Quel poids minimum pour un bébé de naissance ?

Poids minimum bébé à la naissance ?

Un bébé de moins de 2,5kg, ça me paraît vraiment petit. J’ai vu une cousine accoucher d’un petit garçon, le 15 avril 2021 à Lyon, il faisait 2,7kg. Elle était soulagée, il était au-dessus de cette limite.

On m’a dit qu’en dessous de 1,5 kg, c’est “très faible poids”. Ça doit être tellement fragile… Imaginez, moins d’un kilo et demi.

J’ai lu un article, je crois, qui parlait des bébés entre 500g et 999g. “Extrêmement faible poids”. Je me demande comment ils font pour survivre. C’est fou.

Poids minimum bébé à la naissance ?

2,5 kg. En dessous, c’est considéré comme “faible poids”.

Très faible poids ?

Entre 1kg et 1,5 kg (1000g-1499g).

Extrêmement faible poids ?

Entre 500g et 999g.

Quand bébé peut sortir de la maternité ?

Alors, hop, dehors, le bambin ! 4 jours, chrono en poche, ou moins, si le médecin dit banco !

• Santé nickel pour maman et mini-moi ? Check !
• Suivi médical calé ? Double check ! (Pas de rendez-vous chez le dentiste du coin pour bébé hein, on parle de pédiatre !)

Autrement, c’est pouponnière prolongée, mon coco ! On te garde au chaud, comme un petit rôti dans un four à 200° (c’est une image, évidemment, la maternité n’est pas une étuve infernale, quoique…).

Départ express, c’est possible ! Mais on attendra pas que le petit chou ait des dents pour quitter l’hôpital.

Mon neveu, lui, est resté 5 jours. En fait, sa mère a craqué : elle a réclamé un extra-plat de frites… le personnel médical a bien rigolé.

On sort quand ? Quand le toubib fait un grand sourire. Simple.

• Prévoir une valise. Une grosse. Pour les couches, surtout.
• Prévoir une écharpe de portage. Parce que les poussettes, c’est encombrant. Et que je me suis plantée en achetant une poussette à la con.
• Prévoir un gros paquet de café. Pour les nuits blanches. Les vraies.

Bref, dépêchez-vous, la sortie c’est cool, mais c’est aussi l’enfer après ! Mon Dieu, le manque de sommeil, je suis en plein dedans avec ma fille, trois mois déjà, et j’en suis à ma 3e tasse de café…

Est-il possible de sortir plus tôt de la maternité ?

Juillet 2023. Canicule. Chambre surchauffée. Hôpital Trousseau. Nathan hurlait. Moi aussi, intérieurement. Deux jours après la césarienne, j’en pouvais plus. Les bips des machines, l’odeur d’antiseptique, les allers-retours des infirmières. Je voulais mon chez-moi. Mon canapé.

Douche tiède. Un luxe. J’ai demandé au médecin si on pouvait partir. Il a froncé les sourcils. Vérifié mon dossier. A examiné Nathan. A soupiré. Ok pour le RPDA.

Soulagement. Visite de la sage-femme à domicile obligatoire. On a signé des papiers. Explications sur les soins. J’ai à peine écouté. Je voulais juste partir.

Retour à la maison. Calme. Juste Nathan et moi. On s’est blottis sur le canapé. Le bonheur, enfin. Plus de bips. Plus d’odeur d’hôpital. Juste le bruit de sa respiration. Et la chaleur de sa peau contre la mienne.

• RPDA : Retour Précoce à Domicile après Accouchement.
• 72h après accouchement par voie basse.
• 96h après césarienne.
• Visite sage-femme obligatoire.
• Demander au médecin.

On a galéré les premiers jours. L’allaitement, les nuits blanches. Mais on était chez nous. Ensemble. C’était tout ce qui comptait.

Quand est-il possible de sortir de maternité après un accouchement ?

Octobre 2023. Ma fille, Lilou, est née. Accouchement par césarienne. Catastrophe. Douleur atroce. Je me souviens de ce lit, blanc, froid. J’avais tellement mal… On m’a dit 4 jours, minimum. Quatre jours à attendre.

Horrible. J’avais hâte de rentrer. Avoir mon propre lit. Ma douche. Mon chat. Tout.

Ils m’ont gardée plus longtemps. Infection. Antibiotiques. On m’a surveillée. Tests sanguins. Une vraie galère. Cinq jours, je crois. Je sais plus trop.

J’ai finalement pu partir. Soulagée. Mais épuisée. Tout le monde dit que c’est normal, mais quand on le vit… C’est différent.

• Durée de séjour post-césarienne : plus long que prévu.
• Douleur intense.
• Infection post-opératoire.

Retour à la maison. Enfin. Le trajet était long, horrible. J’avais l’impression que ma cicatrice allait exploser. La route, une succession de bosses.

Je devais me reposer. Absolument. Mais Lilou pleurait sans arrêt. Pas facile. On a fini par trouver un rythme. Petit à petit.

J’ai eu de la chance, c’est vrai. Pas toutes les mamans vivent ça.

• Allaitement difficile.
• Problèmes de sommeil.
• Fatigue extrême.

On dirait que ça remonte à une autre vie. Maintenant, Lilou a six mois. Elle est magnifique. Tout ça fait partie du passé. On oublie vite la douleur, je crois.

Pourquoi attendre 40 jours après la naissance ?

40 jours… Ouais, c’est long, hein ? J’y pensais encore aujourd’hui, en regardant Léa jouer. Elle a 6 mois maintenant, ça passe trop vite.

• Cicatrisation, c’est ça, le truc principal. Mon corps, il était… différent. Tout était… mou. Même maintenant, j’ai des petits trucs…
• Périnée, ah oui, ça, je me souviens. La sage-femme, elle m’avait bien expliqué. Mais sur le moment, j’avais autre chose en tête, crois-moi.
• Ligaments, pareil. J’avais l’impression d’être un flan. Je pouvais à peine marcher correctement les premiers jours. J’avais tellement mal.

C’est bizarre, on parle de 40 jours, comme une règle… mais c’est différent pour chaque femme, non ? Moi, j’étais encore fatiguée à deux mois. On m’avait conseillé la kiné du périnée… j’y suis allée, c’était… nécessaire, mais pas agréable.

Ensuite, il y a le côté émotionnel… L’adaptation, c’est énorme. Le sommeil, l’allaitement… Le premier mois, j’étais dans un brouillard total. Je ne me suis sentie vraiment “moi” qu’après trois mois, je pense. C’est plus subtil que les muscles, c’est le mental qui met du temps.

Et puis, il y a la reprise du travail aussi… J’ai repris à trois mois, c’était dur. Le manque de sommeil… je dormais 1 heure par nuit pendant des semaines.

Fatigue, récupération, adaptation physique et mentale, voilà ce que je retiens. 40 jours, c’est une moyenne. Une jolie moyenne qui cache beaucoup de choses. Comme la vie, quoi.

#Bébé #Naissance #Poids