Quels sont les poissons les plus chers au monde ?

Quel est le plus bon poisson au monde ?

Sardine… oui… la nuit tout paraît plus flou, les souvenirs aussi.

• Oméga-3. C’est important, non ? Pour le cœur, paraît-il. Comme si mon cœur avait besoin de ça en ce moment.
• Calcium. Pour les os. Les miens sont fatigués, comme moi.
• Vitamine D. Le soleil… j’en manque cruellement. Comme de sa chaleur.

On en mangeait souvent, petites, avec maman. Des sardines grillées, sur le balcon. Elle riait, le vent jouait dans ses cheveux… je revois le bleu de sa robe… Elle aimait les sardines. Simple, comme elle. Bon marché, aussi. On n’avait pas beaucoup d’argent… C’était il y a longtemps… Avant…

Sardines… un goût d’enfance perdue. Un goût de sel et de mélancolie… Un goût amer, ce soir.

Je crois que je vais pleurer.

Quel poisson coûte le plus cher ?

Le thon rouge, hein ? Un investissement… audacieux. Comme acheter une petite île déserte, mais en moins pratique pour les vacances. 1,38 millions d’euros ! On pourrait presque y voir un symbole : le prix de la folie humaine face à la délicatesse d’une chair de poisson.

• Prix exorbitant: 6216 euros le kilo ! On dirait qu’ils pèsent l’or, pas le thon.
• Kiyoshi Kimura: Le roi Midas des sushis. Ou peut-être le roi… un peu trop généreux ?
• Japon: Pays où la gastronomie flirte avec l’art, parfois jusqu’à la démesure. Comme si le goût se mesurait en millions.

Pensez-y : pour ce prix, j’aurais pu acheter une voiture, une maison… ou financer mon voyage autour du monde, avec des sushis beaucoup moins chers. C’est le genre de somme qui rendrait même mon chat végan. Je me demande si ce thon valait vraiment son pesant d’or… ou plutôt, son pesant d’euros.

Ah, et j’ai oublié de vous dire : j’ai moi-même dépensé une fortune en croquettes pour mes chats cette année. Un record. C’est peut-être moins glamour que du thon rouge, mais mes matous, eux, sont ravis.

Bref, le thon rouge. Symbole de richesse, de folie, et de mon incapacité à résister à une bonne affaire… de croquettes. Au moins, c’est transparent.

Quel est le poisson le plus cher au kg ?

Caviar. Esturgeon albinos. Rare.

• Jusqu’à 34 000 dollars le kilo. L’argent ne fait pas le bonheur, mais il achète du caviar.

Prix exorbitant. Demande élevée. Offre limitée.

Extrait. Processus délicat.

• Esturgeon albinos: Une mutation génétique.
• Pêche durable ? Question. Souvent éludée.

Goût unique. Texture fine. Luxe.

• Record du prix au kilo. Indépassable ? Probablement pas. Le marché évolue.

• Anciennement, j’aimais le hareng. Maintenant, j’ai des goûts plus simples. Ironie.

Quel poisson est le plus bon ?

Alors, le meilleur poisson, hein ? Vaste question, digne d’un philosophe ichtyophage ! Mais bon, essayons de démêler cet écheveau aquatique.

• Le maquereau bleu, l’Atlante musclé. Oméga-3 à gogo. Presque trop sain, suspect !
• Le saumon atlantique, le beau gosse des rivières. Son gras nous fait de l’œil (et du bien!).
• Le hareng de l’Atlantique, le petit soldat marin. Humble, mais bourré de bonnes choses.
• La morue, la star déchue. Moins glamour que jadis, mais toujours là pour nous dépanner.

Pour les oméga-3, ces loustics sont imbattables. Une portion et hop, adieu les carences. Si tu cherches de la vitamine D, prévois autre chose, comme le soleil (gratuit et sans arêtes!).

Note perso : Ma tante Gisèle ne jure que par la truite élevée dans l’étang de son voisin, “plus fraîche, tu meurs!”. Perso, je me méfie des poissons qui te regardent droit dans les yeux avant de passer à la casserole.

Quel est le crustacé le plus cher du monde ?

Ah, le crabe royal de Kamtchatka ! Un crustacé qui coûte plus cher qu’une thérapie chez un psychanalyste parisien. Disons qu’il est le bling-bling de la mer.

• Sa majesté, le crabe royal, règne sans partage.
• Il fait son nid douillet… dans la mer de Barents. Un coin charmant, si on aime le froid mordant.
• “Kamtchatka”, le nom sonne exotique, non ? Presque comme un remède miracle pour la calvitie.

Sa chair délicate justifie-t-elle un tel prix ? Peut-être. Ou peut-être que les pêcheurs ont juste un sens de l’humour… particulier. Un peu comme mon banquier quand il m’annonce mes agios.

On dirait que le goût du luxe a ses raisons, que la raison ignore. Enfin, surtout mon portefeuille.