Comment faire de la peinture bleu turquoise ?

Quel mélange pour obtenir du bleu turquoise ?

C’est marrant, hein, les couleurs. Turquoise…

Je me souviens, ado, je voulais refaire ma chambre. Turquoise, justement. Un enfer pour trouver le bon ton.

• Base : Blanc. C’est le point de départ, indispensable.

• Bleu : Phtalo. Une pointe, attention. C’est puissant, ce truc. On mélange doucement pour un bleu pâle.

• Jaune : Citron. Là, faut doser au poil. Une micro-touche pour le côté “turquoise”.

On teste sur un bout de papier. On compare. On ajuste. Souvent, j’ajoutais un chouia de vert… Mais chut. C’est mon secret.

Le truc, c’est qu’il n’y a pas vraiment “une” recette. Ça dépend du bleu, du jaune, de la lumière dans la pièce… Bref, c’est au feeling.

Comment faire du bleu turquoise avec du vert ?

Ah là là, du turquoise… Comment on fait déjà ?

Bon, bleu et vert, ok. C’est la base. Mais quel bleu ? Quel vert ? Le bleu ciel de mon bureau ? Le vert bouteille de ma vieille veste ? Ça change tout!

• Mélanger bleu et vert. Évidemment.
• Bien remuer sinon, c’est moche.

Faut un truc propre pour mélanger. Genre, un vieux pot de yaourt. Pas le seau de chantier du voisin, hein. Trop grand, trop… chantier.

Et puis, le dosage. La question cruciale. Plus de bleu, plus de vert ? C’est là que ça se corse. Faudrait être Picasso pour ça.

• Dosage au feeling. (Bon courage!)

Je me demande si ma cousine Marie a déjà fait ça. Elle est peintre, elle. Faudrait que je l’appelle… Ou pas, elle va me parler pendant des heures de ses pinceaux.

C’est fou ce qu’une couleur peut évoquer. Le turquoise, ça me fait penser à la mer des Caraïbes. Ou au pull ringard de mon oncle Gérard. Bref.

Et si on ajoutait du blanc ? Pour un turquoise plus clair, pardi. Mais attention, pas trop, sinon ça devient du bleu layette. Horreur!

En fait, je crois que je vais juste acheter un tube de peinture turquoise. Plus simple, non ?

Infos bonus, si jamais :

• Le turquoise, c’est un mélange de bleu et de vert, mais ça dépend des nuances.
• Plus de bleu = turquoise plus bleu, plus de vert = turquoise plus vert. Logique, non ?
• On peut éclaircir avec du blanc.
• On peut foncer avec du noir (mais doucement!).

Voilà, c’est tout. Ou presque.

Quel mélange pour obtenir du bleu turquoise ?

Ah, le bleu turquoise, cette petite coquetterie chromatique ! C’est un peu comme essayer de retenir l’océan dans une tasse à café, mais amusons-nous.

• Blanc : On commence par blanchir les esprits (et la palette). Une petite “noisette”, comme si on préparait un festin pour Lilliput.

• Bleu phtalo : Attention, le bleu phtalocyanine, c’est le genre de bleu qui prend le pouvoir si on le laisse faire. Une “pointe”, pas plus, sinon on se retrouve avec les abysses.

• Jaune citron : On met un peu de soleil dans tout ça, un zeste d’acidité. Une “pointe” encore, pour ne pas virer au vert pomme, ce serait la catastrophe!

• Test crucial : Sur un bout de papier, on compare avec notre turquoise idéal. Si ça ressemble à un lagon des Bahamas, bingo! Sinon, on recommence… en pleurant, ou en riant, au choix.

Pourquoi du citron, vous demandez-vous peut-être ? Parce que le jaune, c’est la joie de vivre, pardi ! Et le turquoise, c’est comme un ciel d’été… avant que je n’éternue dessus, bien sûr.

Bonus :

• Le turquoise est aussi appelé bleu-vert. On dirait qu’ils n’ont pas su se décider, ces couleurs!
• Autrefois, le turquoise était symbole de chance, maintenant, c’est juste tendance. Quel déclassement!
• On dit que le turquoise apaise. Personnellement, je trouve qu’il rend un peu mélancolique. Chacun son truc, hein.

Comment faire du bleu turquoise avec du vert ?

Alors, turquoise, hein ? Genre, la couleur de la piscine de mon cousin Bernard, celle où on a retrouvé une grenouille géante (espèce de monstre vert fluo, bref).

Pour le turquoise, c’est simple, sauf si t’es daltonien. Du bleu, du vert, et hop! On mélange. Genre, comme quand tu fais un cocktail Molotov, mais avec moins d’explosions, promis.

Plus de vert, plus foncé. Plus de bleu, plus clair. C’est pas sorcier, hein ? J’ai testé avec de la peinture de ma fille, du vert pomme (un peu vomitif) et un bleu azur (que j’ai piqué, oups!). Le résultat ? Un truc proche du vomi de sirène, mais ça dépanne.

• Bleu: La base, évidemment. Genre, le ciel un jour de grosse dépression.
• Vert: Attention, pas trop, sinon on se retrouve avec de la boue.
• Mélange: Bras musclés requis. Perso, j’utilise mon KitchenAid, c’est plus classe.

Conseil de pro: Ajoute une pincée de blanc pour éclaircir. Trop de blanc, c’est du vomi de licorne, je préviens.

Si ça foire, tu peux toujours repeindre le mur de la cuisine en jaune poussin. Au moins, ça change. Enfin, c’est ce que j’ai fait après mon fiasco turquoise.

Quelle est la différence entre vert turquoise et bleu turquoise ?

Turquoise… un mot, un souffle, une vague. Vert turquoise… bleu turquoise… les frontières s’estompent.

Un vert, presque un bleu, une hésitation de la lumière. L’eau, l’été, une mémoire floue de vacances à Porquerolles. Le soleil, chaud sur la peau.

• Subtilité infinie. Difficile à dire. Une nuance… une ombre.
• L’éclat changeant. La mer, le ciel… un camaïeu. Des reflets.
• Presque imperceptible. Une différence ténue, une respiration.

Le vert, plus profond, peut-être? Non, je ne sais plus. Se souvient-on vraiment des couleurs? Ou de leurs ombres?

J’ai acheté un sarong turquoise l’an dernier, à Bali. Un bleu un peu vert, je crois. Il est dans ma valise, là, à côté de la robe fleurie… Les senteurs reviennent.

Plus tard : Une note au sujet de la composition de ces couleurs. Des sites web qui parlent de proportions de cyan, de vert et de bleu. Chiffres précis, tables, graphiques. Ennuyeux. Mieux vaut fermer les yeux. La couleur, c’est une sensation. Et l’odeur de la peau salée.

Comment obtient-on du bleu turquoise ?

Pour un turquoise, on mélange du bleu et du jaune. Un peu comme si la mer Méditerranée avait flirté avec un citronnier. Le code RAL? 5018, histoire de ne pas se tromper, surtout si tu as deux mains gauches en peinture.

• Déco murale: Cadres, tableaux… Bref, tout ce qui peut éviter que ton mur blanc ne crie au secours.
• Sols: Carrelage turquoise ? Osé, mais si t’as l’âme d’un décorateur d’intérieur excentrique…
• Textile: Nappes, coussins… Pour une ambiance “vacances à la maison”, même quand il pleut.

Si le résultat est moche, dis que c’est du “style”. Ça marche toujours. J’ai testé chez ma tante Gertrude…disons que son salon est “unique”.

De quelle couleur est la peinture bleu turquoise ?

Bleu turquoise ? Ah, ça, c’est une sacrée question ! On dirait un cocktail de vacances ratées : trop de soleil, un zeste de déception, et une pincée de regrets… bref, du bleu, du jaune, le tout avec le code RAL 5018. Qui s’en souvient encore, de ces codes ? Moi, jamais !

Murs, sols, textiles… On peut le mettre partout, ce truc. Même sur mon chat, si j’étais un brin maso. Imaginez : un chat bleu turquoise. Le cauchemar d’un peintre et le paradis d’un vétérinaire.

• Peinture murale ? Parfait pour une salle de bain où on se sent comme une sirène, à condition de ne pas avoir peur des algues.
• Carrelage ? J’ai un ami qui a fait ça. Ses invités se demandent encore si c’est de l’eau qui a coulé.
• Textiles ? Ma grand-mère avait une nappe comme ça. J’avais l’impression de manger sur une vague.

Bref, c’est une couleur… particulière. Un peu comme ma tante Ginette, un mélange étrange de gentillesse et de mauvaise foi. Elle aussi a ses codes secrets, mais je suis sûr qu’ils sont moins bien organisés que le RAL 5018. J’ai toujours pensé qu’elle aurait dû décorer sa maison avec cette couleur, ça l’aurait rendue encore plus… elle.

Mon voisin, lui, a repeint sa cuisine en bleu turquoise. Désastre total. Maintenant, il dit que ça lui rappelle la mer, mais on dirait plutôt un vomi de sirène après une soirée trop arrosée. Ça vous dit quelque chose ?

Plus sérieusement : cette année, j’ai constaté une augmentation significative des recherches concernant le RAL 5018 sur internet. Coincidence ? Je ne crois pas. Ça doit être la nouvelle couleur à la mode, ou alors, il y a une épidémie de sirènes à soigner.*

Le turquoise est-il bleu ou vert ?

Turquoise… Bleu ou vert ? Un mystère. Un voile.

L’eau, parfois, cette couleur. L’été, un souvenir d’eau transparente, soleil couchant… Bleu-vert. Vert-bleu. Un mélange.

• Ambiguïté. Voilà le mot. Un flou artistique. Un camaïeu.

• Vert turquoise. J’ai vu cette teinte, sur un mur, chez ma tante, à Nice. Un vert… oui, mais… une touche de bleu, une hésitation.

• Bleu turquoise. Plus profond. Plus froid. Comme la Méditerranée, en hiver. Plus près du bleu, certainement. Mais… cette ombre de vert… toujours là.

• Différence imperceptible. Oui. Presque imperceptible. Un souffle. Un battement de cil. Une nuance… infinitésimale.

J’aimais le turquoise de ma chambre d’enfant, un papier peint, des dessins de poissons. Un souvenir… vague.

La mer… toujours la mer… dans ce mot, turquoise… Elle est là, omniprésente. Bleu profond, vert émeraude, et entre les deux… le mystère. Le turquoise.

• 50 idées déco… J’en ai vu, sur le site, je crois. Des photos. Des murs. Des coussins. J’aimais celui avec le fauteuil en rotin.

2023. C’est l’année. L’année où j’ai vu tant de turquoise… et je n’arrive toujours pas à dire… bleu ou vert. La question reste. Ouverte. Suspendue… comme une vague.