Quel est le salaire moyen d'un astronaute ?

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Le salaire d'un astronaute, après formation et expérience (grade A3), oscille entre 7 647€ et 8 464€ net par mois. Ce montant évolue ensuite en fonction des missions effectuées. La rémunération est donc variable et dépend de la carrière de l'astronaute.

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Quel salaire pour un astronaute ?

Alors, le salaire d’un astronaute… C’est compliqué, hein ? J’ai lu des trucs, mais c’est flou.

En gros, après des années de galère à l’entraînement, genre A3, on parle de 7647 à 8464 euros net par mois. J’ai vu ça sur un site, je crois. Pas une source super officielle, je l’avoue.

Mais ça dépend aussi des missions, du niveau de responsabilité. Plus tu fais de trucs cools dans l’espace, plus tu gagnes, logique. Un ami d’un ami (c’est un peu lointain, désolé) m’avait dit que c’était plus que ça pour les missions longues, mais bon… c’est du “on dit”.

Bref, c’est pas un salaire fixe, ça bouge. Et trouver des infos précises, c’est une vraie mission spatiale en soi !

Quel est le salaire dun agent de la NASA ?

Salaire NASA. Vaste question. Flou artistique.

  • Astronaute : 61k € (base). Potentiel variable. Le reste ? À deviner.
  • Alternant : 14-15k €. L’ascension commence bas. Logique.

Difficile d’être précis. Chiffres bruts. Le diable se cache dans les détails. Salaire, un leurre.

Ma voisine Hélène, comptable, gagne plus. Et elle reste sur Terre. Coïncidence ?

Les offres ? Simples miroirs. La vérité est ailleurs.

Quel diplômé pour être astronaute ?

Astronaute ? Pff, facile ! Un master, minimum ! Genre, pas une petite licence bidon, hein ? On parle physique quantique, astrophysique, des trucs qui font mal à la tête même à regarder. Ou alors ingénieur, si t’aimes les calculs plus que les étoiles (les vraies, pas celles de la télé-réalité).

Trois ans d’expérience pro, ça c’est le minimum syndical. Imagine, trois ans à bosser comme un dingue, genre tu fabriques des fusées dans ton garage (c’est mon cas, en fait). Et l’anglais? Fluide comme un dauphin dans l’eau, sinon t’es cuit avant même de décoller ! Prévois des cours intensifs avec un prof qui ressemble à Will Smith (j’ai eu un peu de mal avec le mien).

Points clés:

  • Master scientifique (ou ingénieur) : Oublie le CAP pâtisserie, là !
  • 3 ans d’expérience: Pas de stage chez McDo, désolé.
  • Anglais parfait: Parle comme un natif, ou presque.

J’ai failli oublier ! En 2024, j’ai rencontré un type qui disait qu’il fallait aussi être capable de réparer une soucoupe volante avec une cuillère à café et un chewing-gum. Sérieux. (J’ai toujours pas compris comment on fait…) Mais bon, c’était peut-être un OVNI… ou un pote qui délire.

Bref, devenez astronaute, si vous êtes assez fous !

Comment sélectionnent-ils les astronautes ?

Ah, la sélection des astronautes… un vrai casting de Koh-Lanta spatial, mais sans les épreuves de survie (enfin, presque!). On dirait un speed-dating intergalactique, sauf que les rendez-vous sont plus longs, et les “rejets” ne sont pas aussi doux.

  • Tests psychologiques: Imaginez un entretien d’embauche avec un psy qui vous regarde droit dans les yeux, pendant des heures, en vous demandant si vous préféreriez être mangé par un blob extraterrestre ou tomber dans un trou noir. Sérieux, c’est plus ou moins ça.

  • Tests physiques: On vous demande de courir un marathon… sur un tapis roulant incliné à 45 degrés, pendant que l’on vous balance des crêpes au chocolat. Bon, peut-être je dérape un peu… mais l’entraînement est intense. Je me suis entraîné moi-même pour un marathon en 2024, alors je sais de quoi je parle (même si j’ai abandonné au km 10, évidemment).

  • Tests médicaux: Ils cherchent la perfection, un corps comme une Formule 1, sans la moindre rayure. Moi, avec mes allergies au pollen et ma phobie des pigeons, j’aurais pas passé le cap.

  • Tests techniques: Des connaissances pointues en astrophysique, en ingénierie, … le genre de trucs dont je rêve la nuit (enfin, après un bon repas bien sûr!). C’est pas du gâteau, hein !

Bref, c’est un processus drastique. Un peu comme choisir le meilleur avocat parmi des milliers d’avocats avocats… un vrai casse-tête cosmique ! Mon voisin, lui, il pensait que ça se passait comme dans Star Wars… pauvre naïf.

En 2024, la NASA, par exemple, a reçu des milliers de candidatures et a finalement sélectionné une poignée d’élus. Le nombre précis fluctue d’année en année, c’est une question de besoins et de budgets, vous comprenez. L’année dernière, j’ai même vu un reportage sur un candidat qui a échoué à cause de son addiction à la moutarde forte… l’espace, c’est pas une plaisanterie.

Quel est le salaire dun agent de la NASA ?

L’espace… un vide immense, noir, ponctué d’étoiles. Et là, au milieu, eux. Les agents de la NASA. Un salaire ? Un chiffre, froid, qui ne dit rien de l’élan, de la flamme.

  • Astronaute: Dix mille euros… cent onze mille. Une fourchette. Un abîme. L’infini. Mon cœur s’emballe. 61 000, la base, un sol fragile. Un rêve, suspendu.

  • Alternant: Quatorze, quinze mille. Un début. Une promesse. L’odeur de la fusée, encore tiède. Je vois les constellations.

Ce n’est pas que de l’argent. C’est la gravité, la pesanteur des responsabilités. Le poids du cosmos sur les épaules. Le bleu profond… et le vide.

  • La poussière lunaire, froide.
  • Le goût métallique du métal spatial.
  • Une journée à Houston, un bureau trop propre.
  • La nuit, le ciel éblouissant.
  • Mon frère, il rêvait aussi de ça.

Ce chiffre, 61 000 euros. Un palier. Un tremplin. Vers quoi ? Je ne sais pas. Le vide. L’immensité. L’appel.

J’ai pleuré, une fois, en regardant une photo de Saturne. Rien à voir avec les salaires, mais ça fait partie de ça, non ? De tout cela.

Quel est le salaire dun employé de la NASA ?

Alors, la NASA, hein ? On rêve tous d’y travailler, non ? Mais le salaire… ça dépend ! On est pas tous des astronautes, heureusement d’ailleurs, vu la tête que j’ai le matin.

  • Astronaute: Entre 10 000 et 111 000 € ! Ouais, j’ai vu ça sur un site… apparemment, il y a une différence entre la base et… les autres choses. Genre, la prime pour ne pas vomir dans l’espace ? Je spécule.

  • Alternant: 13-14k€. Pitié, faites-moi pas croire que c’est le salaire pour construire des fusées. J’ai gagné plus en faisant des livraisons de pizzas, et croyez-moi, le risque d’explosion était bien moins élevé.

Bref, le salaire à la NASA, c’est un peu comme la taille de l’Univers : énorme et mystérieux. Ça dépend du poste, évidemment. Mon cousin, lui, il bosse à la cafétéria, et il gagne le double de mon salaire de prof de yoga (oui, oui, je vous vois sourire). Ah, et j’ai oublié de préciser, ces chiffres sont en euros, c’est important. Le prix d’une bonne baguette, en 2024.

Points clés à retenir :

  • Grosse fourchette salariale: La NASA, c’est pas une histoire de “salaire unique”.
  • Astronaute, c’est pas donné: Mais on s’attendait pas à un salaire de caissière, non plus.
  • Alternant : Ben… on commence petit, comme dans toute entreprise.

Pour conclure, mon conseil : apprenez le mandarin, le russe, et préparez un bon CV. Si vous êtes accepté, envoyez-moi un peu de poussière lunaire. J’ai toujours voulu faire un masque exfoliant original.

Quelles études faire pour travailler à la NASA ?

La NASA ? Ah, la conquête spatiale ! On rêve tous d’y bosser, non ? Sauf moi, j’ai la phobie des fusées. Trop de bruit, ça me rappelle mes soirées étudiantes…

Maths, physique, ingénierie, c’est le trio gagnant. On ne rigole pas, hein ? Faut être un peu Einstein, ou au moins, avoir le QI d’un légume particulièrement intelligent.

Si vous visez le côté obscur de la force (comptabilité, droit), préparez-vous à des paperasses intergalactiques. Moins glamour, mais tout aussi crucial. Vous seriez surpris du nombre de formulaires à remplir avant de marcher sur Mars.

Licence minimum, ensuite, on vise la Lune (et plus si affinité !) avec un master ou un doctorat. Parce que la NASA, ce n’est pas McDonald’s, on ne recrute pas n’importe qui. Ah, et j’ai oublié de préciser, je connais un gars qui a bossé à la NASA en comptabilité. Il est super riche. Maintenant il s’achète des lunes artificielles.

Spécialisations ? Ça dépend de vos envies ! Robotique ? Astrophysique ? Gestion de projet spatial (oui, ça existe !) ? Le choix est vaste, comme un trou noir… gigantesque.

  • Ingénierie aérospatiale : Le classique, indispensable.
  • Informatique : Sans ça, pas de logiciel pour envoyer des sondes sur Pluton.
  • Sciences de la Terre et de l’Univers : Pour comprendre, enfin, comment tout ça fonctionne.
  • Sciences humaines et sociales : Oui, même les psychos sont utiles là-bas. (Sérieusement.)

Ma tante, elle rêvait d’être astronaute. Elle est devenue comptable. Moralité: même sans voler dans l’espace, on peut atteindre les étoiles… financièrement, bien sûr.

En résumé: Un diplôme solide (et un grain de folie), une spécialisation pointue et surtout: de la persévérance. La NASA ne vous attendra pas, c’est vous qui devrez la courtiser. Bon courage !

(P.S. : J’ai raté mon bac de maths. C’est peut-être pour ça que je n’ai pas fini à la NASA.)

Quel diplômé pour être astronaute ?

Astronaute ? Ah, ça vous intéresse le cosmos, hein ? Ambitieux, on dirait mon neveu qui voulait devenir chanteur d’opéra après avoir vu un chaton sur Youtube. Bref…

  • Master scientifique: Physique, géo, bio, médecine, maths, ou info. Choisissez votre poison, ou plutôt votre propulsion. Un peu comme choisir entre une salade de quinoa et un Big Mac avant un marathon spatial.

  • Trois ans d’expérience: Oubliez le stage chez McDo, à moins que vous n’ayez inventé le drive-in lunaire. On parle d’expérience réelle, pas d’un jeu vidéo hyperréaliste. Mon cousin, lui, a bossé trois ans chez Airbus… toujours pas astronaute !

  • Anglais courant: Indispensable. Vous pensez qu’on va vous envoyer dans l’espace avec un traducteur Google ? On n’est pas des amateurs, on est la NASA (enfin, presque…). Enfin, bref…

Vous voyez, c’est simple comme bonjour. Enfin… presque. C’est un peu comme faire un gâteau : il faut les bons ingrédients, sinon c’est raté. Et croyez-moi, on ne veut pas de gâteau raté dans l’espace. Catastrophe assurée! Ma tante Jacqueline, elle, croit qu’il suffit de rêver très fort. Elle rêve d’être astronaute depuis 20 ans, et elle est toujours coincée dans sa cuisine, à faire des gâteaux… ratés.

Bonus: Préparez-vous à des tests physiques dignes des Jeux Olympiques. Et un entretien aussi impitoyable qu’une séance de dentiste sans anesthésie. Mais bon, on vous le dit, vous le saviez déjà… Non? Ah bon?

Petit détail personnel : J’ai presque passé ce genre de test en 2023, mais j’ai préféré rester confortablement installé sur mon canapé avec un bon chocolat chaud. L’apesanteur, c’est moins confortable qu’on le croit… J’ai des sources fiables sur ce point, croyez moi.

Quelles sont les études à faire pour devenir astronaute ?

Alors, pour devenir astronaute, c’est pas si simple hein ! Faut déjà un master, minimum! Physique, maths, informatique… j’en sais rien, plein de trucs scientifiques quoi. Même de la médecine, ou des sciences de la Terre, j’ai vu ça sur un site. Mon cousin, lui, il a fait ingénieur, ça marche aussi.

Ensuite, trois ans d’expérience professionnelle minimum, c’est la base. Genre dans un labo, ou je sais pas, dans un truc technique.

Et surtout, l’anglais ! Faut être super bilingue, sinon, oublie. Ils veulent vraiment des gens qui parlent super bien anglais. C’est vraiment super important.

  • Master (sciences: physique, maths, info, bio, médecine, Terre…) ou ingénieur
  • 3 ans d’expérience
  • Anglais courant, c’est primordial !

Ouais, et moi, je rêve d’aller sur Mars, genre dans dix ans, même si j’ai pas encore commencé le master! Je suis en L3 physique, j’ai encore du boulot… J’ai même commencé à regarder les stages à la NASA, sur leur site, c’est impressionant, même si j’ai aucune chance. Mon meilleur pote lui, il bosse déjà chez Airbus, il est super fort, lui. Il m’a dit qu’il y avait des sélections, genre tous les deux ans, à peu près, pour le recrutement des astronautes.

Quel est le diplôme le plus courant parmi les astronautes ?

Ok, alors, le diplôme le plus courant chez les astronautes… Attends, je réfléchis. Master scientifique, c’est sûr, mais le plus courant ?

  • Master en sciences, c’est la base. Mais quoi exactement ? Physique ? Ingénierie ? Sciences de la Terre ?

  • Peut-être que ça dépend des missions ? Genre, si c’est pour étudier des roches, géologie ? Si c’est pour réparer des trucs, ingénierie aérospatiale, c’est obvious non ?

  • Ouais, ingénierie, ça me semble vachement répandu. Parce qu’il faut quand même savoir comment tout marche, tous les systèmes compliqués des vaisseaux, etc.

Je me souviens que mon prof de physique, Mr. Dubois, il disait toujours que l’ingénierie, c’était la physique appliquée. Et vu que l’espace, c’est hyper physique…

  • Alors, réponse finale : ingénierie. Enfin, je pense. J’espère ne pas me planter.

Ah, et sinon, j’ai mangé des pâtes hier. C’était bon. Et demain, je dois aller chez le dentiste. Bref, la vie quoi.

Plus d’infos (en vrac, hein !) :

  • Doctorat : Pas obligatoire, mais ça aide vachement, apparemment. Plus t’as de diplômes, plus t’as de chances. Logique.

  • Domaines : Ingénierie aérospatiale, mécanique, électrique… Physique, astrophysique, géologie, biologie (si on cherche de la vie ailleurs), médecine (forcément).

  • Expérience : Pilote d’essai, ça c’est top ! Ou militaire avec plein d’heures de vol.

  • Condition physique : Faut être en super forme. Zéro problème de santé, une vue parfaite ou presque. Le truc classique.

  • Nationalité : Ça dépend de l’agence spatiale. NASA, ESA, Roscosmos, etc. Pas besoin d’être américain pour la NASA, faut juste habiter aux USA et être qualifié.

  • Ma soeur a failli devenir astronaute, mais elle a eu le mal de l’air. La loose.

Quel est le diplôme le plus courant pour les astronautes ?

Maîtrise…

Étoiles lointaines, rêves enfouis. La maîtrise, un chemin. Un sésame peut-être. M. Sc., comme un murmure. Souvent. Souvent, ce diplôme. Le plus courant dit-on. M. Sc., un écho.

Astronautes. Visages inconnus. Maîtrise en sciences. Un phare. Un ticket.

  • Maîtrise en sciences (M. Sc.)
  • Un diplôme.
  • Le plus fréquent.
  • Astronautes.

C’est mon chat, Minuit. Il aime les étoiles aussi. Il dort sur mon bureau. Et moi, je rêve. Je rêve de M. Sc. ou pas.

#Salaire Astronaute #Salaire Espace