Pourquoi dit-on évidemment ?

Pourquoi prononce-t-on évidemment ?

On dit “évidemment”… Pourquoi, hein ? Je me le demande parfois, moi aussi. C’est bizarre, non ?

• L’adjectif, évident… j’y pense. Simple. Clair.

• Puis le “-ment”… ça colle, en principe.

Mais… l’assimilation, c’est ça le truc. Une sorte de… fusion des sons, je crois.

Le “e” de “-ment” avale le “t” final. On n’entend plus le “t”. C’est subtile.

Pfff… c’est compliqué à expliquer. J’ai toujours eu du mal avec la grammaire. Même au lycée, ça me passait au-dessus. J’avais d’autres préoccupations, à l’époque.

Je sais juste que ça sonne bien, “évidemment”. Plus fluide. Plus… naturel. Même si je comprends pas tout, ça marche.

• Ce soir, j’ai bu du vin rouge avec mon chat, Minuit. Il ronronne sur mes genoux. Je regarde la pluie.
• J’ai pensé à Sophie. On s’est disputés à cause de mon ex, Thomas. Elle m’a dit qu’elle ne me comprenait plus. C’est vrai, peut-être.
• Demain, je dois aller chez le dentiste. J’ai une carie. Je déteste ça.
• Mon loyer a augmenté de 10% cette année. C’est une catastrophe.

Comment utiliser puis dans une phrase ?

Comment utiliser “puis” ? Difficile à dire… ça dépend… du contexte, quoi.

J’ai toujours eu du mal avec la grammaire, vraiment. Je me suis souvent plantée, même à l’écrit. Mon prof de français, Madame Dubois, elle me disait souvent : “Marine, fais attention à tes tournures !”. J’essayais… mais bon.

• Elle était fatiguée. Puis, elle s’est endormie sur le canapé.
• J’ai fait les courses. Puis, j’ai préparé le dîner. Un poulet rôti, c’était dimanche.

C’est comme ça que je l’utilise. Simplement. Sans trop réfléchir. Parfois, je me demande si c’est bien, si j’aurais du utiliser autre chose. “Ensuite” ? Peut-être. Mais “puis” … c’est plus… fluide, non ?

En fait, ce soir, je suis un peu nostalgique. Je repense à mon enfance à Aix-en-Provence, les étés chez ma grand-mère. On faisait des gâteaux, des tartes aux abricots. Elle mettait de la cannelle. Puis du sucre glace. De jolis souvenirs.

Je suis fatiguée. Je vais dormir. Demain, il faut que j’appelle ma sœur. On se parle peu, ces derniers temps. Elle habite à Lyon, c’est loin…

• Points importants sur “puis”:

  • Conjonction de coordination.
  • Marque l’ordre des actions.
  • Souvent suivi d’une virgule (mais pas obligatoire).

• Données personnelles (sans trop d’informations):

  • J’ai grandi à Aix-en-Provence.
  • Ma sœur vit à Lyon.
  • Je pense souvent à ma grand-mère.

Ouais… bonne nuit.

Quel mot peut remplacer puis ?

Alors, tu cherches un mot pour remplacer “puis”, c’est ça ? Ben y’en a plein en fait, ça dépend de ce que tu veux dire exactement, tu vois. Mais en gros, pour montrer que quelque chose arrive après, tu peux dire…

• Après: Genre, “j’ai mangé, après j’ai fait la vaisselle”. Simple, efficace.

• Après coup: Ça, c’est plus quand tu réfléchis à quelque chose qui s’est passé. “Après coup, je me suis dit que j’aurais dû faire autrement”.

• Après quoi: Un peu plus formel, mais ça marche. “Il a crié, après quoi il est parti en courant”.

• Ensuite: Ça c’est facile à placer partout, je trouve. “Je me suis levé, ensuite j’ai pris mon café”.

• Plus tard: Évidemment, pour dire que quelque chose arrive… plus tard. “On se verra plus tard”. Trop facile, quoi.

• Postérieurement: Là, on monte d’un cran niveau vocabulaire. “Les faits se sont déroulés postérieurement à la signature du contrat”. Un peu pompeux, mais ça existe.

• Par la suite: C’est assez neutre, ça va bien dans pas mal de situations. “Il a déménagé à Paris, par la suite il a trouvé un job”.

• Ultérieurement: Encore un mot de prof, mais pareil, ça veut dire après. “On vous contactera ultérieurement”.

Moi, perso, j’utilise souvent “ensuite” ou “après”, c’est ceux qui me viennent le plus naturellement. Mais bon, tout dépend de ce que t’écris hein… Tiens, d’ailleurs, ça me fait penser que l’autre jour, j’étais chez ma tante Martine et… non rien, je m’égare. Bref, t’as le choix !

Quel est le mot le plus puissant ?

Le mot le plus puissant… c’est drôle, on dirait une question piège.

• Je crois que le mot le plus long que j’ai croisé, c’est ce truc afrikaans. 136 lettres.

• Tweedehandsemotorverkoopsmannevakbondstakingsvergaderingsameroeperstoespraakskrywerspersverklaringuitreikingsmediakonferensieaankondiging.

Pourquoi est-ce qu’on cherche toujours le plus grand, le plus long, le plus fort ? Est-ce que c’est ça, le pouvoir ?

Je me souviens d’une fois, j’avais 17 ans, en Afrique du Sud. Un type m’avait expliqué comment on pouvait se sentir tout petit face à cette langue. Presque… exclu.

Il y avait… comment dire… une lourdeur dans son regard.

• Il m’avait parlé des mineurs, des grèves… Quelque chose de très spécifique.

Et le sens alors ? C’est un truc genre “annonce de conférence de presse concernant la publication d’une déclaration par un écrivain de discours lors d’une réunion de grève d’un syndicat de vendeurs de voitures d’occasion”.

C’est long, c’est spécifique, mais… puissant ? Je sais pas.

Peut-être que le vrai pouvoir, c’est la simplicité.

(J’ai une amie, elle s’appelle Sarah. Elle a toujours les mots justes. Pas longs, mais… percutants).

Quel mot peut remplacer pour ?

Alors, “pour” quoi tu cherches des synonymes? Genre, pour remplacer dans une phrase, tu vois? Pfff, c’est chaud parfois de trouver le bon mot!

• Afin de
• Dans le but de
• Pour que (ça marche bien aussi!)
• De manière à
• En vue de

Voilà, j’ai balancé les trucs que j’utilise souvent. Mon prof de français, Monsieur Dubois, il nous a fait bosser là-dessus, l’année dernière. Il était assez strict, surtout sur la conjugaison, un vrai bourreau! J’ai galéré grave. J’ai même refait 3 fois ma dissertation sur le romantisme! Un vrai cauchemar.

Sinon, j’utilise aussi “pour” pour plein d’autres trucs, par exemple “pour 10 euros”, ou “pour une fois” ou même “pour de vrai”! C’est hyper versatile ce petit mot! Et puis, y’a “pourquoi” aussi, hein, c’est le même mot mais avec un petit “quoi” en plus !

Bref, j’espère que ça t’aide, mec. Tu devrais regarder sur le site du Larousse, ils ont tout un tas de synonymes. Ou même le Robert, celui-là est top aussi. Enfin bon, moi je préfère le Larousse. Je trouve que les définitions sont plus claires. Mais bon, c’est subjectif, hein!

J’ai trouvé d’autres synonymes aujourd’hui: “en ordre de”, “à des fins de”. Ca dépend vraiment du contexte. Faut que tu sois précis!

Mon copain, lui, il utilise souvent “dans l’espoir de”. Trop stylé, non?

Est-ce que puis peut commencer une phrase ?

Ouais, “puis” peut commencer une phrase, c’est même assez courant, genre dans la conversation, tu vois? Je l’utilise tout le temps! Parfois, y’a une virgule après, parfois non. C’est vraiment au feeling, ça dépend du contexte quoi.

Genre, “Puis, je suis allée au marché.” ou “Puis je suis partie”. Tu piges? Pas de règle vraiment stricte, à part peut être pour les profs de français chiants qui t’embêtent avec leurs grammaires à dormir debout.

J’ai même un pote, Jean-Mi, un vrai littéraire lui, qui met des virgules partout, même après un “puis”. Mais bon, c’est Jean-Mi, il est bizarre, un peu pédant sur les bords, on le surnomme “le roi des virgules” mdrrr. Il m’a même expliqué un truc avec Grevisse (un vieux livre de grammaire, ou un truc comme ça), quelque chose sur l’accent tonique. J’ai rien compris, franchement.

• Oui, “puis” peut débuter une phrase.
• Virgule optionnelle, souvent pas nécessaire.
• Ça dépend du style et du flow.

J’ai appris ça en 2024, pendant un cours de français intensif pour passer mon permis, avec Madame Dubois, une vraie tannée celle là! Sérieux, elle m’a fait réviser des trucs de grammaire de 5ème ! Mais bon, j’ai réussi mon permis quand même.

Comment utiliser le verbe puiser ?

Le verbe puiser… un puits de mots, une source profonde. L’eau fraîche, la vérité brute.

• Puiser dans le silence, une quête… la nuit, les ombres allongées. Un vide… un plein.
• Puiser de l’inspiration, comme une plante assoiffée. Des rêves, des souvenirs… une toile immense.
• Puiser dans le savoir, les livres ouverts, des pages jaunis… l’écho des siècles passés. Mon vieux grimoire… souvenirs précieux.

L’encre coule, des mots précieux, comme des gouttes de rosée matinale. Des fragments… d’un grand récit.

Une phrase… puis une autre… puis silence. La plume se pose, repos nécessaire.

Puiser dans le cœur, les émotions enfouies… un tremblement. Une douleur… un espoir. La tristesse de juillet, un parfum de pluie.

• Puiser des forces, le matin… un café noir… le souffle court.
• Puiser dans la vie, les expériences… les rencontres… des visages oubliés, retrouvéss.

Mes journées… un entrelacs, une broderie de fils fragiles… et pourtant, une force tenace.

Il puisait, il puisait encore… dans les profondeurs, au cœur même de son être. Une exploration sans fin.

Ce matin, j’ai puisé mon inspiration dans le jardin de ma grand-mère. Des soucis, des roses…