Comment choisissent-ils les astronautes ?
Le recrutement d'astronautes est géré par des agences spatiales (NASA, ESA...). Des concours publics sont organisés. Les candidats soumettent leur dossier, répondant à des critères stricts de formation, de santé et d'aptitudes physiques et psychologiques. Sélection rigoureuse et compétitive garantissant l'excellence. Le processus inclut des examens médicaux, des tests psychologiques et des évaluations techniques.
Comment sont choisis les astronautes ?
Bon, alors, comment ça se passe, le choix des astronautes ? C’est pas aussi simple qu’on pourrait croire. J’ai un ami, ingénieur aéronautique, qui a postulé à la NASA en 2017, il m’en avait parlé. Des concours, apparemment, c’est super sélectif.
Imaginez, des milliers de dossiers, diplômes, tests physiques de dingue… Mon ami, il avait un super CV, et il a même pas passé les premiers tests médicaux. Dégoûtant, hein ? C’est frustrant.
L’ESA, c’est pareil, j’ai lu un article il y a quelques temps, parlant d’une sélection en 2019, très peu de places pour beaucoup de candidats. Il faut vraiment être au top.
Enfin bref, c’est des agences spatiales comme la NASA et l’ESA qui gèrent tout ça. Concours, candidatures, sélection draconienne… Le rêve spatial a un prix : de l’excellence absolue ! On est loin de la science-fiction !
Comment sélectionnent-ils les astronautes ?
Sport, endurance, tests psy: c’est Koh-Lanta de l’espace! Imaginez, coincé avec Jean-Michel qui ronfle comme une fusée pendant 6 mois. Impensable! Donc, sélection drastique. Genre, ils te font construire une cabane spatiale avec trois bouts de ficelle et un rouleau de PQ. Si t’arrives à faire un truc potable, t’es presque pris.
- Santé de fer: Oublie le McDo, c’est régime quinoa et footing avec Jupiter en guise de coach.
- Cervelle de génie: Astrophysique niveau expert, sinon tu confonds Mars et la poubelle du vaisseau.
- Sang-froid: Un alien te fait coucou? Tu lui sers un thé, pas tu hurles comme au concert de Céline Dion. (Perso, j’aurais hurlé, mais bon…)
- Maîtrise de soi: Imagine, t’as envie d’un kebab, mais t’es à 3 millions de km de la Terre. Tu fais quoi? Tu te contentes de ta purée en tube, et tu souris.
Mon chat, Caramel, a plus de sang-froid que moi. Il serait un parfait astronaute. Il passe ses journées à fixer le vide, l’air de réfléchir à la conquête de la galaxie. Il a même testé le vol spatial, du haut de l’armoire jusqu’au canapé. Bon, ok, il a raté l’atterrissage. Bref, c’est pas facile la vie d’astronaute, même pour un chat. On est loin du Club Med spatial, quoi. Faut pas croire tout ce qu’on voit dans Star Wars. Au fait, j’ai toujours rêvé d’avoir un sabre laser…
Quel est le salaire moyen dun astronaute ?
Ah, le salaire d’un astronaute… Je me souviens d’un été à Toulouse, je bossais comme serveur au bord de la Garonne, en 2018 je crois. Un gars, ingénieur aérospatial, me parlait justement de ça. Il rêvait d’aller dans l’espace.
Le grade A3, c’est un peu le Saint Graal après la formation.
- Salaire net mensuel: Entre 7647,05€ et 8464,41€, en gros.
- Ça monte avec les missions, évidemment.
Ce qui m’avait frappé, c’était pas tant le chiffre, mais la passion dans ses yeux. Il aurait presque payé pour y aller, tu vois?
C’est pas comme mon salaire de serveur à l’époque, bien sûr. Mais bon, l’espace… ça n’a pas de prix, non?
Le gars s’appelait peut-être Pierre, ou Paul… je sais plus. Il portait une chemise à carreaux, typique. L’odeur de la Garonne et le goût des frites que j’avais grignotées ce jour-là, ça par contre, je m’en souviens. Un salaire d’astronaute, c’est toujours mieux qu’un pourboire ridicule laissé par des touristes anglais.
Quelles sont les études à faire pour devenir astronaute ?
Astronaute ? Master scientifique. Physique, idéalement. Ou ingénierie. Ça compte.
Trois ans d’expérience. Minimum. Mon CV ? Plus long.
Anglais. Obligatoire. On ne discute pas. La langue des étoiles. Ou des bureaucrates spatiaux. Même combat.
- Master indispensable. Point final.
- Expérience professionnelle : Trois ans, c’est le seuil.
- Anglais parfait : Prioritaire. Inutile de débattre.
Ma sœur ? Médecin. Elle a tenté. Raté. C’est la vie. Brutalement simple.
- Compétences spécifiques ? Variables. Dépend des agences.
- L’entraînement physique ? Extrême. Hors de question autrement.
J’ai des amis qui ont postulé. Ils sont au chômage maintenant. Drôle, non ? L’univers est vaste. Les opportunités, moins.
Sélection impitoyable. Quelques élus. Beaucoup de déçus. C’est comme ça.
- La sélection continue. L’espace reste lointain. Pour certains.
Quel est le diplôme le plus courant parmi les astronautes ?
Ingénierie. Point. Astrophysique, souvent. Géologie, parfois. Médecine, utile pour les missions longues. Curiosité : j’ai lu que le premier astronaute français, Jean-Loup Chrétien, était ingénieur et pilote d’essai. Choix logique. Penser aux systèmes, aux réactions, au pilotage… Tiens, pilote, c’est aussi un diplôme courant. Formation militaire fréquente. Master, minimum requis, oui, mais doctorat répandu. Surtout pour la recherche en microgravité. Les sciences, finalement, c’est une grande aventure. Comme l’espace.
- Ingénierie: Base solide. Conception, résolution de problèmes. Essentiel.
- Sciences physiques: Astrophysique, cosmologie, comprendre l’univers.
- Géologie: Planètes, roches, minéraux. Mars, la Lune…
- Sciences de la vie: Biologie, médecine. Corps humain, adaptation. Exobiologie ? Passionnant.
- Mathématiques: Modélisation. Calculs. Indispensable.
On oublie souvent l’importance de la psychologie. Gestion du stress, confinement. Un astronaute, c’est une tête bien faite, oui, mais aussi bien pleine ! Dernièrement, j’ai visité la Cité de l’Espace à Toulouse. Impressionnant. Les combinaisons, les simulateurs… L’espace, ça fait rêver, hein ? Mais derrière le rêve, beaucoup de travail et d’études. Beaucoup, beaucoup d’études… Et de discipline.
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