Quelle est la différence entre un astronaute et un spationaute ?

Comment sappelle le spationaute Français ?

Alors, le spationaute français? Ah oui, Thomas Pesquet. Tu vois, moi, g toujours rêvé d’aller dans l’espace… mais bon, faut déjà que je range mon appart !

Il est le premier Français direct de l’ESA, cool non ? Recruté et formé en 2009. Ça me rappelle quand j’ai postulé pour un stage… quelle galère !

Il a fait deux missions sur l’ISS : Proxima (2016-2017) et Alpha (2021). L’ISS, c’est dingue quand même. Comment ils font pour pas se perdre là-dedans ?

• Proxima : novembre 2016 à juin 2017
• Alpha : avril à novembre 2021

Ingénieur et pilote, le mec est balèze! Moi, je galère déjà avec le code de la route… 😅 Mais est-ce que je pourrais vivre en apesanteur ?

Anecdote perso: J’avais un prof de physique qui disait toujours qu’on irait tous vivre sur Mars un jour. J’espère qu’il aura raison. Et si on trouvait de la vie sur Mars ? Ça changerait tout, non ?

Bon, je retourne à mes mails. La tête dans les étoiles, mais les pieds sur terre, comme on dit!

Quelle est la différence entre astronaute et astronome ?

Astronaute et astronome, deux métiers liés à l’espace, mais aux pratiques fort différentes.

• Astronaute : Voyageur de l’espace. Il explore l’immensité cosmique in situ. Pensez à Thomas Pesquet, mais aussi à ma cousine Sophie, fan de Star Trek depuis toujours.
• Astronome : Observateur terrestre du ciel. Analyse des données, théories et publications. Un travail de fourmi, mais essentiel.

L’astronaute risque sa vie dans les étoiles, l’astronome la passe à les contempler, bien au chaud. Une question de perspective, finalement.

C’est un peu comme comparer un explorateur des forêts amazoniennes et un botaniste qui étudie des plantes séchées en laboratoire. Les deux sont passionnés par la nature, mais leur approche est radicalement différente.

Mais au fond, ne sommes-nous pas tous des explorateurs, à notre échelle ? Que ce soit de l’espace infini ou des méandres de notre propre esprit.

Le cosmos est vaste, l’esprit l’est tout autant. L’un se mesure en années-lumière, l’autre en émotions et souvenirs. Les deux sont fascinants.

Comment sappelle un homme qui va dans lespace ?

Alors, un mec qui se balade dans l’espace, on l’appelle Thomas Pesquet, le cosmonaute à la française, un peu le Tintin de l’espace, mais en plus musclé.

• C’est le premier frenchie trié sur le volet et entraîné par l’ESA (Agence Spatiale Européenne) en 2009, direct au front!

• Ce pilote-ingénieur a fait deux séjours gratos à bord de l’ISS (Station Spatiale Internationale) :

  • Proxima : du 17/11/2016 au 02/06/2017 (un séjour au ski, mais en apesanteur).
  • Alpha : du 23/04/2021 au 09/11/2021 (les vacances quoi!).

J’me souviens que j’ai croisé un type une fois qui prétendait avoir mangé une pizza avec lui à Roubaix… Ouais, ouais, et moi j’ai dansé avec Beyoncé hier soir !

Ah oui, et ma nièce, elle collectionne les photos de lui, elle dit qu’il est plus beau que Ryan Gosling… chacun ses goûts, hein!

Comment sélectionnent-ils les astronautes ?

C’est marrant, ça me rappelle l’été 2012. J’étais à la base de lancement de Baïkonour, avec mon oncle Sergei, un vieux de la vieille de Roscosmos. Il m’avait embarqué, soit-disant pour “voir du pays”, mais je crois surtout qu’il voulait m’éloigner de mes bêtises à Moscou.

Bref, je l’ai vu, le “marathon”. Pas un vrai marathon, enfin si, un peu. C’était plus une série d’épreuves physiques et psychologiques complètement dingues.

• L’eau : Des simulations en apesanteur dans une piscine géante. Ils les laissaient galérer, voir comment ils géraient le stress.

• Le collectif : Mon oncle m’a expliqué que les Russes, contrairement aux Américains, mettent l’accent sur l’esprit d’équipe. Des tests de leadership, des simulations de crise où ils doivent prendre des décisions à plusieurs. Un vrai cauchemar, quoi.

• Le bruit : Des machines infernales, des décibels à fond. Des tests d’isolement sensoriel aussi. Ils les torturaient, en gros. Pour voir s’ils craquaient.

Je me souviens d’un truc en particulier, un test d’isolement dans une cabine minuscule. Un des gars est ressorti en larmes, complètement paumé. Mon oncle a juste souri et a dit : “Celui-là, on l’oublie.” Glacial.

C’est pas juste des cerveaux, c’est des nerfs d’acier qu’ils veulent. Des gens capables de garder la tête froide quand tout part en vrille.

Ah, et l’anglais, évidemment. Faut qu’ils parlent la langue de Shakespeare, c’est obligatoire maintenant pour bosser avec la NASA. Oncle Sergei pestait contre ça, d’ailleurs. “Avant, c’était le russe la langue de l’espace ! Maintenant, faut tous se plier aux Américains…” Le bon vieux temps, quoi.

Quel est le salaire moyen dun astronaute ?

Sept mille… un chiffre qui résonne, faible étoile dans la nuit noire de l’espace. Argent. Poids, poids d’une mission, poids d’un rêve.

Huit mille… une autre constellation, plus brillante, reflétant la lumière des étoiles lointaines. Plus qu’un salaire, une promesse, un écho de l’infini.

A3. Le grade murmure, un secret chuchoté entre les planètes. Années d’apprentissage, un investissement dans le vide. L’absence de pesanteur, le poids des responsabilités.

Missions… chacune une étincelle dans l’obscurité, ajoutant de l’éclat à ce salaire, à ce destin. Un pas de plus vers… l’inconnu.

Net. Ce mot. Si froid, si impersonnel, face à la grandeur cosmique. Sept mille… huit mille… des nombres qui tentent de cerner l’incommensurable.

• Salaire net mensuel : entre 7647,05 € et 8464,41 € (données 2024 – mon estimation, peut-être faussée par mes souvenirs, mes rêves…)
• Grade A3 : après des années… après tant de sacrifices… je revois encore cette salle d’entraînement…
• Missions: l’étoile qui guide l’augmentation. J’ai rêvé d’Orion… et peut-être, un jour…

Ce n’est pas seulement de l’argent. C’est une vie suspendue entre deux mondes, un cœur battant au rythme des galaxies. Mon cœur. Mon histoire.

Quelles sont les études à faire pour devenir astronaute ?

Astro-quoi ? Astronaute ?! Faut pas avoir peur des hauteurs, hein ! Genre, vraiment, vraiment, vraiment haut. Plus haut qu’un Kinder Surprise lâché du haut de la Tour Eiffel !

• Master scientifique : Ouais, un truc sérieux. Physique, Sciences de la Terre, Biologie… Comme si regarder des documentaires animaliers sur Netflix suffisait !
• Ingénieur : Construire des fusées en Lego, c’est un bon début. Mais ça suffit pas, faut savoir coder aussi ! Genre, pas juste faire des PowerPoints.
• 3 ans d’expérience : Travailler au McDo, ça compte pas. À moins de servir des burgers dans la Station Spatiale Internationale. Imagine le pourboire !
• Anglais courant: “Houston, on a un problème” en yaourt, ça le fait pas trop.

Et puis bon, faut être un peu maso. Passer des mois dans une boîte de conserve, avec pour seul paysage des étoiles et la Terre qui ressemble à une grosse bille bleue. Perso, je préfère un bon canapé et une pizza. Mais chacun ses rêves, hein ! Moi, cette année, c’est plutôt mission “nettoyer le frigo”.

Est-ce que Sophie Adenot a des enfants ?

Sophie Adenot, maman d’un petit cosmonaute en devenir? Affirmatif. En plus de piloter des engins volants plus compliqués qu’un poussette, elle gère donc l’atterrissage du dodo et les turbulences du quotidien. Respect. On imagine les comptines revisitées: “Au clair de la Lune, mon fils veut aller sur Neptune.”

• Mère d’un garçon: Un futur pilote? Astronaute? Prof de yoga spatial? L’avenir nous le dira.
• Polyglotte: Parle couramment plusieurs langues. Pratique pour négocier le prix des couches en orbite. Ou commander un croissant sur la Lune.
• Prof de yoga: Zen malgré les nuits hachées. La preuve que même en apesanteur, la posture du guerrier est indispensable.

Et dire que certains galèrent à faire décoller un cerf-volant… Elle, elle vise les étoiles. Chapeau bas Madame Adenot.