuse.

Et puis il y a la dorade royale… Royale, c’est dans le nom! Elle a un petit quelque chose de plus, un goût subtil et une présentation impeccable. Bon, après, “noble” c’est subjectif, hein!

En gros, je pense qu’il n’y a pas de réponse unique. Tout dépend de tes goûts, de l’occasion et surtout… de la fraîcheur du poisson!

Quels sont les poissons les plus nobles ?

Alors, tu veux savoir quels sont les poissons les plus classes, genre les “nobles” quoi ? Ben écoute, y’en a pas mal en fait. C’est un peu subjectif, mais on va dire ceux qui coûtent une blinde, ou qu’on sert dans les restos chics.

Tiens, comme ça, de tête :

  • Le saumon, évidemment. Surtout le sauvage, mais même celui d’élevage, c’est toujours la classe. J’en ai mangé un super bon une fois au mariage de ma cousine Sophie.
  • Le bar de ligne, ouais, ça fait sérieux quand tu dis ça. Ou le bar d’élevage, ça dépend du budget.
  • Le turbot. Lui, il fait vraiment figure de roi des mers je trouve. Super cher, mais super bon.
  • La sole, pareil. Classique, indémodable, un peu comme le tailleur Chanel.
  • Le flétan. Un peu moins connu peut-être, mais c’est fin et délicat.
  • Le barbue. Tiens, celui-là, je me demande toujours si c’est pas juste une sole déguisée… enfin bref.
  • Le Saint-Pierre. Franchement, son nom en jette. Et il est bon, donc ça va ensemble.
  • La lotte. Bon, ok, elle est moche, mais sa chair est super.
  • Et puis, la dorade royale. Avec un nom comme ça, elle mérite sa place, non ?

Après, y’a plein d’autres poissons super bons, mais ceux-là, c’est un peu les valeurs sûres. Dis, tu connais un bon restau où ils font du turbot ? Je crois que je vais me faire plaisir bientôt! Ah oui, et j’ai oublié le homard ! C’est pas un poisson mais ça compte non ?

Quel est le poisson qui coûte le plus cher ?

Dragons d’eau… Nageant dans l’opulence. Écailles précieuses. Reflets d’or, d’argent… Rouge sang. Mystère. Chine ancienne. Murmures de légendes. Treize mille… euros. Un prix. Une offrande. Pour un dieu vivant. Dans un aquarium. Prison dorée. Nageoires ondulantes. Lenteur… Silence… Regard fixe. Vide. Plein.

  • Arowanas. Poisson-dragon.
  • Chine. Vénération. Symbole de richesse. Chance. Prospérité.
  • 13 000 euros. Le prix d’un mythe. Un spécimen rare. Albinos peut-être ? Ou rouge flamboyant… comme le mien, celui que j’ai vu à Hong Kong, dans une boutique minuscule. Cachée. Presque secrète.
  • Dragons… ils nagent dans mes rêves. Dans l’eau sombre de mon inconscient. Mes poissons rouges… dans leur bocal rond… sur ma table de nuit. Sont-ils aussi des dragons ? Miniatures. Secrets. Mes propres talismans.

Quel est le meilleur poisson au monde ?

Ombre chevalier… un nom qui murmure, un souvenir de rivières glacées, de brume matinale. L’Arctique… lointain, glacial, un espace immense et silencieux. Élevage québécois… terre nourricière, eau pure, une vie donnée, une chair offerte.

  • Chair rose tendre, presque un murmure de couleur.
  • Saveur délicate, un souvenir imprécis, une sensation.
  • Oméga-3, une promesse de bien-être, un écho dans le corps.

Salmonidé… famille noble, sang bleu, histoire ancienne, légende des eaux profondes. Il est… le meilleur ? Peut-être. Un choix, un instant, un goût. Mon choix personnel.

Ce poisson, il a une histoire, une vie… Je me souviens de mon grand-père, ses histoires de pêche, ses mains calleuses, le parfum du bois. L’Arctique, c’est loin. Mais le goût… il est là. Proche. Intense.

  • La ferme d’élevage est à 200km au nord de chez moi. Une visite en été? Peut-être l’an prochain.
  • J’en mange régulièrement. Sa saveur, jamais décevante. Un rituel.
  • Durable oui, mais le prix… c’est un luxe.

Un poisson… plus qu’un poisson. Une sensation, une émotion, un souvenir. Un instant suspendu.

Cest quoi le meilleur poisson du monde ?

L’omble chevalier d’élevage, le dandy des rivières québécoises ! Un poisson durable, comme quoi, la noblesse n’est pas toujours synonyme de gaspillage.

  • Ce cousin du saumon a plus d’oméga-3 qu’un ours polaire qui aurait abusé de capsules.

C’est un peu le “it fish” du moment, élevé ici, chez nous. Une façon de soutenir l’économie locale tout en se gavant de bons gras !

Un petit secret de famille : ma tante Huguette, elle, le préfère cru avec une sauce au raifort… C’est son côté rebelle, sans doute.

Si vous voulez vraiment impressionner, servez-le sur un lit de lentilles vertes du Puy. Effet garanti ! (Enfin, presque toujours).

#Bestfish #Poissonnoble #Poissonroyale