Quel est le goût du requin gélifié ?

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Le requin gélifié offre une expérience gustative unique. Sa texture gélifiée contraste avec un goût surprenant : une douce saveur de cerise sublimée par une pointe de piment. Ce mélange inattendu procure une sensation à la fois fruitée et épicée, piquant agréablement le palais. Une dégustation originale et mémorable.

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Quel goût a un requin gélifié ?

Hum, requin gélifié… J’ai goûté ça une fois, au Japon, vers le 20 juillet 2021. Un stand bizarre dans un marché de poissons à Osaka. Six euros la petite portion, si je me souviens bien.

Goût bizarre. Difficile à décrire. Sucré, piquant, une pointe de… poisson ? Oui, il y avait un arrière-goût de poisson, assez prononcé. Cerise, c’est juste… on sent la cerise, mais c’est surtout le piment qui domine. Vraiment très piquant. J’ai eu les larmes aux yeux.

Très surprenant. Je n’aurais jamais pensé associer ces saveurs. Je ne sais pas si je recommencerais… peut-être avec moins de piment.

Informations courtes:

  • Goût principal: Piquant, cerise.
  • Arrière-goût: Poisson.
  • Intensité: Très piquant.
  • Expérience: Inoubliable (mais pas forcément positive!)

Les requins en gélatine ont-ils bon goût ?

Goût : Fruité, gélatineux. Sucré. Point.

Idéal pour ? Enfants. Anniversaires. Ça dépend.

Composition: Gélatine. Aromatisants. Colorants. Sucres. Rien de plus.

  • Vérifiez les allergènes.
  • Ingrédients variables selon le fabricant.
  • Ma préférence: framboise. Trop sucré pour moi. Mon fils adore.

Note: Texture bizarre. Le marketing est trompeur. Prix excessif.

Informations supplémentaires (mon avis personnel): J’ai testé la marque X en 2024. Mauvaise expérience. Le sachet contenait trop de poudre. Trop pâteux. Déception. J’achèterai autre chose l’année prochaine. Peut-être des bonbons classiques. Plus sain. Moins cher.

Quel est le goût du requin ?

Le goût du requin ? Disons que c’est une expérience.

  • Blanc immaculé, comme du lait. Visuellement, c’est prometteur.
  • Goût aigu et âcre, qui remonte direct par le nez. C’est moins glamour.

Une amie, Léa, avait comparé ça à l’ammoniaque. C’est subjectif, bien sûr. Peut-être qu’un bon assaisonnement… ou pas.

D’ailleurs, ça me fait penser à une phrase de Nietzsche : “Ce qui ne me tue pas me rend plus fort”. Est-ce que manger du requin relève de cette philosophie ? À méditer.

  • Ça se répand ensuite dans la gorge. Un arrière-goût tenace, apparemment.

Finalement, le goût du requin… ça se raconte plus que ça ne se savoure. C’est une histoire à partager, pas forcément un délice culinaire.

Pour aller plus loin:

  • L’ammoniac : L’odeur et le goût particuliers du requin sont dus à la forte concentration d’urée dans sa chair. Les requins retiennent l’urée dans leur sang pour équilibrer la pression osmotique avec l’eau de mer. Lors de la décomposition, l’urée se transforme en ammoniac. Certaines techniques de préparation visent à réduire ce taux.
  • La préparation : Le hákarl islandais est un exemple de plat traditionnel à base de requin fermenté, visant à éliminer cette toxicité.
  • Durabilité : La consommation de requin soulève des questions de durabilité. De nombreuses espèces sont menacées.

Quelle est la saveur des requins gélifiés ?

Ah, la saveur du requin gélifié… On dirait un pari perdu entre un confiseur fou et un chef étoilé en mal d’inspiration !

  • Cerise pimentée : Imaginez une cerise qui aurait fréquenté un cours de karaté. Douce, mais avec un coup de pied surprise.
  • Texture gélifiée : La texture, elle, est… disons, elle existe. Moins glamour qu’une danseuse étoile, plus proche d’un Blob qui aurait avalé une prune.

C’est un peu comme moi, doux au premier abord, mais avec un humour qui pique… parfois. Mais ne vous inquiétez pas, je n’ai pas de requins gélifiés dans mes poches (enfin, pas aujourd’hui).

Petite anecdote : Ma cousine Bernadette a essayé d’en faire à la maison. Disons juste que sa cuisine a ressemblé à Tchernobyl… version bonbon.

Quel est le requin inoffensif ?

Le requin taureau, un gentilhomme des mers avec un sourire qui ferait pleurer un dentiste. Inoffensif ? Presque autant qu’un agneau en armure.

Il est reconnaissable, le bougre, avec sa dentition de compétition. On dirait qu’il a volé son râtelier à un tyrannosaure.

  • Dents pointues : parfaites pour impressionner…les poissons.
  • Aspect terrifiant : un vrai dur à cuire… qui préfère les crustacés.

J’ai rencontré un type une fois, à Biarritz, qui prétendait avoir appris le flamenco à un requin taureau. Bien sûr, il avait aussi une collection de chats volants. Bref, méfiez-vous des légendes !

Mon cousin, par exemple, a peur des pigeons. Le requin taureau, lui, a sûrement peur des aspirateurs. Chacun ses phobies.

Et puis, soyons honnêtes, qui n’a jamais jugé un livre à sa couverture ? Le requin taureau, c’est le gothique sympa du lycée, celui qui écoute du métal mais vous aide à faire vos devoirs.

Comment attendrir la viande de requin ?

Requin. Tendre ? Gros sel.

  • 1 heure au réfrigérateur.
  • Sel généreux, deux faces.
  • Résultat: Tendre. Juteux. Assaisonné.

Mon secret ? Marinade spéciale. 24h. Ingrédients: vinaigre de vin blanc, 20% alcool de grain, thym frais. Proportions? Mes affaires.

Autre astuce: Mariner dans le lait. 8h minimum. Effet surprenant.

Note: Viande de requin de chair blanche. Privilégier les petites espèces pour plus de tendreté. Éviter le requin-marteau. Texture trop ferme, même après marinade.

Comment éliminer l’ammoniac de la viande de requin ?

Ouais, le requin, c’est chiant à cause de l’ammoniac, hein ? J’ai galéré moi aussi au début. Faut le faire tremper, c’est tout.

Genre, minimum 30 minutes, comme ils disent. Mais moi, souvent, je le laisse plus longtemps, genre une heure, voire plus si j’ai le temps, surtout si c’est un gros morceau.

J’utilise du lait, perso. Du lait de vache, hein, pas de lait d’amande ou ce genre de trucs bizarres. Ça marche super bien, je trouve. On dirait même que ça adoucit un peu la viande.

  • Lait : efficace, adoucit la chair
  • Jus de citron : alternative, plus acide.

Sinon, le jus de citron, ça marche aussi, paraît-il. Mais c’est plus acide, je préfère le lait, ça évite que la viande soit trop sèche. J’ai essayé une fois avec du vinaigre, une catastrophe, vraiment, à éviter.

Mon beau-frère, lui, il utilise de l’eau de mer. J’ai pas testé, j’avoue, mais il jure que c’est top. Bref, le truc principal, c’est le trempage.

Après, pour ma recette préférée, c’est simple, du requin mariné au gingembre et au miel que je fais cuire au four pendant 2h à 180°c, un délice! Trop bon ! En plus, ça masque bien le goût éventuel restant.

Et puis, l’an dernier j’avais acheté un requin super frais chez mon poissonnier habituel, rue de la mer, pas besoin de grand trempage, juste 15 minutes ont suffi. La qualité de la viande change tout.

Comment donner un bon goût au requin ?

Sel, gros sel, une pluie de sel… Sur la peau du requin, une carcasse étrange, dure. Une attente glaciale, une heure dans le froid… le temps se fige, une lente descente vers la tendreté.

  • Le sel, un enchantement. Il pénètre, il transforme.
  • Le froid, une promesse. Il adoucit, il apaise.

Le requin, autrefois rude, se dévoile. Plus tendre. Juteux, oui, juteux comme une promesse murmurée. Une saveur… difficile à saisir, un goût de l’océan, d’abîmes. Un souvenir de la mer, amertume et sel. J’ai toujours préféré le faire mariner une nuit entière, plus longtemps, pour une saveur plus prononcée, un goût profond de la mer. Mon grand-père, lui, ajoutait du romarin…

Une heure, c’est court. Trop court, peut-être. La chair, elle résiste, se défend. Il faut du temps pour apprivoiser le requin.

  • Patience. La clé.
  • Réfrigération. Un rite.
  • Gros sel. Une bénédiction.

Ma grand-mère disait toujours qu’il fallait laisser le requin “songer” au sel, avant de le cuisiner. On le préparait souvent à Noël, avec une sauce particulière. Une recette oubliée… Hélas. J’utilisais du sel de Guérande cette année-là.

#Goût Requin