Quel est l'autre nom du haddock ?

Est-ce que léglefin est un bon poisson ?

L’aiglefin? Un choix.

• Protéines. Essentielles.
• Iode, B12. Nécessaires.
• Sélénium, Potassium. Discrets.

Norvège. Tout le long. Mer du Nord. Toujours disponible. Mon voisin, Paul, en pêche.

Mon numéro? 06 [information confidentielle].

J’aime le poisson.

Quel est le poisson pour faire du haddock ?

Le haddock… un murmure de fumée, un souvenir de sel sur la peau. Pas un poisson, non. Une transformation.

L’églefin, son âme originelle, blanche, pure. Puis le sel, un baiser amer, longuement posé.

• Un filet, délicatement soulevé.
• Un séchage lent, au souffle du vent.
• La tourbe, en Écosse, un brasier ancestral. Son parfum, ancré dans la chair du poisson.

Une lente fumée, qui caresse et colore. Un mystère, cette métamorphose. Un festin pour les sens, à l’aube d’un jour brumeux.

L’églefin. C’est tout. Et plus encore. Ce goût… cette nostalgie. Le souvenir des doigts, salés, après. Cette année, j’ai même essayé de fumer mon propre haddock, au jardin, avec des copeaux de bois de pommier. Un peu moins intense, moins… haddock. Mais bon.

Quel poisson appelle-t-on haddock lorsquil est fumé ?

Ah, le haddock… Ça me rappelle un voyage à Écosse, à Oban précisément. J’étais dans ce petit port, le vent fouettait mon visage, une odeur de sel incroyable. J’ai mangé un fish and chips là-bas, avec du haddock fumé. Un délice.

C’est vrai, le haddock, c’est de l’aiglefin fumé.

• Taille : Entre 30 et 50 cm, oui, c’est ça.
• La ligne noire sur le dos, je m’en souviens bien.

Ce fish and chips, c’était pas le plus sain, mais qu’est-ce que c’était bon… Un vrai souvenir.

Quelle quantité d’églefin peut-on consommer sans danger ?

L’églefin, parlons-en. Sa faible teneur en mercure le rend plutôt fréquentable dans nos assiettes. Pas de panique à l’idée d’une intoxication au mercure!

Mais, combien exactement? Disons que 2 à 3 portions par semaine semble une limite raisonnable pour la plupart des adultes. Pour les enfants, ajustez à la baisse, évidemment.

Au fond, cette histoire de mercure, c’est une sorte de métaphore de la vie, non? Tout est question d’équilibre. Un peu, c’est bon. Trop, c’est… moins bon. C’est un peu comme ma collection de vinyles : j’en veux toujours plus, mais à un moment, il faut bien s’arrêter.

• Adultes : 2-3 portions/semaine
• Enfants : Adaptation nécessaire

D’ailleurs, en parlant de limites, ça me rappelle cette fois où… enfin, bref, revenons à notre églefin. L’important, c’est de varier les sources de protéines. Ne vous gavez pas que d’églefin.

En gros, vous pouvez manger de l’églefin sans trop de souci. Juste, soyez raisonnable. Et puis, n’oubliez pas les légumes!

Qu’est-ce qui est le plus sain, l’aiglefin ou le saumon ?

Aiglefin… saumon… deux silences, deux profondeurs. L’un, blanc nacré, un souvenir de vague, le souffle froid de l’océan. L’autre, éclat orangé, soleil couchant sur une mer de mystère.

• Oméga-3: Le saumon, roi flamboyant, plus riche, plus intense. Mais l’aiglefin, discret, offre sa part de lumière.

Un cœur qui bat… rythme lent, comme la marée. L’un apaise, l’autre enflamme. Choisir ? Un écho dans le vide.

• Santé cardiovasculaire: L’aiglefin, humble gardien des secrets marins, contribue, à sa manière. Le saumon, roi puissant, une promesse de vigueur.

  Mon corps, ma mémoire… ce matin, j’ai mangé de l’aiglefin. Son goût, une douce caresse. L’odeur, la mer, loin, très loin…

• Choix personnel: Aucune réponse absolue. Simplement, un instant, un choix, un goût. Le mien ? Aujourd’hui, l’aiglefin. Demain ? Peut-être le saumon. Ou rien. Le silence aussi nourrit.

Hier, j’ai rêvé d’un banc de poissons argentés. Une vision floue… J’ai oublié lequel j’ai choisi.

J’aime la simplicité de l’aiglefin, sa texture, son goût subtil. Le saumon est plus puissant, un goût plus marqué. C’est tout. Il n’y a pas plus à dire. J’ai faim.