Pourquoi le sel ne s'évapore pas ?

Pourquoi le sel ne peut-il pas s’évaporer ?

Le sel ? Pas vraiment le genre à faire du stop dans les nuages, hein ? Trop lourd le bougre ! Imaginez un éléphant essayant de s’envoler : même combat. Ses molécules, des vrais poids lourds, refusent catégoriquement de se joindre à la fête des vapeurs.

• Masse moléculaire : Un facteur clé, on dirait qu’il a mangé trop de croissants !
• Énergie nécessaire: Il faudrait la puissance d’une centrale nucléaire pour le faire décoller. Ouf !

L’eau, elle, toute légère, s’échappe comme une gamine qui a volé des bonbons. Le sel, lui, reste planté là, un peu bougon, à regarder les autres s’amuser. Comme moi au dernier pot de départ… J’ai bu plus de vin que d’eau, c’est dire !

Bref, la différence de masse, c’est comme la différence entre une plume et une enclume. Vous voyez le truc ? Non ? Ben moi non plus, parfois. C’est la vie.

Enfin, je dois filer, mon chat Persan, roi absolu de l’appartement (et tyran en matière de câlins), me réclame. Il n’est pas aussi têtu que le sel, heureusement.

Bonus: Mon expérience personnelle avec le sel? J’ai une fois essayé de faire évaporer un kg de sel pour un pari idiot. J’ai renoncé. Mes voisins aussi, j’imagine. Le sel a gagné.

Pourquoi sel eau bouillante ?

Sel. Eau. Ébullition.

• Goût. C’est tout. Presque rien.

• 0. 2°C. Dérisoire.

• Temps. Illusion.

• Ma grand-mère disait : “La vie est un bouillon sans sel.”

Pourquoi ? Parce que le fade n’a pas d’histoire.

Pourquoi met-on du sel dans l’eau à bouillir ?

Octobre 2023. Cuisine minuscule, toute jaune, odeur de vieux papier peint. J’étais en train de préparer des pâtes, les classiques Barilla n°5. Le sel, une montagne blanche dans ma main. Pourquoi ? Pour le goût, évidemment ! C’est bête, mais c’est ça.

On m’a toujours dit ça, ma mère, ma grand-mère… et puis, le sel, ça réveille tout. Je ne sais pas pourquoi j’ai pensé à cette histoire de 0.2°C en plus… une connerie, finalement.

J’ai ajouté une pincée, deux, trois… à l’œil. Plus que nécessaire peut-être. L’eau bouillonnante, la vapeur qui montait. Un peu comme ce soir-là, à Rome, près du Colisée, en 2019, même odeur de vieux, mais de pierre cette fois… un autre souvenir.

Le sel, c’est plus que la température. C’est une histoire de famille, de saveurs, de moments. Un rituel. J’en mets, même si je sais que ça ne change rien au temps de cuisson.

Pâtes al dente, un peu trop salées peut-être. Mais qu’importe !

• Rome, 2019.

• Barilla n°5.

• Octobre 2023.

• Cuisine jaune.

• Goût.

  C’est tout.