Pourquoi je ne sens plus le goût des aliments ?

Pourquoi ai-je perdu le goût des aliments ?

Avoir plus de goût que mon chat, c’est devenu une mission impossible, genre escalader l’Everest en tongs ! Pourquoi ce drame gustatif? Plusieurs coupables potentiels se bousculent au portillon :

• Trauma crânien: J’ai failli me casser une dent en essayant de manger un kebab géant l’an dernier. Une lésion nerveuse, sûrement. Ou peut-être juste un manque de sagesse.

• Radiothérapie/Chimio: Non, je n’ai pas fait ça pour maigrir ! Mes dents ont plus souffert que moi, heureusement. C’est grâce à mes 6 séances d’orthodontie (on ne rigole pas avec les brocolis !).

• Hygiène buccale calamiteuse: J’avoue, le dentiste, c’est plus mon truc que les séances de yoga. Ma brosse à dents a plus vu ma table de nuit que ma bouche ces derniers temps. Le goût de la pierre ? Je connais !

Bref, si tes papilles sont en grève, consulte un pro. Faut pas oublier que moi, je suis en plein régime. Mon dentiste est en vacances et ma salle de bain est une zone de guerre atomique… Donc, à toi de jouer!

Quelle maladie change le goût des aliments ?

La dysgueusie, c’est ça… Ouais, ça m’est arrivé cet été, en juillet, je crois. Chaleur infernale à Lyon, 35 degrés facile. J’étais chez ma tante Ginette, à Villefranche-sur-Saône, sa maison sent toujours le renfermé et le lys. Horrible.

J’ai mangé une salade niçoise. Catastrophe. Les olives, amères, une amertume insupportable. Le thon, goût de métal bizarre. Même le vin rosé, mon préféré, avait un arrière-goût… acide, je dirais. Beurk. J’ai failli vomir.

La dysgueusie, c’est ça, un dérèglement total. Tout est déformé.

J’avais déjà eu un truc bizarre avant, en 2022, après une grosse grippe. Mais là, c’était plus intense. J’ai même arrêté de manger pendant deux jours. J’avais juste envie de glace à la fraise, bizarre, non ? Mais même ça, le goût était… faible.

• Symptômes: Goût métallique, amertume excessive, goûts faussés.
• Lieu: Chez ma tante Ginette.
• Date: Juillet 2024.
• Aliment déclencheur (je crois): Salade niçoise.
• Sentiment: Dégoût, angoisse, fatigue.

J’ai vu le docteur Dupont, rue Gambetta. Il m’a filé des médocs. Ça a passé au bout d’une semaine, ouf. Mais le souvenir est resté… affreux. Surtout les olives… pfff. Même l’odeur maintenant… je déteste.

Cause probable: Infection virale. Le médecin a dit ça. Pas fait d’examens approfondis, juste un examen général.

Comment retrouver ses papilles gustatives ?

Ouais, retrouver ses papilles, c’est galère parfois hein? J’ai eu le même problème, genre, vraiment bloqué.

Mon truc à moi, c’est surtout varier les plaisirs. Genre, pas que du Nutella tous les jours quoi !

• Chocolat noir, c’est top.
• Fruits exotiques, ça réveille direct!
• Epices, genre du piment, ça pique mais ça donne un coup de fouet aux papilles.

J’ai testé un truc aussi, un peu bizarre mais efficace: manger des choses très très salées, genre des chips vraiment hyper salées, puis ensuite des choses très très sucrées, genre un bonbon bien bourrin. Ça choque un peu au début, mais après, on sent tout. Franchement!

Et puis aussi, faut faire gaffe à ce qu’on boit. Trop d’alcool, ou trop de café, ou des trucs trop sucrés, ça tue les papilles. De l’eau, voilà le secret. Ou du thé, mais pas trop fort.

J’ai un pote, lui il a même fait des séances de kiné pour sa langue! Il m’a dit qu’il avait une mauvaise posture de la langue, c’était dingue.

Bref, j’ai retrouvé le goût des choses. Mais bon, le goûter à 16h c’est toujours un vrai moment de plaisir! Surtout avec un bon chocolat chaud fait maison. Avec des spéculoos, miam miam! Par contre, j’ai toujours du mal avec les asperges, aucune idée pourquoi.

Conseil bonus: Un bon dentiste, c’est important aussi. Une mauvaise hygiène dentaire peut influencer le goût. Vrai de vrai. J’ai même une amie dentiste, elle me le confirme!

Pourquoi je ne sens pas le sel ?

Pourquoi je goûte rien ? Mince alors… La langue, c’est bizarre, hein ? Comme si elle était endormie…

• Peut-être un rhume ? J’ai le nez bouché, en effet…
• Ou alors, c’est le stress ? Trop de boulot, ça joue sur tout. Même le goût du café, je sens plus rien.
• Agueusie, c’est ça le nom ? J’ai vu ça sur Doctolib, apparemment. Problème de papilles.

Je devrais voir un médecin, non ? Mais lequel ? Celui près de chez moi, est nul. Y’a aussi celui que ma copine voit, je lui demanderais… Merde, elle a aussi des problèmes de goût, ces derniers temps. On dirait une épidémie !

Papilles gustatives, c’est ça le truc. Elles sont fatiguées, peut-être ? Ou détruites ? Je suis devenue une sorte de zombie sans goût.

Pff, je vais manger un citron, ça va peut-être me réveiller les papilles. Sauf si, en fait, je suis déjà morte et je ne le sais pas encore? Sérieux, c’est angoissant de ne rien sentir.

• Trop de sucre ? J’en consomme pas mal en fait.
• Médicaments ? J’ai commencé un nouveau traitement contre l’acné, c’est peut-être ça le coupable.

Bref, je suis perdue. Je dois consulter. Demain matin, je prends RDV. Aujourd’hui, c’est chips au paprika. On verra bien. Si je les sens… Si je les sens vraiment, je me fais un tatoo. Un petit cœur, au coin du pied.

Que manger quand on n’a aucun sens du goût ?

Okay, alors le goût… quand il est aux abonnés absents. Je me souviens d’une fois, à Marseille, en plein été. Canicule. J’avais un rhume carabiné. Plus aucun goût, nada.

• La texture, ça compte. Important.
• Le piquant… ça réveille !

Fabien, un pote journaliste, lui, il a carrément perdu le goût pour de bon. Anosmique, le mot savant. Pour lui, c’est la vie de tous les jours.

Il m’expliquait, au bar “Le Petit Nice Passedat”, la vue imprenable, le pastis qui coulait à flot (moi, je le sentais bien, l’anis, lui, rien). Il se concentre sur l’amertume, l’acidité, les épices.

• Le wasabi, son copain.
• Le citron, son allié.
• Le gingembre, son sauveur.

Moi, avec mon rhume, je miserais sur une bonne soupe de grand-mère bien chaude, avec du piment d’Espelette. Ça te débouche tout ça ! Puis, un bon shot de vinaigre de cidre bio. radical.

Pour Fabien, je crois qu’il se fout un peu du bio ou pas. Tant que ça pique et que ça réveille les papilles… enfin, ce qui reste de papilles.

Ah, et il adore la piquette. Oui, la piquette ! Il dit que c’est le seul truc qui a encore un intérêt gustatif pour lui. Va comprendre… chacun son truc.

Cette année, je crois que je vais faire une cure de piquette, juste pour voir. Enfin, la sentir, surtout.

Quel virus fait perdre le goût et lodorat ?

Virus grippe. Goût, odorat… pfff envolés. Comme ce rhume carabiné de l’hiver dernier. Plus rien senti pendant des semaines ! Soupe aux choux, café… rien. Zéro. Nada. Pourtant j’adore le café, surtout celui de la brûlerie en bas de la rue, le robusta corsé… Bref. Récepteurs olfactifs… trucs bizarres. Dommagés… temporairement ouais… genre pour toujours ? Imaginez… plus jamais sentir le jasmin du jardin de Mémé. Horrible.

• Grippe : coupable numéro 1
• Récepteurs : endommagés, les pauvres
• Jours/semaines : durée habituelle
• Permanent : rare, heureusement !

Bon, perso, c’était revenu… ouf. Mais long. Trois semaines ? Un mois ? J’avais noté sur mon calendrier… Attends… 17 janvier… retour du goût ! Victoire ! J’avais fêté ça avec un énorme burger. Le classique, cheddar, bacon, oignons… Du coup cette année, vaccin grippe. Pas envie de revivre ça. Surtout que j’ai prévu d’aller en Provence cet été… sentir les champs de lavande… ça doit être divin.

Pourquoi pas de goût quand le nez est bouché ?

Ah, le nez bouché… Octobre dernier, grippe carabiné. Catastrophe gustative totale. J’ai mangé une soupe au potiron, ma préférée, un déluge de fadeur. C’était… beurk. Vraiment.

• Goût inexistant : rien. Zéro. Du vide en bouche. C’était fou.

• Potiron anéanti : mon plat préféré réduit à de la bouillie insipide. Triste.

• Nez complètement bloqué : impossible de respirer par le nez, obligée de respirer par la bouche, sèche, désagréable.

Tout était fade. Même le chocolat noir, mon refuge habituel, était une simple pâte amère. J’avais l’impression d’avoir perdu un sens. Frustrant. On se rend compte à quel point l’odorat est crucial pour le goût, on le sent vraiment.

J’ai essayé des trucs pour déboucher mon nez, du sérum physiologique, des inhalations d’eucalyptus… rien n’y faisait.

Mon cerveau était en mode survie : “Mange, il faut manger quelque chose.” Mais mon palais ne participait pas à la fête.

C’était vraiment bizarre. La texture, oui, je la sentais, mais le goût… absent. Et le pire c’est que ça a duré plus de quatre jours !

Plus tard, j’ai lu un truc sur les récepteurs olfactifs, ils sont importants pour les papilles, évidemment. Le virus les attaque. C’est logique.