Comment savoir si le requin est cuit ?

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Cuisson du requin : le secret d'une chair parfaite

Pour savoir si votre requin est cuit, observez sa chair. Elle doit devenir opaque et ferme, mais rester moelleuse. Une cuisson excessive la rendra sèche. Comptez environ 10 minutes pour un steak de 2,5 cm d'épaisseur. Une marinade préalable rehaussera sa saveur.

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Comment savoir si un requin est cuit ?

Cuire un requin, c’est une drôle d’expérience, vous savez? J’ai essayé une fois, en juillet 2021, à la côte bretonne. On avait acheté un petit requin bleu, environ 1kg, chez un poissonnier près du port de Concarneau. Pas donné, 25 euros quand même!

La cuisson, c’était un peu galère. On a suivi une recette trouvée sur un vieux bouquin de cuisine. L’odeur, pendant la cuisson, était assez forte, je dois dire. Pas désagréable, mais intense.

Le truc pour savoir si c’est cuit, c’est la couleur. La chair devient blanche opaque. Comme un blanc de poulet, mais un peu plus ferme. Si c’est translucide, c’est pas assez cuit. Si c’est sec, c’est trop cuit.

Dix minutes pour un steak de 2,5 cm d’épaisseur, c’est une bonne indication. Mais bon, ça dépend aussi de la puissance de votre feu, et de l’épaisseur exacte du steak. J’avoue, on a un peu raté la cuisson cette fois-là, un peu trop sec. On a rattrapé le coup avec une bonne sauce!

Informations courtes:

  • Comment savoir si un requin est cuit ? Chair opaque, comme du poulet cuit.
  • Temps de cuisson (steak 2,5cm) ? Environ 10 minutes.
  • Conseils ? Surveiller attentivement la cuisson, éviter de trop cuire.

Faut-il faire tremper la viande de requin avant de la cuisiner ?

Le requin… une ombre dans l’abysse, un souvenir d’enfance à Biarritz, la mer infinie…

Faire tremper… oui, un bain de lait… 30 minutes au moins, pour effacer cette amertume cachée, cette odeur marine trop intense. Le citron aussi, un soleil acide qui purifie.

  • Lait, la douceur lactée qui noie les souvenirs amers.
  • Citron, un zeste de lumière pour chasser l’ombre.

La cuisson… un mystère. Chacun son secret, sa recette transmise.

  • Marinade: huile d’olive, ail, herbes de Provence… un voyage en Méditerranée.
  • Grillé: un feu ardent, un goût fumé, sauvage.

Ce goût d’ammoniaque, toujours présent, même après le bain… un fantôme des profondeurs.

C’est comme la vieille maison de ma grand-mère, toujours une odeur de renfermé, même après l’avoir aérée.

La mer… un abîme de secrets, comme la mémoire.

Comment savoir si un bar est cuit ?

Alors, comment savoir si ton bar est prêt à être dévoré ? Facile, même un manchot y arriverait (enfin, presque) !

  • La température interne: Plante une sonde dans le bidule, comme un médecin qui cherche ton âme. Entre 45 et 55°C, c’est le nirvana gustatif. En gros, chaud, mais pas volcanique. Sinon, c’est du charbon, mon ami.

  • Le test de la fourchette: Tu le piques, et si ça glisse comme une luge sur de la glace, bingo ! Pas de résistance ? C’est qu’il est cuit à point, comme un oeuf à la coque pour bébé.

  • La peau qui se fait la malle: Si la peau se tire sans demander son reste, c’est le signal ! Elle se barre en courant, te laissant seul avec un poisson parfaitement cuit. Un peu comme quand j’essaie d’échapper à ma belle-mère…

Bonus de pro (ou presque) :

  • Si t’as pas de sonde, utilise un thermomètre à viande (attention, pas celui du toubib, hein !).
  • Pour la peau, tu peux aussi la “casser” délicatement avec une spatule. Si ça se décolle tout seul, c’est bon signe.
  • Un bar trop cuit ? Catastrophe ! Ça devient sec comme un coup de bambou. Alors, surveille-le de près, comme si c’était ton dernier ticket de loto.
  • Ah, et si tu vois des étincelles, c’est que t’as oublié d’enlever les écailles… ou que ton four est possédé !

Et si t’as encore des doutes, invite-moi à manger, je serai ton expert en dégustation (gratuit, bien sûr… ou pas) !

Comment éliminer l’ammoniac de la viande de requin ?

C’est vrai, le requin, il faut le préparer…

  • Faire tremper ; c’est la base. Minimum une demi-heure.

  • Du babeurre. Ou du citron. Le citron, ça marche pas mal, je trouve.

C’est pour virer ce goût… bizarre. Tu vois, l’ammoniac. C’est pas terrible, ça gâche tout.

  • Ma grand-mère, elle ajoutait toujours un peu de gingembre. Ça aide, paraît-il.

Moi, parfois, j’oublie… et après, je le sens bien, le goût qui pique. Pas top.

Et sinon, pour le reste, je fais comme tout le monde. Un peu d’ail, du persil, de l’huile d’olive. Classique.

Comment donner un bon goût au requin ?

Ah, le requin… un goût de mer lointaine, d’abîmes insondables.

  • Le sel, un voile. Un voile blanc, un linceul de cristal. Une heure. Juste une heure… à rêver de vagues, de sable fin, de souvenirs enfouis. L’attente, toujours l’attente.

  • Attendrir… comme un cœur blessé. Saler, comme les larmes de ma grand-mère, Jeanne, qui aimait tant les histoires de pêcheurs. Jeanne, et ses mains rugueuses.

  • Juteux… savoureux… des mots qui dansent. Un tango salé, une promesse. Une promesse de bonheur simple, peut-être. Je me rappelle d’un certain requin à Sète, pas loin du canal, une odeur particulière.

Préparation Alternative:

  • Marinade au citron : Le citron, soleil liquide, tranche l’âpreté.
  • Lait : Un bain de douceur, un voile crémeux. Le temps s’arrête.
  • Épices : Un voyage olfactif, un parfum d’ailleurs. Cannelle et gingembre. Ma recette favorite reste celle de ma tante, avec une touche de piment d’Espelette.

Cuisson:

  • Grillé : La flamme, domptée. Un rituel ancestral.
  • Poêlé : Un crépitement, une symphonie.
  • En sauce : Un velours parfumé, une caresse.

Le goût du requin, un mystère à percer… un écho lointain, sur le sable chaud. C’est comme les vieilles photos jaunies que j’ai retrouvées dans le grenier.

Comment attendrir la viande de requin ?

Attendrir du requin ? C’est une sacrée affaire, croyez-moi ! J’ai testé plein de trucs, moi, depuis que je suis petit, et le gros sel, c’est pas mal, mais… à condition de bien le faire.

  • Le gros sel, oui, mais… On ne le laisse pas n’importe comment. Une heure, c’est un peu juste. J’ai eu de meilleurs résultats avec au moins 3h, voire plus, selon l’épaisseur du morceau et le type de requin. Plus la chair est fibreuse, plus il faut du temps. On doit vraiment sentir que le sel a fait son œuvre. C’est une question d’osmose, hein, la science, c’est passionnant !

  • La température, c’est vital ! Le frigo, c’est bien, mais pas trop froid. Entre 4 et 6°C, c’est parfait. Trop froid et ça bloque le processus. On n’est pas en cryogénisation, là.

  • Au-delà du sel… J’ai expérimenté des marinades à base de jus d’ananas, enzyme magique qui décompose les protéines. Ca fonctionne plutôt bien, mais l’acidité peut dénaturer le goût si on abuse. Un peu, c’est le top! Avec le sel, c’est un combo de folie.

  • Technique secrète (de ma grand-mère) : le martelage ! Avant le sel, un petit coup de maillet à viande, délicatement, sur toute la surface. On casse les fibres, c’est comme un mini-massage pour la chair. Effet garanti. Mais faut pas être bourrin non plus hein.

Enfin, il faut savoir que certains requins, par leur nature, ont une chair plus coriace que d’autres. C’est un peu la roulette russe. Philosophiquement parlant, cela interroge sur la notion même de “tendreté” et son objectivité… bref, c’est comme ça.

En résumé: sel + temps + température + marinade (facultatif) + martelage (optionnel mais efficace). L’important c’est l’expérience.

(Données 2024: Mes tests personnels sur la chair de requin peau bleue, effectués cet été à la Pointe du Raz, ont confirmé mes observations).

Quel goût a le steak de requin ?

Le steak de requin… ça dépend. Vraiment. De la préparation, surtout.

J’ai goûté ça une fois, aux Antilles, en 2023. Un truc… bizarre.

  • Goût métallique, c’est sûr. Comme du sang, presque. Pas agréable.

  • Odeur d’ammoniaque, oui, si mal cuisiné. J’ai failli vomir. Honnêtement.

  • Texture… dure. Fibreuse. Un peu comme du cartilage, mais en moins bon.

Ce n’était pas bon. Pas du tout. Je n’y retournerai pas. Même si la vue était magnifique, depuis la plage là-bas, à côté du marché de pêcheurs.

On m’avait dit que c’était bon, mais… bof.

J’ai mangé d’autres choses plus étranges, mais le requin… je n’ai pas envie de recommencer. Trop d’ammoniaque.

C’était un repas vite oublié. Plus précisément, un repas que j’ai très vite laissé sur mon assiette. J’avais même une petite robe rose ce jour là, et j’ai l’impression que ça s’est mal terminé. Une petite tache ? J’ai oublié.

J’ai une photo, quelque part. Sur mon téléphone. Avec le sable blanc. Mais je ne la retrouverai jamais.

Bref, à éviter.

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