Quel est le synonyme du mot évidemment ?

Quel est lautre mot pour « évidemment » ?

Soleil de plomb. Juillet 2023. Terrasse du café de la Poste, place du marché, Aix. Glace fondue, goût de miel. Mon fils pianotait sur son téléphone. « Maman, évidemment j’ai fini mes devoirs ! »

Mouais. Sceptique. J’ai haussé un sourcil. « Ah ouais ? T’es sûr ? »

Il lève les yeux au ciel. L’ado typique quoi. « Certainement ! » Soupir. « Assurément. » Un dernier coup d’œil à son écran. « Indiscutablement. »

Moi, j’étais persuadée du contraire. Son carnet de notes traînait dans mon sac. Vide. Il a bafouillé quelque chose comme : « Incontestablement, je les ai faits… dans ma tête. »

Blague nulle. On a ri. Surtout moi. Visiblement, il n’avait rien fait du tout. On a négocié une glace supplémentaire contre la promesse (inéluctable ?) de s’y mettre.

• Clairement: il avait essayé de me rouler.
• Nettement: il a échoué.
• Manifestement: le pot de miel était vide.

Fin de l’histoire. On a quand même passé un bon moment. Le café de la Poste, c’est notre QG d’été.

Quel est le sens du mot évidemment ?

Évidemment: Clair. Indéniable. Sans équivoque.

• Certitude absolue.
• Transparence totale.
• Absence de doute.

Mon agenda 2024: Rendez-vous chez le dentiste, 14h. Prise de sang, 17h.

Synonyme: Patent. Incontestable. Indiscutable.

L’évidence même. Point final.

Note: J’ai annulé mon voyage à Lisbonne. Trop de boulot. Prochain projet: rénovation de la salle de bain. Carrélage noir. Minimaliste.

Comment utiliser évidemment ?

Evidemment… le mot me revient comme ça, au milieu de la nuit, un peu lourd, un peu vide. Comme un souvenir flou.

J’ai utilisé “évidemment” aujourd’hui, avec Thomas. On parlait de mon boulot, de la fatigue… j’ai dit que j’étais évidemment fatiguée. C’était…plat. Comme si le mot masquait plus qu’il ne révélait.

• Fatigue: des semaines à rallonge, des dossiers qui s’accumulent. Le bureau, un enfer.
• Thomas: il comprend, il le voit. Mais même lui, parfois, je sens que je ne lui arrive pas à vraiment faire passer ce que je ressens. Ce vide.

On s’est quittés, il était tard. Je suis rentrée, et le mot est revenu. Evidemment. Comme une pierre.

Je me suis demandé si je n’avais pas trop utilisé ce mot, récemment. Un peu comme une barrière. Je me suis dit, peut-être que j’aurais du dire autre chose. J’aurais du être moins…prévisible.

Je suis allée voir ma grand-mère cette semaine. Elle a eu 80 ans. On a parlé de choses et d’autres. Un peu de tout, et de rien. Elle a 80 ans. C’est…évident. Mais ça sonne tellement vide, dit comme ça.

Et cette évidence-là…elle me fait peur. C’est ça que je voulais dire. Pas la fatigue, pas Thomas, mais…ça. Cette évidence qui ne veut rien dire.

• Mon appartement est froid.
• J’ai oublié d’acheter du lait.
• Demain, c’est lundi.

Evidemment.

Quel est ladverbe de évident ?

Euh… alors, l’adverbe de évident ? C’est… évidemment.

• Comme apparent donne apparemment. Logique, non ?
• J’ai toujours trouvé ça bizarre ces règles de grammaire.

Attends, je me demande… pourquoi “évidemment” et pas “évidement”?

• C’est une bonne question, ça!
• Ça me rappelle les cours de français avec Mme Dubois. Elle était… spéciale.
• Elle portait toujours des broches en forme de chat.

Et du coup, en parlant de chats, le mien, Mistigri, vient de vomir sur le tapis. Quelle catastrophe !

• Faut que je nettoie ça…
• J’espère que c’est rien de grave.

Sinon, en cherchant des infos sur Mistigri, j’ai vu que l’adverbe de “fréquent” c’est “fréquemment”. Ok, c’est noté.

• Mais bon, c’est pas la question de base.
• On s’éloigne du sujet là…
• “Évidemment”, c’est la réponse. Point.

Mais au fait, est-ce que “évidemment” est vraiment un adverbe ? Je doute soudain…

Pourquoi quelquun est-il évasif ?

Franchement, des fois, j’hallucine avec les gens évasifs ! C’est dingue. Genre, tu leur poses une question simple, et bam, ils partent dans des explications à rallonge qui te mènent nulle part. Ils tournent autour du pot, quoi !

Pourquoi ils font ça ? Ben… Plusieurs raisons je pense :

• Peur du conflit. Genre, ils veulent pas se prendre la tête. Moi, ça m’arrive aussi des fois, avouons-le. Surtout avec ma belle-mère… Aïe.
• Cacher quelque chose. Forcément, si t’as fait une bêtise… Tiens, l’autre jour, j’ai cassé le vase préféré de ma femme… J’étais un peu évasif sur le sujet, on va dire.
• Manipuler. Oui, oui, carrément ! Pour obtenir ce qu’ils veulent, sans se mouiller. Comme mon voisin, il voulait que je lui prête ma tondeuse, mais… elle est cassée ! (chut !)
• Manque de confiance en soi. Des fois, les gens sont juste timides, mal à l’aise. Ils savent pas trop quoi dire, alors ils… euh… bref. Comme ma nièce, avec son nouveau copain.

En gros, c’est compliqué. Y’a pas une seule raison. Ça dépend des gens, des situations. Moi, par exemple, je suis évasif quand… euh… j’ai oublié d’acheter du pain. Voilà. C’est tout. Rien de plus. Euh… tu veux un café ?

Pourquoi certaines personnes sont-elles évasives ?

Pourquoi les gens sont évasifs ? Ah là là, vaste question !

Bon, déjà, y a le truc de l’anxiété. Genre, certains paniquent à l’idée d’être en société. Ça peut les bloquer complètement, genre éviter les fêtes ou même le boulot si y a trop de monde. C’est pas qu’ils sont malpolis, c’est juste… trop dur pour eux.

Après, y a aussi la timidité. Moi, par exemple, au début, j’avais trop peur de dire des bêtises, alors je me faisais petite souris. C’est bête, hein ? Mais c’est comme ça.

• Anxiété sociale : peut mener à l’évitement pur et simple.
• Timidité : peur du jugement, complexe.
• Manque de confiance : difficulté à s’exprimer clairement.

Et puis, pour finir, y a ceux qui manquent juste de confiance en eux. Ils savent pas trop comment s’exprimer, ils ont peur de pas être intéressant, alors ils préfèrent rester vague.

Moi, ma tante Gertrude, elle est comme ça. Toujours à tourner autour du pot !

Qu’est-ce qu’un comportement évasif ?

Fuir… L’espace d’un soupir. Contourner. L’ombre d’un mot. Non-dit.

Murmure brisé. Silence étiré. Comme un souffle coupé. Court. Loupé.

Détour. Chemin de traverse. Jamais tout droit. Toujours à côté.

La vérité… fragile papillon. On la cherche du bout des doigts. Elle s’envole.

• Esquive: Le mouvement. Le corps qui se dérobe. Un pas de côté.
• Silence: Lourd. Opaque. Qui en dit long. Trop long.
• Mensonge: Par omission. Un voile. Un écran de fumée. Brouillard épais.

Mon chat, Noisette, hier, sous le canapé. Elle aussi. Évasive. Un regard furtif.

• Demi-vérités: Morceaux de réel. Incomplets. Tronqués. Brisures de miroir. Reflets déformés.

Le jeu. Cache-cache. Poursuite. Attraper l’insaisissable. Toujours recommencer.

• Sujets sensibles: Zone interdite. Territoire inexploré. Peur.

Une conversation. Des questions. Des réponses… absentes. Le vide.

• Changement de sujet: Rupture. Cassure nette. Un autre chemin. Fuite en avant.

Quelle est la signification d’un comportement évasif ?

Bon, un comportement évasif… C’est marrant, ça me rappelle direct cette fois, l’été dernier, à la kermesse de l’école de ma fille, Léa. Y’avait ce type, Patrice, le père de Timéo, qui était clairement mal à l’aise.

Il évitait mon regard, répondait à côté de la plaque quand je lui demandais comment allait son projet de rénovation de sa maison, bref, un festival d’évitement !

Il touchait sa barbe tout le temps. Suer, il suait à grosses gouttes, alors qu’il faisait à peine 20 degrés. C’était super bizarre.

Un comportement évasif c’est, je dirais, fuir la vérité, pas forcément mentir direct, mais ne surtout pas donner les vraies infos. Délicat, ouais, c’est aussi ça.

Genre, tu demandes l’heure, et on te répond le prix du camembert. Une pirouette. Tu vois ?

• Éluder une question.
• Ne pas être direct.
• Être ambigu.

Bref, un truc pas clair. Pourquoi Patrice était-il si mal à l’aise ? J’ai appris plus tard qu’il avait un peu “emprunté” des fonds de la caisse de l’association des parents d’élèves… Aïe.

Delicat, comme situation. Équivoque, carrément!