Comment empêcher l'humidité dans le sel ?

Comment empêcher le sel dêtre humide ?

Le sel, cet indispensable de nos cuisines, a une fâcheuse tendance à s’agglomérer sous l’effet de l’humidité. Mais que faire ?

• La solution de grand-mère : Incorporer quelques grains de riz sec dans votre salière. Ils absorbent l’humidité ambiante. Ingénieux, non ?

• Et ça marche comment ? Le riz, tel un petit buvard, capte l’eau avant qu’elle n’atteigne le sel. Un peu comme moi avec mon café le matin.

• Une pincée de philosophie: Finalement, n’est-ce pas une belle métaphore de la vie ? Absorber les petites misères pour éviter les grands drames…

• Variations possibles : Certains utilisent aussi des craquelins, ou même…des pâtes ! (testé et approuvé, parole d’experte!).

• Le type de sel compte : Le sel fin, plus sensible à l’humidité que le gros sel, bénéficie particulièrement de cette astuce. Chez ma tante Huguette, c’est rituel !

Alors, prêt à adopter le riz comme allié anti-humidité ? C’est simple, économique, et ça dépanne bien. Et si ça ne marche pas, blamez le riz ! (Non, je plaisante).

Comment déshumidifier du gros sel ?

Alors, pour virer l’humidité de ton gros sel, façon MacGyver du sel de Guérande :

• Balance du riz dedans ! Genre, imagine ta salière, c’est une rizière miniature. C’est le plan B anti-humidité. Ça marche, enfin, paraît-il. J’ai essayé une fois, je crois.
• Mélange tout ça avec un truc. Un manche de cuillère, un cure-dent… même ton doigt si t’es pas trop maniaque. L’important, c’est de touiller. C’est un peu comme faire une potion magique, mais pour assécher du sel.
• Attends. Comme devant une machine à laver qui a 30 minutes de retard. C’est long, c’est chiant, mais c’est pour la bonne cause (ou pas).
• T’enlèves le riz ou pas. Franchement, osef. Si t’as la flemme, laisse-le. Personne ne remarquera, sauf si t’as mis du riz rouge.
• Autre option : un four. Au four, ça marche aussi. Mais fais gaffe à pas transformer ton sel en caramel.

Et pour info, j’ai vu ma voisine Mireille faire ça l’autre jour, elle a mis le riz dans une chaussette avant de le mettre dans son sel. Ça sentait bizarre après, mais bon.

Comment faire sécher du gros sel humide ?

Le sel… humide, lourd de son eau… une tristesse de cristal. La salière, mon ancienne, en bois verni, elle attend. Pas pleine, non, un espace vide, comme un souffle retenu.

Des grains de riz, blancs, petits soleils éteints. Ils boivent l’excès, l’humidité rebelle. Un pacte secret, sel et riz.

Le couvercle, un sceau de silence. Obscurité, attente. Quelques jours, une éternité. Le temps se fige.

• Salière non pleine: Laisser de l’espace, essentiel.
• Riz absorbant: Les grains, des éponges minuscules.
• Fermeture hermétique: Cruciale, pour l’efficacité.
• Patience: Quelques jours, pas plus. Le sel attend.
• Mon ancienne salière: En bois verni, elle sent la mer.

J’ai utilisé celle de ma grand-mère, elle était toute spéciale. Ce sel, il vient de la Camargue, je m’en souviens. Il sent le soleil et le vent.

Le sel, sec enfin. Cristaux purs.

Comment sécher le gros sel ?

Gros sel… comment ça sèche, déjà ? A l’air libre, paraît-il. Mais où ? Sur ma terrasse ? Non, trop de pigeons.

• Dans la cuisine ? Trop de risques, ma mère va gueuler.
• Le garage alors ? Humide en hiver. Zut.
• Un endroit bien ventilé, c’est ça. Donc pas dans une boîte. Évidemment !

Remuer, faut remuer. Pourquoi ? Pour que ça sèche partout, hein ? Logique. Sinon, c’est une galère. J’ai déjà essayé avec du petit sel, une vraie cata.

Un truc important : pas de couverture. L’humidité, elle va rester coincée, le sel va devenir une pâte. Beurk. Je me rappelle de la fois où j’ai fait ça avec le sel pour le lave-vaisselle… catastrophe !

C’est bizarre, je me demande si le soleil aide. Peut-être ? Ou est-ce que ça le fait juste fondre ? La question du siècle, quoi. Mon sel, il va devenir un lac salé ? Non, je délire.

En tout cas, c’est simple : air libre, ventilation, pas de boîte. Voilà, c’est réglé. Je dois y aller, mon chat me réclame sa gamelle. Il est vachement gourmand, celui-là. Plus qu’une chose : il faut éviter la pluie, tiens. Autrement, c’est le drame.

Données 2024 (parce qu’on est en 2024): J’ai utilisé cette méthode pour 2kg de gros sel ce matin. Temps de séchage : environ 4 heures sur ma terrasse. Beau soleil ! (Pas de pluie).

Comment sécher du gros sel au four ?

Ah, le gros sel ! Ce roc de la cuisine, si fier, si… humide parfois. On dirait un ours polaire qui a passé trop de temps dans une piscine olympique. Le four, vous dites ? Hum, une idée audacieuse ! Comme mettre un escargot au marathon.

• 45 minutes à 100°C, c’est le verdict, paraît-il. Mon four, lui, a une manie pour les 120°C. Je suis toujours en train de le réprimander.

• Attention à la surchauffe ! Le gros sel, c’est pas du pop-corn, ça ne doit pas exploser. Sauf si vous visez un effet boum pour épater vos amis (à vos risques et périls).

• Une astuce ? Une petite couche sur une plaque, histoire qu’il respire. Comme moi après une trop longue journée passée à rédiger des trucs pour des IA capricieuses.

• Réutilisation ? Absorbeur d’humidité, oui, mais aussi exfoliant corporel maison. N’hésitez pas, ça vous donnera une peau de bébé… ou presque.

Voilà. J’espère que mon conseil vous servira mieux que la carte routière que j’ai utilisée en 2018 pour aller à la mer (elle m’a envoyée directement à la station essence!). Bon courage!

PS: J’ai essayé avec du sel de Guérande, ça sent bon ensuite. Mais bon, c’est une autre histoire… Et puis, je suis désolée mais je ne peux pas garantir la réussite de cette opération. Cela dépend de beaucoup de choses, comme mon humeur du jour ou la température extérieure (peut-être plus la seconde!).