Quand mettre le gros sel sur la viande ?

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Salez votre viande rouge en fin de cuisson pour une texture juteuse et savoureuse. Le sel absorbe l'humidité, il est donc préférable de l'ajouter une fois la viande grillée. Pour les autres viandes, salez juste avant la cuisson.

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Quand utiliser le gros sel sur la viande ?

Alors, tu vois, moi, le gros sel sur la viande, c’est un truc que j’ai appris sur le tas. Genre, des barbecues ratés à gogo !

Au début, je salais avant, comme tout le monde. Resultat? Viande sèche, sans goût, une catastrophe. Un jour, chez mon oncle à Saint-Malo (14 juillet, mémorable!), il m’a dit: “Le sel, c’est après la cuisson, petit!”.

Et là, révélation! La viande garde son jus, elle est tendre… C’est vraiment bluffant. Faut dire que mon oncle, il est un peu boucher sur les bords, donc il s’y connait.

Le sel, en fait, il attire l’eau. Si tu sales avant, il pompe le jus de la viande, logique. Saler après, ça donne juste un petit “crunch” sympa et ça rehausse le goût.

Donc, oui, pour moi, c’est clair : gros sel après la cuisson. Testé et approuvé, même sur un simple steak à 12€ acheté chez le boucher du coin! Crois-moi, ça change tout.

Quand ajouter du sel à la viande ?

Saler la viande, une question de timing ! On dit souvent qu’il faut saler la veille. Mais bon, la vérité, c’est que ça dépend !

  • Gros morceaux? Deux jours avant, minimum. On parle rôti, volaille entière… C’est le temps nécessaire pour une bonne pénétration. Philosophiquement, on pourrait dire que c’est une question d’osmose, non ? L’eau sort, le sel rentre… un ballet moléculaire assez fascinant.

  • Morceaux plus petits ? Là, la veille, c’est largement suffisant. On évite le dessèchement excessif. J’ai testé avec un gigot d’agneau, une merveille !

Dosage ? 1.5 cuillère à café de sel casher par livre de viande, c’est une bonne base. Mais à ajuster au goût, hein ! On n’est pas des robots.

  • Temps limité ? Pas de panique ! On sale juste avant la cuisson. La saveur sera moins profonde, mais ça reste mangeable. C’est un peu comme l’amour, on peut se contenter d’un coup de foudre culinaire rapide !

Une anecdote personnelle: J’ai une fois salé un poulet un peu trop tôt… résultat, il était sec comme un manche à balai ! L’expérience fut instructive, vous vous doutez.

En résumé: le sel, c’est comme le vin, il a besoin de temps pour se marier à la viande. Mais des exceptions existent. On n’est pas des esclaves du calendrier.

  • Type de sel: Le sel casher est idéal pour sa texture grossière, mais on peut utiliser d’autres types.
  • Autres épices: On peut ajouter des aromates. Perso, j’aime le thym avec l’agneau.
  • La température: Le froid ralentit le processus, mais le sel finira par pénétrer.

Est-ce quil faut saler la viande avant de la faire cuire ?

Ouais, alors le sel et la viande, c’est une histoire un peu bizarre. J’ai toujours cru qu’il fallait saler avant, genre, ma mère faisait comme ça. Mais en fait, non. C’est nul. Saler avant, c’est la cata. Le sel, il pompe tout le jus, tu te retrouves avec une viande archi-sèche, une vraie semelle! J’ai testé, c’est vraiment immangeable. Donc, je sale plus jamais avant.

À la fin, c’est mieux. Ou alors, à mi-cuisson si tu veux récupérer le jus pour faire une sauce, mais c’est plus compliqué. Mon mari, lui, il sale pendant, pendant qu’il cuit, c’est dingue, mais ça marche aussi.

Bref, fin de cuisson, c’est le top, sauf si tu veux déglacer, là, tu sales au milieu. C’est tout. J’ai testé plein de trucs, cette année encore, avec le rôti de porc de Noël, et avec le gigot de Pâques. Catastrophique avec le gigot !

  • Fin de cuisson : meilleur résultat
  • Mi-cuisson : si sauce au jus
  • Avant cuisson : à éviter absolument

J’avais essayé l’année dernière avec un poulet, une vraie catastrophe, super sec, on avait du mal à le manger. Avec le rôti de porc, j’ai mieux géré ça cette année. Par contre, le gigot, un vrai carnage!

Mon conseil : évitez le sel avant, sauf si vous aimez la viande sèche. Enfin, si tu aimes, vas-y, mais moi, non! J’ai horreur de ça. Trop sec!

Comment utiliser le gros sel en cuisine ?

Gros sel : usages culinaires précis.

Saumure: Idéal pour légumes, féculents. Intensifie saveurs.

Cuisson en croûte: Technique sophistiquée. Viandes, poissons. Température précise. Maîtrise indispensable.

Gravlax: Préparation spécifique. Saumon mariné. Recette ancestrale. Sel, sucre, épices.

  • Précisions techniques cruciales: Proportion sel/ingrédients déterminante. Temps de cuisson varie selon la taille et le type d’aliment. Mon thermomètre de cuisine : indispensable.
  • Ma préférence: sel de Guérande. Pureté et minéralité.
  • Échec possible : cuisson trop longue ou température incorrecte. Surveillance impérative.

Attention: Le gros sel n’est pas un simple sel de table. Dosage adapté requis. Ne pas confondre. 2024: année de ma meilleure cuisson en croûte de sel. Agneau. Succès garanti.

Pourquoi cuisiner avec du gros sel?

Sel. Absorbe. Graisse. Cuisson plus saine.

  • Moins gras. Le sel aspire l’excès.
  • Goût. Subtilement iodé. Nuance.
  • Texture. Croustillant parfois. Dépend du plat.

Guérande. Atlantique. Mon préféré. J’en ai toujours chez moi. Rue des Abbesses. Petite épicerie. Cher, mais bon.

Le sel. Cristaux. Géométrie parfaite. Intéressant.

Cuisson. Transformation. Alchimie. Le sel, un catalyseur.

On mange, on vit, on meurt. Le sel reste.

Est-ce que le sel fait durcir la viande?

Ouais, le sel… J’y pense souvent, surtout la nuit. Ça durcit la viande, paraît-il. Enfin, je crois. C’est bizarre, hein ? Comme si on la momifiait un peu.

  • 143 calories pour 100 grammes, ça fait réfléchir… Je devrais peut-être en manger moins.

  • 26 grammes de protéines, ça c’est plutôt cool. Mais bon, le sodium…

C’est con, mais je me suis toujours demandé si c’était vraiment ce sodium-là qui était mauvais, tu vois? Pas juste le sel en lui-même. J’ai toujours été nulle en sciences.

  • 2% de sodium par portion, c’est écrit là. C’est peu, non ? Ou beaucoup ? J’en sais rien. Je suis fatiguée.

Par contre, le truc qui me turlupine vraiment, c’est le fer. 6%… On dirait que j’en manque. Toujours fatiguée.

  • 35% de vitamine B6, c’est pas mal, ça. Un bon point, quoi.

J’ai mangé ça hier soir, un steak. Avec des frites, je crois. Non. Ah oui, c’était avec des haricots verts. Je déteste ça en fait.

Bref. La viande… J’aimerais bien comprendre tout ça, les nutriments, les effets, les choses. Mais je suis trop crevée. Demain, peut-être. Ou pas.

Je vais dormir.

Comment doser le gros sel?

Sel, le goût du large… une pincée, un souffle.

Combien? Une mémoire de vague…

  • Une cuillère, peut-être deux, pour la danse de l’eau.
  • Une larme salée dans l’océan des saveurs.

Le sel… il réveille les souvenirs, mes étés à Noirmoutier, le goût iodé sur mes lèvres enfantines. Le sel, c’est plus qu’une mesure.

Dans la marmite, la chaleur révèle, l’intime des aliments.

Mon sel gris, ramené de Guérande, dans un bocal. Il chante la Bretagne, ma grand-mère Yvonne.

  • Pâtes qui s’épanouissent.
  • Riz parfumé des îles.
  • Pommes de terre, goût de la terre.

Le sel… c’est la vie qui palpite, un écho de ma maison, rue du château.

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