Comment déshumidifier du gros sel ?

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Le gros sel humide ? Rien de plus simple ! Versez-le dans un récipient, ajoutez quelques grains de riz cru. Mélangez délicatement à la cuillère. Laissez reposer quelques heures : le riz absorbera l'humidité. Retirez le riz ou laissez-le pour une action continue. Votre sel sera ainsi sec et prêt à l'emploi.

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Comment déshumidifier du sel ?

Alors, comment je fais quand mon sel est tout mouillé ? 🤔

Perso, l’astuce du riz, je la connais bien. Je l’ai testée un paquet de fois, surtout l’été quand l’humidité ambiante est juste infernale.

Franchement, c’est simple : tu ouvres ta salière (celle que j’ai ramenée de Bretagne, en céramique bleue, souvenir de vacances, payée genre 15€ à Saint-Malo, en août 2018, précis non ? 😉).

Hop, quelques grains de riz dedans (du basmati, ça marche aussi bien que n’importe quel autre, testé et approuvé !).

Tu touilles un peu, avec le manche d’une cuillère, une baguette chinoise, un cure-dent… bref, ce que tu as sous la main. Le but est de mélanger le riz au sel pour qu’il absorbe l’humidité.

Et ensuite, patience. Quelques heures suffisent normalement. Le riz fait son job, il aspire l’humidité. Et voilà, ton sel est de nouveau nickel.

Après, soit tu laisses le riz dedans, ça ne gêne pas, soit tu l’enlèves. Moi, souvent, je l’oublie et il reste là. Pas grave. 😉

Comment faire un absorbeur dhumidité avec du gros sel ?

Bon, alors, le sel… J’ai essayé ça cet été, dans ma salle de bain, 20m² plutôt, pas 25. C’était affreux, une chaleur de dingue en juillet, l’humidité collante… J’avais lu un truc sur internet, du gros sel dans un récipient…

J’ai pris un saladier en verre, genre ceux pour les salades, un gros, environ 25cm de diamètre, je crois. J’ai balancé 150 grammes de gros sel, celui pour la cuisine, pas le sel fin. On verra bien, me suis-je dit.

Au début, rien. Sérieux, j’étais déçue, ça sentait le sel, juste. Puis, au bout de, je ne sais pas, deux jours peut-être? J’ai vu des petites gouttes d’eau au fond du saladier. Pas beaucoup, mais quand même.

J’ai rajouté du sel, je sais plus combien. Peut-être 50 grammes? Un peu au hasard, j’avais la flemme de peser. L’eau, ça a continué, un peu plus chaque jour. C’était plus un ruissellement qu’autre chose, rien de fou. Et puis, la salle de bain, même si elle était mieux, restait humide…

Mon frère, il trouvait ça ridicule, ce truc. Il a dit, “tu crois vraiment que ça marche?” Je lui ai répondu, bah un peu quand même! Enfin, pas assez pour le justifier.

  • Gros sel: J’ai utilisé du sel de cuisine gros.
  • Quantité: Environ 150-200 grammes pour 20m².
  • Récipient: Un saladier en verre.
  • Durée: Plusieurs jours.
  • Résultat: Absorption d’humidité limitée. Pas aussi efficace que je l’espérais.

Bref, une solution décevante pour une salle de bain. On est en 2024, les trucs de grand-mère, c’est pas toujours top. Peut-être que ça marche mieux avec plus de sel, ou dans un endroit plus humide. Je sais pas.

Comment faire sécher du gros sel humide ?

Putain, ce sel! J’avais acheté un sac géant au marché de Rungis, en juillet dernier, une chaleur de dingue. Le sac, il était éventré, le sel, trempé. Catastrophe.

Donc, salière en verre, celle de ma grand-mère, je l’adore. Pas remplie à fond, hein. J’ai mis du riz, genre une cuillère à soupe, pas plus. Du riz basmati, j’avais ça sous la main.

Ensuite, le bouchon. Bien vissé, on n’est pas là à jouer. J’ai même vérifié trois fois. Ce sel, il devait sécher, coûte que coûte.

Trois jours plus tard… J’avais oublié. Oups. En fait, une semaine. Et là, ouf! Sec. Sec comme la peau de mes lèvres après une semaine à la plage de Pampelonne cet été. Je me suis dit “Putain, ça marche vraiment ce truc du riz!”

Points clés:

  • Sel trempé : gros problème.
  • Sèchement avec du riz.
  • Salière en verre, hermétique.
  • Résultat concluant.

Pff, j’ai même pas mesuré le riz précisément. J’avais des trucs à faire, je n’ai pas été très méthodique. Je suis une catastrophe en cuisine.

Autres méthodes? Bah, au soleil peut-être? Mais en juillet à Rungis… impossible! Sur un radiateur? Trop risqué, j’avais pas envie d’une explosion de sel.

Alors, riz. C’est ma solution. Fonctionne. Point.

Comment empêcher lhumidité dans le sel ?

Sel humide. Un désastre culinaire.

  • Hermétique. C’est la clé. Point final.
  • Verre. Préférence personnelle. Le plastique, bof.
  • Scellé. Pas de fissures. Pas de failles. L’humidité s’infiltre partout. Même par les pores de la peau, paraît-il.

Mon ancien bocal ? Rouillé. Le sel, une boue grise. Dégoûtant. J’utilise désormais des bocaux Weck. Plus cher, mais efficace.

Évitez le contact direct avec l’air. C’est la base. Simple. Essentiel. Sinon, c’est la déconfiture.

Si le sel est déjà humide ? J’ai essayé le four. Résultats mitigés. Déshydratateur ? Trop cher pour moi. Je jette, généralement. Dommage.

Alternative : Acheter de petites quantités. Plus pratique. Moins de gaspillage. Sauf quand j’oublie et que ça moisit.

Ma mère utilisait du riz. Je suis sceptique. Peut-être un placebo. Ou peut-être que ça marche sur le riz lui-même. Je n’ai pas testé.

C’est une question de survie. Pour un bon goût, un sel sec. La qualité de vie s’y joue.

(Information supplémentaire : Ma consommation de sel est, depuis quelques années, principalement dédiée à la conservation des cornichons. J’utilise entre 5 et 10 kg de gros sel par an.)

Comment faire un absorbeur dhumidité avec du gros sel ?

Ok, alors, un absorbeur d’humidité avec du gros sel… wtf?

Genre, tu prends… du sel, évidemment. 150g pour 25 m2. C’est grand, 25m2! Mon salon fait à peine ça. Enfin bref.

Tu mets ça où, le sel? Dans un truc, quoi! Un bocal? Une boîte? Faut que ça récupère l’eau, après.

  • Gros sel: Important, sinon ça marche pas, je suppose.
  • Récupérer l’eau: Crucial. Sinon, t’as juste du sel mouillé.
  • 25 m2: C’est juste une indication. Ça doit marcher pour plus petit, non? Ou faut multiplier?

Attends, c’est pas clair ça! Le sel absorbe l’eau. OK. Mais… comment ça “se déverse”? Il se dissout, non? Ca fait de la saumure!

Genre, tu as un système à deux niveaux? Le sel en haut, un truc en bas pour que l’eau salée tombe?

C’est bizarre. En plus, c’est efficace, ça? J’ai une cave super humide, faudrait tester… mais bon, le déshumidificateur électrique, c’est plus simple.

Tiens, en parlant de ma cave… j’y ai rangé mes vieilles K7 audio. Faut que je les ressorte un jour. Nostalgie, quand tu nous tiens!

Ah, oui, l’absorbeur d’humidité!

  • Action: Tu laisses agir, quoi. Ça veut dire que tu oublies ça pendant un moment, puis tu reviens voir la flaque d’eau salée.
  • Alternative: Déshumidificateur électrique. Plus cher, mais plus efficace? Et ça fait du bruit. Dilemme…

Bon, bref. Sel. Eau. Bocal. Humidité bye bye (peut-être).

Comment fabriquer un extracteur dhumidité ?

L’humidité, c’est toujours une histoire…

L’argile, ça absorbe, c’est sûr.

  • Bouteille en plastique : 1,5 litre, ça semble une bonne base. J’utilisais les bouteilles de coca de mon frère, il en buvait tellement.

  • Couper : Les deux tiers… toujours un peu au hasard, mes coupes.

  • Entonnoir inversé : L’idée est bonne, ça concentre. Mais le chiffon…

  • Chiffon : Du coton, je suppose ? J’ai essayé avec de la laine une fois, une catastrophe. Ça moisissait.

Le grenier de ma grand-mère sentait toujours l’humidité. Elle mettait des bols de gros sel partout. Ça marchait un peu, je crois.

Elle disait que l’eau aimait le sel. Moi, je préférais le sucre.

Je me demande si ça marche vraiment, ton truc. J’ai toujours eu des problèmes d’humidité, moi. Surtout dans ma vieille maison à côté de la forêt. Le prix à payer pour le calme, paraît-il.

Je devrais peut-être essayer. Ou juste déménager.

Comment sécher du gros sel au four ?

Ah, tu veux sécher du gros sel au four, hein ? Bah écoute, c’est super simple en fait. Tu le mets au four, c’est tout !

  • 45 minutes c’est bien.

  • ça assèche bien comme il faut.

Ensuite, tu peux le réutiliser pour ton absorbeur d’humidité, tu sais le truc que ma cousine Martine utilise tout le temps dans sa cave ? Elle me dit que ça marche trop bien, le sien, fait maison !

Et si jamais t’as trop de sel après, tu peux toujours faire des gommages pour le corps, ta peau te remerciera. Moi j’adore faire ça, ça sent bon après avec les huiles essentielles et tout.

Ah oui, faut que je pense à racheter du gros sel, je commence à en manquer. Bref, voilà, tu sais tout !

Puis-je déshydrater au micro-ondes ?

Micro-ondes? Possible. Risqué.

  • Chaleur inégale. Catastrophe assurée. Brûlé. Ou cru.

  • Conservation? Illusoire. Plus de moisissures. Plus vite.

Déshydrateur. Outil. Investissement. Énergie. Calcul. Ma cuisine. Trop petit. J’ai un four. Ça suffit.

Pour moi, le four. Plus de contrôle. Plus lent. Oui, mais efficace. J’ai toujours fait comme ça. Habitude.

  • Économique? À long terme. Peut-être. Le temps. Incalculable.

La question du temps. Une obsession. Mon temps. Précieux. Donc, four.

Conclusion : Four. Point.

  • Note: J’ai acheté mon déshydrateur en 2022. Il dort dans un placard. L’année dernière, j’ai déshydraté des tomates. Raté. Trop mou.

Comment faire des fruits secs maison ?

Étendue blanche… un papier parchemin, promesse de saveurs oubliées. Des fragments de soleil, ces fruits, éparpillés, souvenirs d’étés lointains.

  • 50 degrés, un murmure de chaleur.

Les heures s’étirent, danse lente, de 4 à 10. Le temps devient arôme, concentré de vie.

  • La durée… oh, elle est un mystère.

Chaque fruit chante sa propre mélodie, sa propre soif assouvie. La patience, seul guide dans ce voyage immobile. Ma grand mère disait, fais comme le temps. Et moi, je me souviens de ces après-midis avec Amélie, dans le jardin, le soleil sur nos peaux et l’odeur des abricots qui sèchaient.

Informations Supp: Même sans four, près d’une fenêtre cela fonctionne.

Comment déshydrater des fruits sans machine ?

Séchoir solaire. L’air chauffe. Doucement. 40-50°C. Suffisant.

Construction simple. Bois, verre, patience. DIY.

Alternative ? Four à basse température. Surveillance constante. Risque de cuisson.

  • Soleil direct : Trop agressif.
  • Four : Possible. Demande de l’attention.
  • Séchoir solaire artisanal : Optimal. Contrôle du climat.

Le temps. Facteur déterminant. Varie. Fruits, légumes, humidité ambiante.

Le séchage. Une question de patience. Et d’observation.

Perte de poids. Gain de saveur. Ironie du sort.

Reflexion: La conservation, une tentative désespérée de retenir le temps.

J’ai séché des tomates l’été dernier. Un souvenir. Désormais impalpable.

Quelle est la méthode pour sécher les fruits ?

Le séchage au four…

C’est long, je sais. Maman le faisait tout le temps, quand j’étais petite. On coupait les fruits ensemble, dans la cuisine. Des pommes, surtout.

  • Couper en petits morceaux, oui, c’est la base. 2-3 cm, à peu près.
  • Papier cuisson. Indispensable.
  • Espacer les morceaux. Sinon, ça colle, c’est sûr.

Elle utilisait une recette de sa grand-mère, un truc transmis de génération en génération. Maintenant que j’y pense…

On avait un vieux four, un truc qui chauffait trop d’un côté. Les fruits n’étaient jamais uniformément séchés. C’était ça le charme, je suppose.

Je crois que je vais tenter d’en faire demain. Juste pour le souvenir.

#Déshumidification #Gros Sel #Sel