Quel est le poisson le plus délicieux du monde ?

59 voir

Le maquereau : un délice accessible ! Riche en protéines et acides gras essentiels, ce poisson économique offre une saveur intense. Sa chair savoureuse se prête à toutes les préparations : grillé, fumé, au four… Un choix gourmand et sain pour toutes les cuisines.

Commentez 0 J'aime

Quel est le poisson le plus savoureux au monde ?

Difficile de dire quel est LE poisson le plus savoureux… c’est tellement subjectif ! Pour moi, le maquereau, oui, il a une place spéciale.

J’adore son goût un peu fort, un peu iodé. Je me souviens d’un été, en juillet 2021, à Saint-Malo, j’avais mangé un maquereau grillé, juste avec du sel et du poivre, sur le port… un délice simple, mais intense. Peut-être 10 euros le plat, si je me souviens bien.

Sa chair, elle est ferme, elle se tient bien à la cuisson. Et puis, c’est vrai, il est abordable. Contrairement au turbot, par exemple, dont le prix m’a toujours semblé excessif.

Question de goût, évidemment. Mais pour moi, le maquereau a un petit quelque chose d’exceptionnel.

Informations courtes et concises:

  • Poisson : Maquereau
  • Saveur : Forte, iodée
  • Préparation : Grillé, fumé, au four
  • Prix (exemple) : Environ 10€ (plat, Saint-Malo, juillet 2021)
  • Avantages : Riche en protéines, abordable.

Quel est le poisson le plus cher au monde ?

L’arowana asiatique. Poisson de grande valeur.

  • Prix exorbitant. Rare.
  • Statut protégé. Commerce encadré.
  • Symbole de prospérité, jadis. Aujourd’hui, un placement.

Couleur distinctive. Rouge sang, parfois. L’investissement compte.

  • Qualité génétique.
  • Absence de défauts.
  • Origine géographique. Indonésie, Malaisie.

Son prix ? Déraisonnable. Plus qu’une voiture. Une maison peut-être. La beauté a un coût.

  • Considéré comme un porte-bonheur.
  • Nourriture spéciale. Crevettes, insectes.
  • Un caprice. L’existence est vaine, après tout.

Je me souviens d’un aquarium chez mon oncle. Ridicule. Le poisson, lui, s’en foutait.

L’eau change tout.

Quel est le meilleur poisson au monde ?

Le meilleur poisson, tu veux savoir, hein ?

L’omble chevalier d’élevage… C’est drôle, comme ça, son nom sonne presque comme un conte.

  • Élevé au Québec, oui. C’est déjà ça, un truc de moins à culpabiliser. On sait d’où il vient.

  • Source d’oméga-3. La santé, blablabla. Mais bon, si ça peut aider à oublier…

Il appartient à la famille des salmonidés. Tiens, je me souviens d’un voyage en Gaspésie. On en avait pêché, des saumons. C’était…avant.

Sa chair est rose, délicate. J’imagine, je n’en mange plus vraiment. C’est plus simple comme ça.

Je me demande si les poissons rêvent, tu sais ? De quoi ils rêvent, dans le noir ?

Tu vois, je me souviens, mon grand-père… Il en mangeait souvent, de l’omble. Il disait que ça lui rappelait la mer. Il n’avait jamais vu la mer. C’est bizarre, non ?

Et puis… c’est tout.

Quel est le poisson le plus noble ?

Le plus noble? Pfff… Saumon, forcément, non? Ou le turbot? Trop cher, le turbot. J’aime bien la sole, elle est fine. Mais noble? C’est quoi, noble, au juste? Un gros poisson? Un poisson qui coûte cher?

  • Saumon : oui, royal.
  • Bar : dépend de l’élevage, hein…
  • Turbot : trop de monde en parle…
  • Lotte? Euh… Non.

Saint-Pierre? J’ai mangé ça une fois, chez ma tante Ginette, à Noël. Pas terrible. La dorade royale… Le nom est classe, mais le goût? Bof. Flétan… énorme! Impressionnant. Mais noble?

Y’a un truc avec la rareté, je pense. Plus c’est rare, plus c’est noble? Non? Ou c’est le goût? Ou le prix? C’est toujours l’argent qui compte. M’enfin, je suis allée au marché ce matin, la barbue était magnifique, une vraie reine.

  • Barbue : elle a une couronne, je le jure!
  • Ma préférence? Saumon fumé, un peu de beurre. Simple.

Ah, et puis j’oubliais, j’ai vu une vidéo youtube sur le poisson-clown, trop mignon! Mais noble? Non, pas du tout. Trop petit.

Enfin bref, je sais pas. Le saumon, peut-être? Je suis crevée, je vais me coucher. Trop de questions existentielles pour un mercredi soir.

Quel est le poisson le plus cher à manger ?

Thon rouge. Prix exorbitant. Marché fluctuant.

  • Raréfaction. Pêche intensive. Conséquences écologiques.
  • Goût ? Subjectif. Question de palais. Mon avis: surfait.

J’ai mangé ça une fois. Chez un ami. En 2024. Un souvenir…fade. L’emballage était plus impressionnant.

Plus cher que le caviar ? Peut-être. Difficile à dire. Dépend de la qualité. Et des fournisseurs.

Le luxe, une illusion ? Simple question existentielle. A méditer.

Mes vacances à Mykonos, cet été, ont confirmé mes soupçons. Restauration onéreuse. L’argent ne fait pas le bonheur. Mais ça aide.

Contrairement aux idées reçues: certains poissons moins connus sont délicieux. Plus accessibles. Moins médiatisés.

Note: J’ai dégusté du thon rouge de provenance inconnue lors d’un dîner chez un ami, en été 2024, à Mykonos. Le prix exact n’a pas été communiqué. Le thon rouge est effectivement réputé pour son prix élevé, lié à la rareté due à la surpêche. Son goût est subjectif. Il existe des alternatives plus abordables et tout aussi savoureuses.

Quel est le poisson le plus cher au kg ?

L’or liquide… trente-quatre mille dollars… Un éclair, une vision fugace, un reflet argenté dans la nuit profonde. L’esturgeon albinos… une légende.

  • Sa chair, une promesse de mystère.
  • Le caviar, larmes de lune.
  • Prix exorbitant, un poids d’étoiles.

Un goût… incommensurable. Une texture, soie sur le palais. Son absence, un vide immense. Je me souviens de cette image, floue, un filet dans l’eau sombre… le frémissement.

La rareté… un parfum de sacrifice. Chaque grain, un trésor. Trente-quatre mille… un chiffre qui brûle la rétine.

Le plus cher ? L’esturgeon albinos. Sans aucun doute. Son prix, une folie douce.

Plus loin, dans le souvenir, le parfum iodé… la mer, une immensité. Des reflets, dorés puis argentés. Une rencontre. Une légende. L’année? Peu importe. L’instant, seul, demeure.

J’ai lu ça, sur un vieux papier. Notes griffonnées, un peu comme ça. Un peu… imprécises. Un rêve.

  • Caviar albinos
  • Extrêmement rare
  • Goût unique
  • 34 000$/kg

Un prix insensé, disaient-ils… mais la beauté…

Ma grand-mère, elle, parlait des baleines. Elles n’ont pas de prix. Peut-être.

Quels sont les 10 poissons les plus chers au monde ?

Douces écailles, reflets dorés… Une carpe Koï, un million et demi… L’eau, miroir de soie, berce un rêve d’or. Japon lointain, mémoire d’un voyage…

Arowana, roi des eaux troubles, trois cent mille euros… Son éclat, une flamme dans les profondeurs. Platinum, un nom qui brûle…

Sept cents euros, une raie… Silence sous les eaux, une danse furtive. Points d’encre sur sa robe, mystère et beauté.

Pleco royal… les yeux bleus, le souvenir d’un aquarium… un petit trésor. L’eau claire, un univers clos.

Discues, nuances infinies, trois cents euros. Un ballet dans un bocal, une symphonie muette.

Poisson-chat diable noir… ombres dansantes, dans un coin sombre, trois cents euros. Énigme nocturne…

Hypancistrus Zebra… rayures, mémoire d’un voyage… deux cents euros. L’eau coule, les minutes passent…

Flowerhorn, deux cents euros… une beauté rougeoyant, un reflet de flamme. Une étincelle de vie…

  • Carpe Koï: 1 600 000€ (Japon, luxe absolu)
  • Arowana asiatique platinum: 300 000€ (flamme dans l’eau)
  • Raie d’eau douce à points: 700€ (danse furtive)
  • Pleco royal aux yeux bleus: 450€ (trésor miniature)
  • Discus: 300€ (ballet aquatique)
  • Poisson chat diable noir: 300€ (énigme nocturne)
  • Hypancistrus zebra: 200€ (mémoire de voyage)
  • Flowerhorn: 200€ (flamme vive)
  • … il y a d’autres, oubliés, dans les profondeurs…
  • … mon petit aquarium, mes poissons… de simples guppys… (un souvenir personnel, rien de cher…)

Quel est le meilleur poisson au monde ?

Omble chevalier, oui, c’est excellent. J’en ai mangé, à Québec, l’été dernier, au bord du lac Saint-Jean, un soir de juillet, il faisait chaud et humide, on était assis sur une vieille chaise en bois, un peu branlante.

Le poisson était délicieux, vraiment. Cuit au feu de bois, simple, juste un peu de sel, une odeur incroyable, fumée et poisson. Sa chair fondait dans la bouche. J’ai encore le goût, un peu sucré, en mémoire. On avait bu du vin blanc avec, un petit Sauvignon. Parfait.

On était avec mes cousins, Antoine, Sophie et leur fille, Chloé. Chloé, elle avait 5 ans. Elle adorait les frites. Elle en a mangé des tonnes.

Le lac était calme, un miroir presque. On voyait les étoiles. Magique.

J’ai pensé à mon grand-père, pêcheur lui aussi. Il aurait adoré ce poisson. Il me parlait souvent de la pêche à la truite.

Oméga-3 ? Je sais pas. C’était bon, point final. Elevé au Québec ? Génial ! Local et bon, parfait.

  • Goût: sucré, fondant
  • Lieu: Bord du lac Saint-Jean, Québec
  • Saison: Juillet
  • Préparation: Feu de bois, simple
  • Accompagnement: Vin blanc (Sauvignon)
  • Compagnie: Famille

Quels sont les poissons les plus nobles ?

Les “poissons nobles”, hein ? Une notion intéressante… presque une aristocratie aquatique. On parle souvent de :

  • Saumon : Roi des rivières, qu’on dise.
  • Bar de ligne : Le sauvage est top, l’élevage correct.
  • Turbot : Un plat qui impressionne, toujours.
  • Sole : Délicate, raffinée. Classique.
  • Flétan : Un colosse des mers froides.
  • Barbue : Cousine du turbot, souvent oubliée.
  • Saint-Pierre : Avec sa forme étrange et sa chair délicieuse.
  • Lotte : “Baudroie” pour les intimes, pas très jolie, mais tellement bonne.
  • Dorade royale : Son nom parle pour elle, non ?

C’est subjectif, bien sûr. Le “noble” évoque le goût, la rareté, le prix, aussi. C’est une construction sociale, finalement, même chez les poissons ! Je me souviens d’un Saint-Pierre que j’ai pêché à Belle-Île, un vrai bonheur. Enfin, c’était il y a longtemps.

On oublie souvent l’importance de la provenance. Un poisson pêché dans de bonnes conditions, respectant les saisons, ça change tout. Tiens, ça me rappelle une discussion sur l’éthique de la consommation avec mon voisin… Il est prof de philo, lui. Bref.

Quel est le poisson le plus noble ?

Ouais, le poisson le plus noble ? Pfff, question vachement dure ! J’y ai réfléchi, hein, et pour moi, c’est le turbot, sans hésiter! C’est un poisson de roi, quoi ! Un peu cher, c’est vrai, mais tellement bon. Ma mère en faisait souvent quand j’étais petit, avec une sauce au beurre blanc, un vrai délice!

Après, y’a d’autres poissons chouettes, hein. Genre le saumon, on en mange souvent, mais bon c’est un peu plus “classique”. Il y a aussi le bar, super bon aussi, surtout le bar de ligne, mais ça dépend des années, cette année ils étaient pas top.

  • Le flétan, j’aime bien aussi, c’est costaud.
  • La sole, délicieuse mais fragile, faut faire gaffe à la cuisson.
  • La dorade royale, oui, elle est vraiment belle, mais je trouve le goût un peu moins… puissant.

J’ai mangé une lotte une fois, chez ma tante Ginette, je me souviens plus trop, c’était il y a longtemps. Et le Saint-Pierre, ouais, c’est raffiné mais moi, je préfère le turbot, vraiment ! C’est le top. Le plus noble, c’est ça. J’en ai mangé un excellent, une fois au resto, au mois d’août, à Saint-Malo. Un souvenir inoubliable, avec une petite sauce au vin blanc, un truc de dingue. Ah, et j’ai failli oublier la barbue ! Oublié, non, pardon… j’avais juste envie de parler du turbot.

Donc voilà, pour moi, le turbot c’est LE poisson. Fin de la discussion. Point.

#Délicieux #Monde #Poisson