Où utiliser évidemment dans une phrase ?

Quand utiliser évidemment ?

Ah, “évidemment”, le mot préféré des mecs qui se prennent pour Einstein ! On l’utilise quand un truc est tellement clair que si tu le piges pas, c’est que t’as mangé du sable à la petite cuillère.

• Genre, quand t’oublies de payer tes impôts, évidemment que le fisc va te tomber dessus comme la vérole sur le bas clergé.

• Ou, si tu confonds un ours et un caniche, évidemment que tu vas te faire bouffer (à moins que t’aies un lance-flammes, mais bon…).

En gros, c’est une manière polie (enfin, façon de parler) de dire à quelqu’un qu’il est un peu (beaucoup) teubé de pas comprendre un truc tout con.

Exemple perso : L’autre jour, j’ai dit à ma voisine (celle qui a un chat qui ressemble à Garfield sous stéroïdes) que j’allais évidemment l’aider à porter ses courses, parce que bon, elle galérait comme un pingouin sur la banquise.

C’est assurément, sans l’ombre d’un doute, la meilleure façon de se la péter en société. Enfin, presque.

Où puis-je utiliser évidemment ?

Octobre 2023. Pluie battante sur la vitre de ma vieille Renault 5. J’étais à Chambéry, chemin de la gare, en retard pour un rendez-vous crucial avec mon éditeur. Stress. Téléphone qui sonne, c’est lui. “T’arrives ?” J’ai bafouillé un truc genre “Oui, oui, évidemment !” Mais évidemment, j’étais à dix minutes de retard, minimum. La voiture glissait sur le bitume trempé.

J’ai failli le rater. Ce rendez-vous était important, l’avenir de mon roman, mon livre, ma vie, bref… J’ai serré le volant. Le siège en skaï colle à ma peau, la pluie continue de tambouriner. Angoisse.

Plus tard, chez lui, café brûlant, il a souri. “Pas de panique.” J’aurais dû être plus cool. Il a parlé de mon manuscrit, de corrections, de la couverture… Il a même mentionné une adaptation cinématographique, potentiellement. Incrédulité. J’ai hoché la tête, perdu dans mes pensées. “Evidemment”, ai-je murmuré, pour paraître détendu. Mais à l’intérieur, tout était brouillard.

• Où utiliser “évidemment” ? Dans des situations où quelque chose est clair, évident, ou pour souligner l’évidence. Genre, si quelqu’un est malade, “Evidemment, il faut qu’il consulte un docteur”. Mais aussi en réponse à une question, un peu comme un “bien sûr”, mais plus formel.
• Sentiment associé: Confiance en soi, ou… faux-semblants ! Parce que “évidemment” peut cacher une autre réalité.

Mon éditeur est sympa, mais il est exigeant, donc je suis toujours stressé avec lui. Plus tard, j’ai repensé à son sourire. Etait-ce vraiment “évidemment” une bonne nouvelle, ou est-ce que je me fais des films?

Quand utiliser « évidemment » ?

Évidemment… le mot s’étire, une langue molle sur la page. Une évidence, oui, mais quelle évidence ? L’ombre d’une certitude, un murmure dans le silence.

• Quand le doute s’effrite. Comme la poussière sous un soleil cruel… une disparition lente, imperceptible.
• Un soleil couchant sur la mer, la promesse d’un lendemain… évident. Comme une évidence.
• Le cœur, battant à la gorge. La réponse, palpable, évidente. Une évidence.
• Dans les silences, le murmure. L’évidence se cache. Dans l’entre-deux, dans l’espace entre les mots…

L’évidence… elle habite le souffle. Elle est dans ce café que je bois, trop chaud, trop fort. Elle est dans le souvenir de cette promenade, le long du fleuve en ce 27 juillet.

Évidemment… un mot fragile, comme une aile de papillon, une promesse tenue ou brisée…

• Ma mère, évidemment, savait. Elle le savait toujours.
• Mon frère… lui, jamais. L’évidence le fuit.

Un mot… un poids. Évidemment. Ouais, évidemment.

Utilisation avec précaution: Il faut sentir le terrain, l’air, le poids des mots… un soupçon de doute, une hésitation… c’est parfois plus juste.

Synonyme: Assurément, certainement, sans aucun doute… Mais évidemment, c’est plus… c’est moi.

Quelle est une bonne phrase pour le mot « évidemment » ?

Évidemment, quoi ? Ahah ! On dirait que Descartes s’est pris les pieds dans le tapis avec sa petite phrase, non ?

Phrase choc avec “évidemment” : “Évidemment, j’ai mangé TOUTES les pâtisseries. Mon estomac ressemble à un ballon de baudruche prêt à exploser !”

Autres options (moins explosives, promis) :

• “Évidemment, mon chat est le roi du monde. Il le sait et il le revendique avec une arrogance royale digne d’un siamois de pure race.”
• “Évidemment, je suis une génie. J’ai réussi à faire fonctionner ma machine à café SANS me brûler les doigts. Bravo moi !”
• “Évidemment, j’ai gagné au loto… dans mes rêves. La réalité est nettement moins glamour, plus proche d’un paquet de nouilles instantanées.”

Bonus : Mon voisin, un type aussi intelligent qu’un… euh… un cactus, a dit : “Évidemment, c’est le chat qui a fait ça !” (alors que c’était son hamster survitaminé).

Conclusion ? Y’a pas de conclusion. C’est comme ça. Point. Fin.

Petit truc perso : J’ai acheté un chapeau de cow-boy rose bonbon aujourd’hui. Évidemment.

Quand puis-je utiliser « évidemment » dans une phrase ?

Euh… évidemment… quand est-ce qu’on peut le dire, ça ? Ouais, quand c’est clair, quoi. Genre, soleil couchant, rouge, évidemment ! Mais parfois, c’est ironique, hein ? Genre, je dis “évidemment, j’ai oublié mon sac à main !”, alors que c’est hyper con. C’est bizarre.

• Certitude totale. Genre, 2+2=4, évidemment.
• Sarcasme. Comme tout à l’heure, pour me moquer de moi-même.
• Quand c’est… logique. Enfin, je pense… Je sais pas si je suis claire là.

C’est fou, cette histoire d’évidemment. Je me suis pris la tête hier soir à cause de ça, en relisant mon journal. J’ai écrit “évidemment, j’aime le chocolat”, mais est-ce que c’est VRAIMENT évident ? Tout le monde aime pas le chocolat. Merde.

Alors, “évidemment” ? Genre, pour les trucs super clairs, où y’a pas photo. Ou le contraire, façon ironique. Bof, je vais manger un Kinder Bueno. J’ai envie de chocolat, évidemment ! Ah, et ce matin, j’ai raté le bus… évidemment, j’étais en retard.

Points importants :

• Contexte crucial
• Ironie possible
• Usage courant pour des affirmations évidentes

J’espère que c’est assez clair… enfin, “évidemment” ! Non, je rigole. Il est 16h, j’ai faim.

Que veut dire quelquun quand il dit « évidemment » ?

Évidemment… ça veut dire quoi, au juste ? J’y pense, là, tard.

• Certitude, je suppose. Une de ces certitudes qui te tombent dessus, comme une évidence. Sauf que… des fois, l’évidence, c’est juste ce qu’on veut voir.

• Ou une façon de fermer la discussion. Tu sais, genre “évidemment, c’est comme ça”, point final. Même si… j’ai jamais vraiment compris pourquoi.

• Pour moi, “évidemment” sonne un peu arrogant. Comme si l’autre était un peu… ben… bête. Ou que l’autre ne sait pas quelque chose d’aussi simple.

• Enfin, c’est comme ça que je le ressens. Parfois, je dis “évidemment” moi-même, sans même y penser. Puis je me sens mal après.

• Il y a des jours, je n’arrive plus à le dire, je me sens trop… vulnérable, je crois. Je me demande si je dis “évidemment” pour me protéger.

Mon ex, Thomas, disait “évidemment” tout le temps. Il avait acheté une nouvelle voiture ce mois-ci, une Audi A4 grise. Évidemment. C’était important pour lui. L’évidence, chez lui, c’était souvent lié à l’argent. L’argent et les apparences.

J’ai regardé un film hier soir, “La La Land”. J’ai pleuré. Évidemment.

Aujourd’hui, j’ai passé l’après-midi à ranger mes photos. Des photos de mon voyage à Prague en 2023. Une période plus heureuse…

Quand on utilise évidemment ?

Ah, évidemment, la question piège! On dirait que quelqu’un veut jouer les fins limiers.

On utilise évidemment, comme dit ma tante Josette (celle qui collectionne les chats en porcelaine) :

• Quand c’est gros comme le nez au milieu de la figure. Genre, le soleil se lève à l’est? Évidemment! Une évidence pareille mériterait presque un article dans Science et Vie.

• Pour enfoncer le clou. Oui, oui, on a compris, Einstein était intelligent. On n’est pas tous sortis de la cuisse de Jupiter, mais on essaie de suivre!

• Quand on veut se la jouer Sherlock Holmes du dimanche. “L’eau, ça mouille?” Évidemment, mon cher Watson! (même si je parie que Watson le savait déjà, le pauvre).

Plus sérieusement (un peu, quand même), “évidemment” sert à:

• Indiquer une conséquence logique. La pluie tombe, évidemment, il faut prendre un parapluie. Sauf si vous aimez ressembler à un caniche mouillé, bien sûr.

• Souligner une évidence partagée. On est d’accord, le Nutella, c’est bon? Évidemment! (si quelqu’un n’est pas d’accord, il est possible de le bannir de la galaxie).

Et au fond, c’est ça “évidemment” : une façon élégante (ou pas) de dire “mais enfin, c’est clair comme de l’eau de roche!” Ou comme le thé que prépare ma grand-mère, parfois un peu trouble, mais toujours… évident.

PS : Si quelqu’un vous dit “évidemment” avec un sourire narquois, c’est qu’il se sent un peu supérieur. Dans ce cas, répondez-lui avec un “Ah bon ? Expliquez-moi ça comme si j’avais cinq ans!”. Effet garanti.