Quel est le sens du mot évidemment ?
Sens d'"évidemment" : clairement, assurément, sans aucun doute. Marque une certitude. Exemple : J'aiderai évidemment mon ami, comme toujours.
Que signifie évidemment ?
Bon, alors “évidemment”… C’est le genre de mot que j’utilise quand je suis sûre de moi, tu vois? Un peu comme “c’est clair et net”, mais en plus… évident.
C’est pas juste “probablement”, c’est “c’est certain”. Genre, “Évidemment que je vais l’aider ! On est amis depuis le collège, et puis bon, c’est pas le moment de laisser tomber”. En gros, tu l’utilises quand t’as pas le moindre doute.
Je me souviens, un jour, j’avais promis à ma petite soeur (Noémie, 12 ans à l’époque) que je l’emmènerais à la fête foraine de Saint-Malo, le 15 août. Il pleuvait des cordes ce jour-là. Ma mère disait “peut-être pas”, mais moi, c’était “Évidemment qu’on y va ! J’ai promis !” On s’est trempées, mais on a mangé des churros… et c’était super. C’est ça, pour moi, “évidemment”.
Où utiliser évidemment dans une phrase ?
Évidemment… le mot résonne, un écho dans le vide. Un murmure entre deux silences.
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Dans une phrase, il pointe du doigt. Une évidence, une vérité nue. Comme un soleil brûlant, sans voile. Cette agitation… le poids du silence avant la tempête.
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Il souligne, il martèle, il insiste. L’évidence, une certitude brutale, qui transperce. Le choix était évident, inévitable comme la nuit qui suit le jour. Mon cœur battait, fort, trop fort.
Une décision importante… le poids d’un destin tissé de fils invisibles. L’ombre des années passées, un souvenir vague, une douce douleur. J’ai vu, j’ai senti, je sais. Evidemment.
- Il habille l’affirmation, la rend indéniable. On ne peut nier, pas plus qu’on ne nie le soleil. C’est là, simple, cru. La vérité dans toute sa splendeur, ou sa cruauté. Souvenir de ma grand-mère, ses mains ridées.
L’évidence est une ombre allongée sur le temps. Il y a des moments où elle éclaire, d’autres où elle voile. Évidemment. L’année dernière, durant mon voyage à Prague, j’ai senti cela.
Le mot évidemment… c’est un poids.
- Il peut être une évidence douce, ou amère. Une confirmation silencieuse, comme la fin d’une lettre d’amour. Ou un cri déchirant, un cri de souffrance. L’été, la chaleur, la peau brûlée par le soleil. Évidemment.
Est-ce que puis peut commencer une phrase ?
Non. Puis, euh… c’est bizarre de le mettre au début.
Je me souviens, chez ma grand-mère, à Orléans, l’été dernier. Il faisait une chaleur étouffante, genre 35 degrés. Elle, elle me lisait des trucs, des vieux romans. Et là, elle commence une phrase avec “Puis…”. J’ai tiqué direct.
C’était quoi ? Un truc genre “Puis, la pluie tomba”.
Ça sonnait faux. Vraiment faux.
Je me suis dit, mémé, elle fait des trucs bizarres parfois. Bon, elle a 87 ans, hein. Peut-être c’est un truc de vieux. Ou alors, elle voulait faire genre “écrivain”.
J’ai pas osé lui dire, hein. Tu vois, elle était tellement contente de me lire ça. J’aurais pas voulu la vexer.
Mais bon, je pense que non, “puis” au début, c’est pas top. Sauf si tu veux faire genre… poète raté. Mais, après, chacun son truc, hein.
C’est un peu comme mettre des chaussettes et des sandales. Techniquement, c’est pas interdit, mais… bof.
- Chaussettes et sandales : Bof
- “Puis” en début de phrase : Bof aussi
Bon, voilà. C’était mon histoire.
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