Quels sont les risques si on mange trop de sel ?
Consommer trop de sel augmente significativement le risque de maladies cardiovasculaires, notamment l'hypertension artérielle, cause majeure d'AVC et de maladies cardiaques. Un apport excessif est également lié à un risque accru de cancer de l'estomac et d'ostéoporose. Limitez votre consommation de sel pour préserver votre santé.
Quels risques liés à une consommation excessive de sel ?
Bon, le sel… perso, j’ai toujours adoré ça, mais bon, faut faire gaffe. J’ai vu ma grand-mère, elle en mettait partout. C’était sa signature, hein. Finalement, c’est pas ouf pour le coeur, la tension…
Alors, on me demande quels sont les risques avec trop de sel. En gros, et c’est pas joli, ça fait monter la pression artérielle. Un truc qui est pas tip top si tu veux éviter les problèmes cardiaques ou un AVC, quoi.
Et puis, on parle aussi d’un risque plus grand de cancer de l’estomac. Ça, c’est moins connu je trouve. Et même, l’ostéoporose! Qui l’eut cru? Vraiment, faut pas abuser. J’ai même lu une étude (je crois que c’était sur The Lancet en 2022, mais vérifiez!) qui montrait un lien fort entre consommation de sel et problèmes rénaux.
Moi, maintenant, j’essaie de faire attention. J’ai acheté du sel aux herbes à la place, à un marché à côté de chez moi, un samedi (5€ le sachet, rue de la Liberté). C’est plus parfumé, donc on en met moins naturellement. Faut ruser parfois.
Quels sont les effets de manger trop de sel ?
Trop de sel. Simple.
- Pression artérielle élevée. Une évidence.
- Maladies cardiaques. Le cœur s’épuise.
- Accidents vasculaires cérébraux. Un blackout.
- Cancer de l’estomac. L’acidité qui ronge.
- Ostéoporose. Des os fragiles. La vieillesse ?
La vie est un sel. Sans lui, fadeur. Avec, la mort. Quelqu’un m’a dit ça un jour. Un cousin, je crois. Il collectionnait les timbres. Quel rapport? Aucun.
Quelle quantité de sel est dangereuse ?
Sel : Danger et R reins, Vraiment ?
La limite de sel, c’est du cas par cas. Certains craquent à 7-8 grammes, d’autres tiennent jusqu’à 10 grammes. Pensez à mon oncle, lui, il sale tout… chacun son seuil!
Est-ce que le sel flingue les reins direct ? Pas si simple.
- Excès = danger potentiel.
- Individus sensibles : prudence accrue.
- Attention à l’hypertension artérielle.
Le sel, c’est comme la philosophie, une question de mesure ! Un peu, ça relève le goût de la vie, trop, ça la gâche. L’équilibre, toujours l’équilibre.
Comment savoir si on a trop de sel dans le corps ?
Soif intense. Facile, on boit plus d’eau que d’habitude. On se demande parfois si c’est le temps ou autre chose…
Maux de tête à répétition. Tiens, encore une migraine… Pourtant, j’ai bien dormi. Étrange. Le sel, on y pense pas forcément.
Visage bouffi. On dirait que j’ai pris 5 kilos en une nuit ! Surtout le matin. Le miroir est cruel parfois. On se focalise sur l’apparence, on oublie l’intérieur.
Pieds lourds. Comme des blocs de béton. Dur dur de marcher léger. Sensation désagréable. Fin de journée difficile.
Ballonnements. Ventre gonflé, inconfortable. On se sent lourd. On a mangé quoi au juste hier soir ? La digestion, c’est tout un art.
Hypertension. Là, c’est plus sérieux. Le sel se cache, silencieux. Un vrai danger pour la santé. À surveiller. J’ai d’ailleurs acheté un tensiomètre connecté l’autre jour, celui recommandé par mon voisin médecin (le Dr. Dubois, un type bien). Faut que je prenne le temps de lire la notice… Toujours la flemme.
On pense souvent au sucre, au gras… mais le sel est un ennemi invisible. Trop présent dans notre alimentation moderne. Je me rappelle de ma grand-mère, elle cuisinait simple, peu de sel. On appréciait mieux le vrai goût des aliments. Aujourd’hui, tout est amplifié, sur-salé. Une question d’habitude, sans doute. Et d’industrie agro-alimentaire… On perd le lien avec la nature.
Combien de temps le sel reste-t-il dans le corps ?
Le sel, enfin le sodium, disons, c’est bizarre comme truc. Ça semble rester… toujours un peu là. Pas vraiment “là”, mais vous voyez ce que je veux dire.
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Le corps en a besoin. C’est indispensable pour plein de choses, en particulier pour le volume hydrique.
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Si on mange trop salé, on a soif. Évidemment. Le corps essaie de se rééquilibrer. Une sorte de mécanisme d’auto-régulation.
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On élimine le surplus par la sueur, les urines. Normal. C’est vite fait, en général. Mais… est-ce qu’on l’élimine vraiment complètement ? Je me demande.
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Il est pas comme ces souvenirs qu’on garde au fond. On ne peut pas parler d’une durée exacte. Genre « ça reste 3 heures » ou « 2 jours ». C’est plus flou que ça. Plus… intégré.
Moi, je me souviens avoir mangé une pizza affreusement salée un soir. J’avais soif toute la nuit. Le lendemain, j’étais encore gonflée. C’était comme si mon corps se disait « Ok, on stocke, on ne sait jamais ». C’est peut-être ça, au fond. On ne l’oublie jamais complètement, ce sel. Il laisse une trace. Ou peut-être que je deviens folle.
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Il joue dans l’absorption cellulaire.
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Sans sel, la vie serait bizarre. Fade, probablement.
Le plus important, c’est de trouver un bon équilibre. Ne pas se priver complètement, mais ne pas abuser. Comme pour tout. Et puis, accepter que certaines choses, comme ce foutu sel, restent un peu avec nous, d’une manière ou d’une autre. J’imagine.
Quelles sont les maladies causées par le sel ?
L’excès de sel, c’est un peu comme un invité encombrant à une fête : il s’incruste partout et gâche la bonne ambiance. L’hypertension, c’est le premier invité à pointer son nez, suivi de près par ses copains : maladies cardiovasculaires, une menace sérieuse. J’ai lu récemment une étude sur la corrélation entre le sel et le cancer gastrique, assez flippant, non ?
On parle aussi d’obésité, un fléau moderne. Le sel, ça retient l’eau, je ne sais pas si vous voyez le lien… Et puis il y a l’ostéoporose, plus insidieux, ça mine la structure osseuse, insidieusement.
Ah oui, et la maladie de Ménière, cette satanée maladie de l’oreille interne… J’ai une amie qui en souffre, c’est vraiment pénible. Enfin, la liste se termine (pour l’instant…) avec les maladies rénales. Ces pauvres reins, toujours à travailler dur! C’est épuisant.
- Hypertension artérielle: Le coupable principal.
- Maladies cardiovasculaires: Infarctus, accidents vasculaires cérébraux… Le sel y contribue grandement.
- Cancer gastrique: Des études pointent un lien significatif.
- Obésité: Rétention d’eau, appétit… Un cercle vicieux.
- Ostéoporose: L’impact n’est pas évident, mais il existe.
- Maladie de Ménière: Encore une fois, la corrélation n’est pas totalement explicite, mais elle est probable.
- Maladies rénales: Le sel force les reins à travailler plus.
Mon médecin m’a dit de réduire ma consommation de sel il y a quelques années, après un bilan un peu inquiétant. Je dois avouer que c’est plus facile à dire qu’à faire, mais bon, la santé… On est souvent moins conscient des effets néfastes à long terme, philosophiquement parlant, une réflexion sur la temporalité de nos actions, non ?
Addendum personnel: J’ai diminué ma consommation de sel de manière significative depuis, remplaçant le sel de table par des herbes aromatiques. Mon goût a changé, et je m’y suis habitué. Je trouve même que c’est meilleur. Voilà.
Comment faire quand on a mangé trop de sel ?
Sel en excès. Goût métallique. Soif intense.
- Boire. Eau. Beaucoup. Diluer.
- Sucre. Illusion. Cache la misère. Change le problème.
- Acide. Citron. Vinaigre. Distraction. Autre sensation. Perturbation.
- Crème. Masque. Atténue. Temporaire.
On s’habitue à tout, même au sel. Ou on meurt. Hier, j’ai mis trop de sel dans mes pâtes. J’ai bu un litre d’eau. Le goût restait. Persistance rétinienne du palais. J’ai repensé au sel de Guérande. Gris. Humide. La vie, c’est comme une salière. Un mauvais dosage, et tout est gâché.
Est-il dangereux darrêter le sel ?
Arrêter le sel brutalement ? Mauvaise idée. L’hypertension, liée à une surconsommation de sel, est un risque sérieux, oui. Mais supprimer totalement le sel… C’est comme vouloir résoudre la faim en jetant toute la nourriture. On se retrouve avec autre chose, peut-être pire.
On parle d’équilibre, évidemment. Mon cardiologue, le Dr Dubois (que je vois depuis 2023, pour info, après ma crise de panique au sujet d’un examen sanguin… mais ça, c’est une autre histoire), insiste toujours là-dessus. Un apport minimal de sodium est vital. Le corps en a besoin. Point.
- Régulation de l’hydratation.
- Transmission nerveuse.
- Fonction musculaire.
Bref, on parle de choses assez importantes. Arrêter le sel, c’est comme couper une jambe pour guérir une infection au pied. Radical, certes, mais efficace? Pas vraiment. On risque d’autres soucis.
- Hyponatrémie: Déficit de sodium dans le sang.
- Fatigue intense.
- Nausées, vomissements.
C’est à mon avis assez clair. Il faut réduire, réguler, pas supprimer. La sagesse n’est pas dans l’abstinence totale, mais dans la modération, n’est-ce pas ? Et ça, même Aristote le disait. (Enfin, je crois… ça fait longtemps que je n’ai pas relu la Politique).
Enfin, ma tante Suzanne, elle, a arrêté le sel du jour au lendemain. Elle a eu des problèmes de santé assez sérieux. Elle a 78 ans, certes, mais ça, c’est juste pour ajouter un peu de couleur, on va dire… et peut-être un brin de dramaturgie.
Conclusion hâtive et approximative : Réduire son sel, oui. L’arrêter complètement, non. On réfléchit avant d’agir. C’est valable pour l’alimentation, mais aussi pour la vie en général, vous ne trouvez pas ?
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