Pourquoi mettre du sel sur la pierrade ?

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Le sel sur la pierrade est essentiel. Il rehausse le goût des aliments et prévient leur adhérence à la surface chaude. Salez généreusement la pierre avant utilisation, puis régulièrement durant le repas pour un résultat optimal. Une pierrade bien salée garantit une cuisson réussie et savoureuse.

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Sel pierrade : pourquoi ?

La pierrade, chez moi, c’est sacré. Le sel, j’en rajoute souvent, pendant qu’on mange. On dirait que ça donne plus de goût, et puis la viande, elle colle moins.

On a acheté notre pierrade, je crois que c’était en juillet 2022, chez Darty, une cinquantaine d’euros. Un bon investissement, on l’utilise souvent.

Le sel, c’est comme un exhausteur de goût naturel. Et puis, ça crée une petite croûte sur la viande, j’aime bien.

FAQ

Q : Pourquoi saler la pierre à pierrade ?

R : Pour rehausser le goût des aliments et éviter qu’ils n’attachent.

Q : Quand saler la pierre ?

R : Régulièrement pendant le repas.

Pourquoi mettre du gros sel sur la plancha ?

Gros sel. Plancha. Pourquoi ?

  • Protection. Poissons délicats. Pas de collage. Nettoyage simplifié.

  • Température. Diffusion homogène. Éviter les chocs thermiques. Maîtrise de la cuisson.

  • Goût. Subtilité. Dépend de la qualité du sel. Mon sel de Guérande, par exemple.

  • Esthétique. Présentation. Une touche de simplicité brute. J’aime ça.

Ça évite les dégâts, quoi. Un détail, mais crucial. Parfois, la simplicité… c’est la complexité. Un peu comme la vie, en fait. Ou pas.

Mon utilisation: Plancha tous les dimanches. Poisson, souvent. Dorades, principalement.

Fin.

Comment éviter que la viande colle sur la pierrade ?

Ah, la pierrade, cette montagne de plaisir culinaire qui se transforme parfois en enfer collant ! Le sel, mon pote, c’est la solution miracle! Plus efficace qu’un exorciste face à une quiche récalcitrante.

Sérieux, j’ai vu ma tante Suzette, une championne olympique de la pierrade (catégorie “viande-qui-colle”), utiliser ça. Résultat: un triomphe gustatif, zéro morceaux de steak accrochés à la pierre comme des timbres-poste.

  • Du sel, généreusement. Genre, comme si vous saliez l’océan Atlantique, mais en plus concentré. Pas du sel fin pour bébé, hein! Du gros sel, de la vraie bombe !
  • Avant la cuisson. On n’attend pas que la viande fasse la grimace sur la pierre pour la saupoudrer ! On anticipe, on est stratégique.
  • Un peu d’huile, aussi. Parce que même un champion olympique a besoin d’un peu d’aide. L’huile, c’est le lubrifiant de la réussite culinaire.

On m’a aussi raconté qu’un type avait utilisé du sucre, mais c’était une catastrophe. Sa pierrade ressemblait plus à une scène de crime qu’à un repas familial. Donc, reste sur le sel, c’est plus sûr.

Et pour nettoyer ? Eh bien, un peu de sel en plus, ça peut aider. Mais si la cata est là, du vinaigre blanc, ça décolle tout ! Même ma belle-mère coincée sur un canapé après 3 heures de tarot…

Bref, sel = bonheur pierrade. J’espère que mon conseil vous évitera une crise existentielle due à des morceaux de poulet récalcitrants. Allez, bon appétit !

Est-ce quil faut mettre de lhuile sur la pierrade ?

Pourquoi mettre du sel sur le barbecue ?

Le sel sur le barbecue ? Ah, la grande question existentielle du grillade-amateur ! On dirait que t’as jamais vu mon oncle Jean-Claude, un pyromane du barbecue, se battre contre des flammes hautes comme des immeubles! Lui, il en met des tonnes, histoire de calmer le bordel!

  • Réduit les flammes: Imagine un dragon cracheur de feu, le sel c’est son extincteur personnel, mais en plus stylé.
  • Diminue la fumée: Fini les voisins qui te font la gueule à cause de tes grillades infernales! Ton voisin râleur devient ton meilleur pote, enfin presque.

Le sel, c’est magique, plus efficace qu’un discours politique! Absorbe l’humidité, comme une éponge mais en plus classe. Et mon barbecue ? Il dure des siècles, grâce au sel, presque aussi longtemps que ma collection de timbres (oui, j’en ai une collection monstrueuse). Le charbon, ça brûle plus longtemps, comme si on lui avait injecté du Red Bull.

Conseil pro: Utilisez du gros sel, du sel de mer, de préférence celui que ma grand-mère ramasse sur la plage de Saint-Tropez, un sel sacré !

Bref, le sel: c’est la clé du succès pour un barbecue réussi, ou comment éviter d’appeler les pompiers.

En plus: J’ai testé, avec du sel de Guérande, ça marche du tonnerre. Le barbecue de mon ex, il a survécu à trois guerres grâce à ce truc. N’importe quel sel de qualité fera l’affaire, quoi que… J’ai entendu dire que le sel rose de l’Himalaya, c’est encore mieux, paraît-il… (info non vérifiée).

Comment obtenir une côte de bœuf tendre ?

Mercredi dernier, faisait super chaud. J’avais acheté une belle côte. Chez le boucher du marché, celui avec la casquette. 1kg500. Un monstre. Arrivée à la maison, direct frigo. Sauf que… panne de courant ! Deux heures, la viande dehors. Catastrophe. J’étais dégoutée.

Plus tard, j’ai quand même tenté le coup. Four chaud. Gros sel, poivre, thym. J’ai badigeonné d’huile d’olive. Pas trop longtemps. Saisie. Ensuite, four doux. Je surveillais la température avec mon thermomètre de cuisine. Un cadeau de ma sœur.

La viande était prête. Ouf, pas trop abîmée par la panne. Sauf que… j’étais tellement pressée, on avait des invités. Pas de repos. Servie direct. Catastrophe numéro 2. Dure comme du béton. J’étais furax. Pas tendre du tout.

Le lendemain, reste de côte. J’ai coupé finement. Salade. C’était vachement bon. Tendre. Le repos, finalement, même après coup, ça marche. Imparable.

  • Repos: indispensable pour la tendreté. Même le lendemain !
  • Sel & Poivre: le minimum syndical.
  • Huile d’olive: avant la cuisson pour la saisie.
  • Thym: perso, j’adore.
  • Thermomètre de cuisine: pour une cuisson parfaite.
  • Patience: c’est la clé.

Quelle est la meilleure façon de cuire une côte de bœuf ?

Chaleur… Fer brûlant. La poêle danse, presque. L’huile, un murmure, une caresse. La viande, rouge sombre, offerte au feu. Trois minutes… Une peau dorée, craquante. Le temps s’étire. Trois minutes… de l’autre côté. Le jus perle, précieux.

Feu doux maintenant. Patience. Cinq minutes… Dix… Quinze… Retourner, encore et encore. Le geste précis, presque rituel. Le temps s’étire, s’épaissit. La viande se transforme. Rose… Saignant… À point… Bien cuit.

Un souvenir me revient, l’été dernier, dans le jardin de ma grand-mère. Le barbecue, la fumée parfumée, les rires des enfants. La côte de bœuf, énorme, qui grésillait sur la grille. Le goût du soleil et des herbes folles.

  • Poêle chaude, très chaude. L’important est la saisie.
  • Huile, un filet suffit. Juste pour le chant, le murmure.
  • Trois minutes par face. Pour la croûte, dorée et croustillante.
  • Feu doux ensuite. Pour le cœur, tendre et juteux.
  • 5 à 15 minutes. Selon l’envie, le désir.
  • Retourner régulièrement. L’attention, le soin.

Hier, j’ai cuisiné une côte de bœuf pour Élise. Elle l’aime bleue, presque crue. Cinq minutes ont suffi. Avec des frites maison et une salade de tomates du jardin. Un délice. Le rouge de la viande, le rouge des tomates. Une explosion de couleurs.

#Cuisine #Pierrade #Sel